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Les ministres de la Justice discutent d’aide juridique à Banff

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BANFF, Alta. – Les ministres de la Justice des provinces devraient demander cette semaine au gouvernement fédéral de renouveler son engagement de financer l’aide juridique.

Les ministres se rencontrent jusqu’à vendredi avec leur homologue fédéral à Banff, en Alberta, et l’aide juridique figure tout en haut de leur ordre du jour.

Le ministre de la Justice du Manitoba, Andrew Swan, a souligné que depuis 2006, Ottawa a graduellement réduit son financement de l’aide juridique pour les personnes dans le besoin.

M. Swan affirme qu’au Manitoba, Ottawa ne contribue plus que 16 pour cent des frais d’aide juridique, par rapport au milieu des années 1990 où le financement était partagé entre la province et le fédéral à parts égales.

Il craint aussi que le gouvernement conservateur ne renouvelle pas le financement du Tribunal de traitement de la toxicomanie et le programme des gendarmes communautaires autochtones à partir du 31 mars.

L’Ontario et la Nouvelle-Écosse offrent aussi des tribunaux de traitement de la toxicomanie alors que l’Alberta et le Nouveau-Brunswick ont des programmes de policiers autochtones similaires à ceux du Manitoba, où ils sont toutefois plus nombreux.

Le fédéral a financé le Tribunal de toxicomanie de Winnipeg à hauteur de 600 000 $ annuellement pendant les neuf dernières années. Parce qu’il n’y a pas de garantie de fonds futurs, le Tribunal n’accepte pas de nouveaux clients.

Ces tribunaux permettent de réorienter les consommateurs de drogues, normalement pris en charge par le système de justice criminelle, vers des centres de traitement.

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Garderies familiales les parents sont pris en otage dénonce Charbonneau

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QUÉBEC – Les éducatrices en milieu familial doivent retourner à la table des négociations et cesser de prendre les parents en otage, a soutenu mercredi la ministre de la Famille, Francine Charbonneau.

Ces éducatrices ont entrepris de déclencher des grèves tournantes de 24 heures dans les différentes régions du Québec pour forcer le gouvernement Couillard à accélérer le pas dans les négociations.

Des milliers d’entre elles, membres de la Fédération des intervenantes en petite enfance, affiliée à la Centrale syndicale du Québec (CSQ), étaient en grève mercredi dans les régions de Montréal et Québec, de même qu’en Montérégie. Environ 30 000 enfants ont été affectés par l’arrêt de travail.

Sans contrat de travail depuis un an, les éducatrices en milieu familial exigent une augmentation salariale de 5 pour cent et veulent être rémunérées 50 heures par semaine. Or, dans sa proposition présentée le 18 septembre, le gouvernement ne leur reconnaît que 35 heures de travail par semaine et offre 1,5 pour cent de majoration salariale sur trois ans.

En point de presse avant la réunion hebdomadaire du cabinet, la ministre Charbonneau a déploré «l’impatience» des éducatrices. Selon elle, les moyens de pression sont prématurés compte tenu des progrès réalisés à la table des négociations.

«Les parents sont pris en otage, ils sont obligés de réorganiser leur journée, c’est inacceptable», a lâché la ministre, faisant allusion aux grèves tournantes.

«Nous, on pensait qu’on était prêt d’une entente, on espère qu’elles vont se rasseoir à la table et qu’on va compléter. Ça fait un an cette semaine qu’on est en négociation et on souhaite vraiment que ça s’attache», a-t-elle ajouté.

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Un édifice d’Ottawa nommé en l’honneur de l’ancien ministre Jim Flaherty

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OTTAWA – Un nouvel édifice d’Ottawa sera nommé en l’honneur de l’ancien ministre des Finances Jim Flaherty, décédé en avril.

Le premier ministre Stephen Harper a annoncé mercredi que le bâtiment de 17 étages, situé sur la rue Elgin, allait présenter une plaque commémorative à l’entrée.

L’édifice James Michael Flaherty se trouve à proximité du Centre national des arts et du Monument commémoratif de guerre du Canada.

La tour, dont la construction a été achevée cet été, hébergera quelque 2600 fonctionnaires du ministère des Finances et du Secrétariat du Conseil du Trésor.

Jim Flaherty a été ministre des Finances du Canada de février 2006 à mars 2014. Il a été reconnu pour sa gestion des finances du pays durant la récession de 2008-2009.

Stephen Harper, visiblement ému par la mort subite de M. Flaherty à la suite d’une crise cardiaque à l’âge de 64 ans, estime que son ancien collègue mérite cet hommage.

«Nous nous souviendrons de Jim comme de l’un des meilleurs ministres des Finances de l’histoire du Canada. Il a consacré les dernières années de sa vie à l’une de ses plus grandes passions: assurer le bien-être économique des Canadiens», a déclaré le premier ministre dans un communiqué.

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Bourse ce satané mois d’octobre

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Dow Plunges Over 200 Points On Economic Growth Fears

Photo : Getty Images

C’est le pire mois de l’année pour les investisseurs, et cette année ne fera pas mentir les experts.
Blogue Economie

Les Bourses de tous les pays plongent, et nul ne sait jusqu’à quelle profondeur elles vont se retrouver.

Au Canada, l’indice de la Bourse de Toronto a perdu presque 12 % de sa valeur depuis son sommet du mois de septembre. Le prix des minerais a aussi glissé, ce qui compromet l’exploitation de nouveaux gisements dans le Nord québécois.

Le prix du pétrole est également en chute. Le Brent, qui est la référence au niveau mondial, a perdu 20 % de sa valeur depuis la mi-juin, ou plus de 25 dollars le baril.

Si nous n’en avons pas profité, c’est que le dollar canadien suit la même pente descendante. Il est à un creux historique depuis cinq ans et semble destiné à glisser sous les 90 cents américains, du moins pour les prochains mois.

Pourquoi cette mauvaise humeur généralisée ? Les marchés plombent parce que les mauvaises nouvelles se succèdent en cascade. L’inquiétude est palpable, et il en faudrait de peu pour qu’on parle d’une véritable panique.

La performance anémique des pays européens et le ralentissement des pays asiatiques avaient suscité des premiers doutes. Même l’Allemagne flirte avec la récession — c’est dire comment ça va mal.

La demande mondiale est moins vigoureuse que prévu, ce qui explique la glissade du prix du pétrole et des métaux. On pensait néanmoins que la vigueur de l’économie américaine pourrait compenser et donner une impulsion positive.

Il semble que non. Les marchés ont repris leur glissade de plus belle dès l’annonce, mercredi, d’une baisse de 0,3 % des ventes au détail en septembre chez nos voisins du Sud, ainsi que d’une glissade de l’indice manufacturier de la Réserve fédérale de New York. Voilà qui suscite une grosse inquiétude : et si jamais l’économie américaine flanchait à son tour ?

Ajoutez, à ce bouquet calamiteux, de nouveaux doutes quant au refinancement de la dette grecque, la contamination d’une deuxième infirmière par la fièvre Ebola aux États-Unis et l’incertitude que crée cette maladie — notamment sur les compagnies aériennes américaines, qui ont perdu 20 % de leur valeur boursière depuis leur sommet.

Les turbulences boursières des dernières semaines nous rappellent aussi que les marchés sont tout sauf stables et que des périodes d’appréciation soutenue sont immanquablement suivies par des glissades plus ou moins pentues. Il est notamment bon de le signifier à ceux qui croient que le déficit actuariel des caisses de retraite se résorbera de lui-même grâce à une hausse constante des cours boursiers.

* * *

À propos de Pierre Duhamel

Journaliste depuis plus de 30 ans, Pierre Duhamel observe de près et commente l’actualité économique depuis 1986. Il a été rédacteur en chef et/ou éditeur de plusieurs publications, dont des magazines (Commerce, Affaires Plus, Montréal Centre-Ville) et des journaux spécialisés (Finance & Investissement, Investment Executive). Conférencier recherché, Pierre Duhamel a aussi commenté l’actualité économique sur les ondes du canal Argent, de LCN et de TVA. On peut le trouver sur Facebook et Twitter : @duhamelp.

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Une fuite de gaz force l’évacuation d’une cinquantaine d’édifices à Halifax

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HALIFAX – Une fuite de gaz naturel a forcé l’évacuation d’une cinquantaine d’édifices d’un secteur commercial de Halifax, mercredi matin.

Selon la Ville, des travailleurs de la construction ont percé une conduite principale de gaz, dans le secteur Burnside.

L’évacuation a duré plusieurs heures, et la circulation a dû être déroutée. Le courant électrique a aussi été coupé dans une grande partie du secteur.

Des relevés préliminaires indiquaient une forte concentration de gaz, particulièrement près des bouches d’égouts pluviaux, avant que la conduite principale ne soit fermée en amont et en aval de la fuite, a indiqué la Ville.

Selon le porte-parole Brendan Elliott, l’employé d’un sous-traitant qui s’affairait à la réfection d’un trottoir a percé la conduite de gaz en creusant.

Personne n’a été blessé dans l’incident.

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Tribunaux le DPCP corrige ses propos sur le nombre de dossiers en attente

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MONTRÉAL – Le bureau du Directeur des poursuites criminelles et pénales a tenu à préciser, mercredi, les propos que son représentant avait tenus, la veille, devant la Commission Charbonneau.

Mardi, Me Pierre Lapointe, procureur en chef et conseiller spécial, avait affirmé devant la commission d’enquête que 122 000 dossiers de nature pénale étaient en attente de traitement dans le système judiciaire. Or, ces chiffres dataient de 2011, a fait savoir mercredi le bureau du DPCP.

En octobre 2014, ce sont plutôt 78 392 dossiers qui étaient «en processus de traitement devant les tribunaux», a fait savoir le porte-parole du DPCP, Me Jean-Pascal Boucher.

Il a souligné que le Directeur des poursuites criminelles et pénales traite environ 500 000 dossiers de nature pénale chaque année.

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Du cochon des avions et des kilowatts

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Ebola 3 États-Unis 0

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Photo : AFP/Getty Images

L’apparition des premiers cas d’Ebola en Amérique est certes inquiétante, mais les échecs déjà constatés devraient surtout nous servir de leçon. Parce que pour l’instant, c’est Ebola 3, États-Unis 0. Trois échecs qui n’auraient pas dû se produire.

Sante_et_scienceThomas Eric Duncan, premier patient atteint d’Ebola à s’être présenté dans une urgence américaine, n’a pas été évalué correctement. Il revenait pourtant du Liberia — où il aurait fait une fausse déclaration concernant un contact avec un patient infecté — et avait de la fièvre. Deux explications possibles : ou bien les questions importantes n’ont pas été posées, ou bien le patient a menti.

De plus en plus malade, il est retourné aux urgences quelques jours plus tard. Il a alors été correctement diagnostiqué, puis isolé, et il a reçu ensuite les soins appropriés. Mais il est décédé, le 8 octobre, à 7 h 51. Entre-temps, il avait vaqué à ses occupations, approchant un certain nombre de personnes, lesquelles ont depuis été placées en quarantaine.

Infirmières contaminées

Comme en Espagne, c’est du côté des soignants qu’on peut maintenant constater les dommages : l’infirmière Nina Pham, qui a soigné Thomas Eric Duncan, a été contaminée durant son travail, bien qu’on ignore encore comment.

Le Center for Disease Control (CDC) a évoqué un «bris de protocole», mais j’ai eu beau chercher, je n’ai rien trouvé de plus sur le Web. Pourtant, cette information serait cruciale : il serait alors possible de prévenir sa répétition.

Les syndicats nationaux des infirmières donnent pourtant un autre son de cloche : il n’y aurait tout simplement pas eu de protocole en place, l’information ne circulait pas, et le personnel était mal préparé. Si c’est le cas, le problème est d’une autre nature, puisqu’on aurait failli à une responsabilité collective, ce qui est beaucoup plus grave.

Dans les jours qui ont suivi, une autre infirmière, Amber Vinson, a aussi été contaminée. Elle aurait ensuite pris l’avion, la veille de son diagnostic, ce qui a obligé les autorités sanitaires à retracer les 132 passagers du vol 1143 de la compagnie Frontier Airlines pour effectuer les suivis requis. On peut s’interroger sur le suivi du personnel avec les patients dont la contamination par Ebola était déjà confirmée.

Même si un contact direct avec les sécrétions d’un patient symptomatique est nécessaire pour attraper le virus et qu’il est très improbable que les voyageurs à bord du vol aient pu l’attraper, cela n’atténuera sans doute pas les craintes de ces passagers.

J’espère seulement qu’il est tout aussi improbable pour les travailleurs de la santé de contracter la maladie s’ils prennent les mesures requises. La difficulté de comprendre comment le virus a été transmis aux deux infirmières pourrait à son tour contribuer à la propagation de la crainte des professionnels affectés aux soins de ces patients.

Sommes-nous prêts ?

Le ministre Gaétan Barrette s’est fait rassurant, affirmant que les protocoles sont bien en place. Il faut cependant comprendre la nuance entre l’existence d’un protocole et son application concrète sur le terrain. La clé des contaminations à Dallas s’y trouve peut-être.

À LIRE AUSSI SUR LACTUALITE.COM :
Le Québec prêt pour Ebola >>

Parce qu’un protocole, c’est un document écrit. Il est vrai que les protocoles existent et ont été largement diffusés dans le réseau. Ils indiquent effectivement quel matériel doit être utilisé, quelles sont les mesures à prendre pour identifier les patients, comment les isoler, comment se vêtir pour se protéger soi-même, comment disposer des liquides biologiques contaminés, comment manier les échantillons de sang — bref, apparemment tout ce qu’il faut pour bien réagir.

Mais comme pour toute urgence, surtout quand il s’agit de situations rares — en particulier si l’anxiété se met de la partie —, un protocole écrit n’est rien s’il n’est pas mis en application dans des pratiques qui, bien souvent, permettent la détection de failles peu apparentes à la lecture, puis d’en corriger les lacunes. La simulation réussie d’écrasement d’avion réalisée l’autre jour à Montréal avait exactement cet objectif.

Pratiquer les protocoles

Joanne Liu, présidente de Médecins sans frontières (MSF), a mentionné l’autre jour à Tout le monde en parle les délais rencontrés lors d’une simulation pour déceler, dans la salle d’attente de l’hôpital Sainte-Justine, un enfant potentiellement «contaminé» par Ebola, mais qui avait passé le triage sans encombre. Dans une urgence où une vaste quantité d’enfants consultent pour de la fièvre et proviennent de toutes les communautés, imaginez le défi de rester toujours aux aguets.

J’ose espérer que dans tous les milieux hospitaliers, diverses pratiques ont lieu pour aiguiser les réflexes. Il ne s’agit pas d’alarmer les gens : il s’agit plutôt de rassurer les médecins et le personnel soignant afin de leur permettre de mieux soigner les patients qui pourraient se trouver aux prises avec Ebola — ou d’autres infections graves et infiniment plus probables.

Parce que la première condition pour bien s’occuper de nos patients, c’est de se sentir soi-même en sécurité. C’est une règle de l’art : ne jamais se mettre en danger soi-même. Toute la science des interventions d’urgence repose sur ce principe fondamental, sans lequel pratiquer le métier de pompier, de paramédic, de policier, d’urgentologue ou d’infirmière d’urgence — sans compter tout le personnel — serait humainement impossible.

Soyons clairs : des cas réels d’Ebola, il est improbable d’en rencontrer chez nous. Mais plusieurs patients continueront de se présenter avec de la fièvre et d’autres facteurs de risque pour la maladie. A priori, pour chacun de ces cas, il faut agir comme s’il s’agissait d’un patient porteur d’Ebola, avec tout le stress que cela peut engendrer sur les soignants… surtout si des doutes existent quant à la suffisance des moyens de protection en place.

C’est d’autant plus important au vu de l’expansion à peu près certaine de l’infection en Afrique, de la présence de patients non identifiés en sol nord-américain et des difficultés d’identification et d’isolement des premiers cas rencontrés.

Mieux vaut être trop préparé que pas assez. À cet égard, une telle préparation est garante du maintien de la capacité d’action des soignants et permettra surtout d’éviter la panique, souvent causée par le manque d’information et l’incertitude quant à la capacité de se protéger.

Il s’agit là de problèmes réels, et qu’il faut régler. Parce que malgré tout, ce sont des problèmes de sociétés riches. Si l’Afrique n’avait que ces problèmes à régler, elle serait bien heureuse.

Le drame de l’Afrique

C’est évidemment loin d’être le cas : les ressources de base manquent, les travailleurs de la santé sont eux-mêmes affectés, le manque d’information nuit à la lutte contre la maladie et les problèmes sociaux engendrés par la présence du virus vont croissant.

Sans compter les problèmes endémiques touchant les besoins fondamentaux, comme la nourriture, l’eau et la sécurité, qui contribuent aux difficultés rencontrées pour affronter des crises plus ponctuelles à l’instar de celle d’Ebola.

De très loin, le plus gros problème sanitaire, humain et de santé publique concernant Ebola, c’est l’Afrique. Jusqu’à 10 000 cas par semaine pourraient s’y déclarer à partir de décembre, dans un contexte où les ressources et les soins sont largement insuffisants. Pour l’instant, dans ces pays, c’est donc «Ebola 4 447, reste du monde 0» — peut-être le titre que j’aurais dû utiliser.

Quoi qu’il en soit, il est temps d’agir, tout le monde le dit. La présidente québécoise de MSF s’était d’ailleurs montrée pessimiste, en septembre dernier, affirmant au nom de son organisme que le monde «perdait la bataille contre l’Ebola».

L’ONU lance un nouveau cri d’alarme : le monde serait en train de «perdre la guerre contre le virus Ebola». L’épidémie «est loin devant nous ; elle va plus vite que nous et elle est en train de gagner la course», selon Anthony Banbury, chef de la mission des Nations unies chargée d’Ebola.

Si perdre une bataille, c’est déjà beaucoup trop, perdre la guerre contre Ebola, on ne peut même pas l’envisager. Il est plus que temps de consacrer les ressources requises internationalement pour juguler le problème à la source, tout en complétant chez nous la préparation requise.

* * *

À propos d’Alain Vadeboncœur

Le docteur Alain Vadeboncœur est urgentologue et chef du service de médecine d’urgence de l’Institut de cardiologie de Montréal. Professeur agrégé de clinique à l’Université de Montréal, où il enseigne, il participe aussi à des recherches sur le système de santé. Auteur, il a publié Privé de soins en 2012 et Les acteurs ne savent pas mourir en 2014. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter :@Vadeboncoeur_Al.

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Blog de pc35 - victoria le majestueux jardin butchart et juan de fuca

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Les quotas de chasse à l’ours polaire réduits de 25 pour cent au Canada

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Les quotas de chasse pour la population d’ours polaires la plus méridionale du Canada ont été considérablement réduits.

Les Inuits et les Cris ont accepté d’abaisser leurs quotas dans le sud de la baie d’Hudson à 45 ours par année, soit une diminution de 25 pour cent.

Les scientifiques estiment que ce nombre est encore probablement encore trop élevé pour les bêtes, qui habitent le nord du Manitoba, de l’Ontario et du Québec.

La population s’est stabilisée à quelque 900 ours polaires, mais leur santé et leur taux de survie continuent de décliner au fil du temps.

Les ours polaires du sud de la baie d’Hudson sont parmi les plus touchés par les changements climatiques.

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Blog de vitobobheat - Cappadokia

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Avion un trou se forme en plein vol

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Les passagers d’un vol d’American Airlines entre San Francisco et Dallas (Etats-Unis) ont dû avoir peur.

Dans une vidéo, un voyageur a filmé des hôtesses qui observent une paroi en train de se décoller de la carcasse. Le pilote a décidé de faire demi-tour et de se poser en urgence à San Francisco après avoir constaté les dégâts. Les 184 passagers et 6 membres d’équipage n’ont pas été blessés.

Selon un porte-parole d’American Airlines, c’est un conduit d’air qui aurait éclaté, rapporte le Daily Mail.

Regardez la scène :

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Jet Airways renforce son offre de vols entre Paris et l’Inde

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La compagnie aérienne Jet Airways va proposer quatre nouveaux vols quotidiens entre Paris et quatre destinations indiennes via Abu Dhabi.

A partir du 14 novembre prochain, Jet Airways, compagnie aérienne internationale indienne, ajoutera 4 nouveaux vols vers l’Inde au départ de Paris-CDG. Via Abu Dhabi, il sera donc possible de rejoindre quatre destinations : Ahmedabad, Goa, Lucknow et Pune.

Depuis le mois de mai dernier, Jet Airways relie Paris et Mumbai en vol direct deux fois par jour en partenariat avec Air France. Ces 4 nouveaux vols quotidiens vers des destinatinons « business » et touristiques en Inde renforce de développement de la compagnie en France. Elle opère aujourd’hui dans 75 destinations en Inde et à l’international.

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Heureuse nouvelle

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MAROC, 3ème pays le plus accueillant au monde ! Sur 140 pays analysés par le Forum Economique Mondial (World Economic Forum), le Maroc figure parmi les 20 pays qui ont reçu la mention "Très Bien". Mieux encore, le Royaume arrive en 3ème place de ce classement, juste derrière l'Islande et la...

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Le monument aux morts

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Voici le monument aux morts de Monteux, que je trouve assez original.

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Partez en Martinique sur la chaine Voyage

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Dans quelques minutes, aujourd'hui mardi 14 octobre à 9h55, notre film "Martinique, nuances tropicales" est diffusé sur la chaine Voyage.

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Cest larrivée à Toulouse

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Aujourd'hui 27 septembre c'est ma dernière étape du court périple de 13 jours que je viens d'effectuer entre Saint Guilhem le Désert et Toulouse. Cette après-midi je serai à Toulouse et je rentrerai chez moi. C'est à 8 heures comme les autres jours que je pars du gîte de Baziège en disant « au...

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Décès du criminaliste de Montréal Pierre Panaccio à l’âge de 61 ans

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MONTRÉAL – Un criminaliste de Montréal bien connu, Pierre Panaccio, est décédé dimanche d’un cancer à l’âge de 61 ans.

L’avocat Panaccio secondait dans sa tâche son confrère Luc Leclair qui défend présentement le présumé meurtrier Luka Rocco Magnotta qui subit son procès au Palais de justice de Montréal.

Pierre Panaccio a représenté de nombreux membres et sympathisants des Hells Angels au cours des dernières décennies. Il devait bientôt plaider dans le dossier de l’opération policière SharQc, à Montréal.

Il a aussi défendu des accusé dans le dossier de la fraude chez Norbourg.

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Népal 12 personnes dont 4 Canadiens tuées dans une avalanche lors d’une tempête

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KATMANDU, Nepal – Une avalanche déclenchée lors d’une violente tempête qui a balayé le Népal, mercredi, a entraîné 12 personnes dans la mort, dont quatre Canadiens.

Selon les autorités locales, les victimes ont été ensevelies par la neige lors de l’avalanche survenue sur un flanc d’une montagne de la chaîne des Himalayas. Les opérations pour retrouver les corps pourraient durer plusieurs jours.

Trois autres personnes ont été tuées lundi dernier dans le même secteur situé à environ 160 kilomètres au nord-ouest de Katmandou, la capitale du Népal. Les cadavres de ces trois malheureux ont été localisés mercredi.

Les identités des quatre Canadiens ensevelis ne sont pas encore connues.

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Montérégie disparition d’un septuagénaire depuis mardi soir à Verchères

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VERCHÈRES, Qc – Un homme âgé de 77 ans qui est porté disparu de son domicile de la Montérégie depuis le milieu de la soirée, mardi, fait l’objet d’actives recherches policières depuis le lever du jour, mercredi.

Wilfrid Larose, un homme qui souffre de la maladie d’Alzheimer, a été vu pour la dernière fois à son domicile de Verchères vers 20h30. Ses proches ont signalé sa disparition environ deux heures plus tard, les premières recherches pour le localiser n’ayant rien donné.

La famille signale que malgré son âge, Wilfrid Larose est une personne qui marche habituellement d’un bon pas. Au moment de sa disparition, le septuagénaire portait une chemise à carreaux noirs et bleus. <

La Régie intermunicipale de police Richelieu/Saint-Laurent a fait appel à des chiens pour aider aux recherches qui sont déployées mercredi. (Collaboration Cogeco Nouvelles)

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Blog de mesvadrouilles - Don Khong

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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