Dans le cadre de ses actions de promotion du tourisme d’affaires en France, Atout France fait évoluer sa stratégie.
Atout France organise depuis 2007, l’opération « Evénement France » qui permet de faire découvrir chaque année l’offre « affaires française » à 250 organisateurs d’événements professionnels en provenance du monde entier.
Durant leur séjour en France, ces « hosted buyers » participent au salon Bedouk qui leur offre une formidable vitrine de la qualité et des savoir-faire français en matière d’organisation d’événements professionnels.
A partir de 2013, Atout France accompagnera Bedouk dans la promotion de la manifestation auprès des organisateurs d’événements à qui le Salon proposera son propre programme « MADE IN BEDOUK ».
250 Hosted Buyers, sélectionnés par les équipes du salon et les partenaires hôteliers, seront accueillis à Paris pendant deux jours. 7 marchés sont particulièrement ciblés : le Benelux, la Suisse, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie, l’Espagne, les USA.
Ce programme, ambitieux et valorisant pour la destination France, vise à accueillir les meilleurs décideurs européens sur le salon leader du Tourisme d’affaires Français.
De son côté, le Club Français du Tourisme d’Affaires Réceptif (CFTAR) de Atout France
continuera de collaborer avec le salon Bedouk en apportant son savoir-faire.
Une réflexion est actuellement menée sur le nouveau format à donner à l’opération « Evénement France ». Il sera annoncé par Atout France dans les mois qui viennent.

Contacts presse

Arthemuse-rp Atout France

Emmanuelle Soubeyre - 01 43 02 08 17
Stéphanie Cadet

– 01 42 96 70 75

http://www.arthemuse-rp.fr/
 

Stephanie.cadet@atout-france.fr

"Finie l’époque pas si lointaine où les choses étaient simples : il y avait les bonnes agences et les mauvaises agences. Celles qui sont montées à temps dans le train du Web. Et celles qui sont restées à quai. Et toutes les agences travaillaient avec des TO qui travaillaient, simplement, avec des réceptifs du monde entier. Les rôles étaient bien distribués.

A l’un la commercialisation, le marketing, les négociations avec les compagnies aériennes, à l’autre la logistique terrain, les résas, le quotiden avec les clients.

e monde était simple. C’était il y a 10 ans.
Puis, vers l’an 2000, Internet a tout bouleversé. C’était hier.
En 2010, être sur internet, c’est un peu comme avoir un fax en 1998.

Aujourd’hui, les réceptifs ont un site web, parfois sous une seconde marque De l’autre coté, de nombreuses agences essayent de travailler directement avec les réceptifs sans passer par le TO. Certains TO montent ou rachètent des réceptifs dans des pays à fort potentiel, d’autres encore négocient en direct avec des hôtels, des guides.

Puis, récemment, tout est devenu encore plus compliqué, pays émergents, technologies open source disponibles, nouveaux modèles de distribution, internationalisation, mondialisation des acteurs :
Certains sites mettent le client en contact direct avec le réceptif.
Certains font travailler des experts voyage depuis leur domicile.

Quant au marché « groupe », les plus gros mangent les moins gros pour des volumes toujours plus gros et des marges toujours plus maigres, et ce dans un contexte de crise.
Puis des plateformes gigantesques mondiales d’hôtels, maintenant d’hébergements de particulier à particulier, de restaurants, de location de voiture, viennent pimenter le décor.

Pire : des réceptifs, depuis 2011, ceux qui n’ont pas accès aux TO mais seulement accès au web, montent des plateformes de départs garantis… bref, des réceptifs deviennent purement et simplement des concurrents directs des TO, eux-mêmes concurrents de TO ou d’agences anciennement clientes. Pendant ce temps, rien ne change vraiment: la concurrence la plus féroce se joue entre réceptifs, et entre TO. Comme au bon vieux temps.
Bref, tout le monde est concurrent et partenaire de tout le monde …

Ceux qui s’en sortent le mieux ont sans doute compris depuis un certain temps que l’avenir passe par un outil technologique pointu

Ils l’ont soit acheté, soit développé eux-mêmes. Globalement, ca fait presque 10 ans qu’ils développent leur outil. C’est fastidieux de développer un outil. Et c’est cher. Et aussi, une fois qu’on l’a, on ne veut pas en changer.

Le problème, c’est que d’avoir été pensé il y a 10 ans, ces outils ont été montés dans de désormais vieilles base de données, peu adaptées au Web et à la décennie qui se profile. Ces outils sont en théorie « transformables » pour devenir online, Web friendly, mais fondamentalement, quand le moteur d’une voiture ne colle pas, rien ne sert de changer la carrosserie, mieux vaut changer de moteur et reprendre tout de zéro.

Et puis, il y a aussi un autre problème… auquel peu de gens accordent de l’importance. Pourtant, il est crucial.

Ce problème, je dirais plutôt cette richesse, c’est la base de données.
Nous avons développé la solution Toogo pendant 4 ans de dur labeur. Nous pensons même que nous avons développé la meilleure solution du marché. Toogo sera peut-être dépassé dans 2 ans. Peut-être pas. Ainsi va la vie des lignes de code.
Mais quel que soit l’outil, aussi performant soit-il : pour faire du tourisme sur mesure, il est indispensable de disposer d’un outil, mais il faut aussi songer à la base de données indispensable pour vraiment faire du tourisme sur mesure.

Il est indispensable de disposer d’un outil, mais il faut aussi songer à la base de données indispensable pour vraiment faire du tourisme sur mesure

Imaginons maintenant une plateforme… ses produits aux odeurs tropicales, aux multiples facettes, options à foison et dans toute les langues, ses itinéraires dessinés automatiquement sur de jolis cartes interactives et des gentils boutons pour modifier en quelques clicks experts une demande d’un client exigeant.

Mais, me direz vous, de telles plateformes existent déjà, non ?

Certes. Mais combien d’hôtels et de modules par destination : 10, 100, 200 ?
Cela permet-il de faire du véritable voyage sur-mesure ?
Non. Cela permet de faire du tourisme « modulaire », avec envoi d’emails aux intermédiaires pour toute légère modification. 48 heures environ entre la demande et la réponse. Pour les meilleurs.

Maintenant, imaginez la base de données de n’importe quel réceptif digne de ce nom au Brésil, en Chine, en Afrique du Sud. Certains l’ont saisi sur Toogo. En plusieurs langues. Vous voulez un chiffre moyen ? 1000 produits. Mais ca peut aller bien plus loin. 1000 produits dont 300 hôtels et ses multiples options. 700 excursions, 700 petits lego que l’on peut emboiter les uns aux autres. Je parle ici d’une destination moyenne.
Prenons 50 destinations importantes.
Cela représente alors 50 000 produits au minimum.

Comment faire pour accéder à cette base de données multilingue, multidevise, spécialisée, thématique, mise à jour tous les jours, améliorée en permanence, en évolution constante en fonction des fermetures et ouvertures d’hôtels, de sites, de reconnaissance terrain ?

En changeant de modèle. Au grenier la vision pyramidale, le besoin de contrôle du X ou de Y de toute la chaîne… au placard cette vision peut-être déjà surannée de la concurrence entre le réceptif, le TO, l’agence…

Notre opinion, c’est que l’avenir du sur-mesure est à la mise en réseau des atouts des différents acteurs. Parce-que c’est plus puissant, plus rapide, plus enthousiasmant que chacun dans son coin.

L’avenir est sans doute au réseau de réceptifs connecté avec le TO qui centralise. Un réseau de réceptifs parlant le même langage, connectant leurs bases de données sur celle du TO. A l’informaticien le moteur, au réceptif l’essence, et au TO la carrosserie et les détails ; Constituer un tel attelage c’est ouvrir de nouvelles possibilités à un tourisme sur mesure de qualité, innovant, enthousiasmant;

C’est possible. C’est ce que nous avons l’intention de rendre possible :
Louer la même solution à 50 réceptifs de la planète. Tous des spécialistes du sur-mesure, tous anglophones, francophones, hispanophones, tous convaincus que Toogo vaut suffisamment la peine pour non seulement payer la facture mais surtout pour consacrer des ressources pour saisir la base de données.

Tel est le pari et la partie la plus difficile : proposer un outil suffisamment performant pour qu’il soit adopté par les meilleurs.
Fin 2012, les réceptifs équipés Toogo représenteront environ 20. Fin 2013, 40 ? plus ?
Cela représenterait, fin 2013, 70 000 produits déjà saisies en français. Cela représente environ un travail de saisie de 17 ans de travail pour une personne. Sans parler des mises à jour.

Connectons alors ces Toogo ensemble sur la plateforme Toogo du distributeur, système hybride ou vont se côtoyer des produits saisis en interne et des produits envoyés par le réceptif. C’est assez simple au fond, tous partagent une architecture commune… le Toogo TO et le Toogo réceptif sont identiques, seul change la direction de la migration des données.

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"Longtemps construites selon le « tout automobile », les villes doivent désormais réfléchir à se développer différemment. L’objectif est de réduire de 20% les émissions de CO2 des transports d’ici à 2020, pour les ramener à leur niveau de 1990.

Aussi, face aux progrès restant à accomplir dans ce domaine vers un moindre impact environnemental mais aussi sanitaire, la Fédération France Nature Environnement (FNE) et l’ADEME se sont mobilisés. Partenaires, ils proposent aux principaux acteurs territoriaux, un état des lieux de l’écomobilité sous toutes ses formes.

« L’écomobilité : Repenser nos déplacements » est une plaquette de sensibilisation et d’information qui s’adresse à tous ceux concernés au premier chef par les questions d’écomobilité : élus, associations et professionnels. Elle fournit des informations sur les différents outils et démarches d’écomobilité : les lois et dispositifs réglementaires, le management de la mobilité, l’apport du numérique au service de l’écomobilité, les alternatives à l’utilisation de la voiture individuelle ou encore les différents acteurs de l’écomobilité".


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Parce que les transports représentent 32% de la consommation d’énergie finale en France,
parce que 26% des émissions de gaz à effet de serre en France proviennent du secteur des transport, parce que les émissions de CO2 sont directement liées à la consommation de carburant (en consommant moins d’énergie, on diminue les émissions de CO2 et on réduit le montant de ses factures de gazole), parce que la qualité de l’air ambiant est une préoccupation majeure, les transporteurs routiers de marchandises et de voyageurs sont particulièrement concernés par les objectifs nationaux de réduction de 20% des émissions de CO2 d'ici 2020.

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Les professionnels du secteur regrettent que le ministre de l'Éducation nationale ait pris cette décision sans concertation. Ils craignent, en contrepartie, un rabotage des vacances d'été et des week-ends.
Cueillis à froid. C'est ainsi que se sentent les professionnels du tourisme, après l'annonce surprise de Vincent Peillon ce jeudi. Ce dernier a déclaré que les vacances de la Toussaint seraient allongées de quatre jours, et ce, dès la rentrée de 2012. Initialement prévues du samedi 27 octobre au jeudi 8 novembre, celles-ci devraient donc être prolongées jusqu'au lundi 12 novembre au matin.

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le résumé

1. Les départs
La tendance des départs du mois de mai 2012 est légèrement en hausse, de +1% en volume d’affaires même si le nombre de passagers est en baisse de -4% par rapport à mai 2011. Les départs des Français vers les destinations long courrier ont augmenté de +16% en volume d’affaires, contrastant avec la chute de -9% en volume d’affaires vers le moyen courrier. La destination France continentale tire son épingle de jeux en se démarquant par une nette augmentation de +9% du volume d’affaires, même si le nombre de passagers marque un léger recul de -0.4%.
Au niveau du moyen courrier, les départs vers l’Espagne et La Grèce, qui avaient bénéficié d'un report de la clientèle ayant déserté le Maghreb, reculent respectivement de -9 % et -37% en volume d’affaires. Le Maroc, en recul de +6% en volume d’affaires, conserve sa place dans les cinq destinations moyen courrier les plus prisées par les Français pour cette période printanière. Les départs vers La Tunisie, qui n’atteignent toujours pas le niveau de mai 2010 avant la crise politique (-59% par rapport à mai 2010), enregistre une augmentation de +25% en volume d’affaires par rapport à la même période en 2011.
Parmi les destinations long courrier, les destinations Nord américaine, en l’occurrence les USA et le Canada enregistrent forte hausse des départs, respectivement de +50% et +123% en volume d’affaires. Les départs sont aussi en hausse vers l’Indonésie de 46% en volume d’affaires. Pour les destinations de l’Océan indien, l’ile Maurice enregistre une légère hausse, alors que les Seychelles sont en forte chute.
Les départs vers les Antilles françaises augmentent de +6% en volume d’affaires, en contraste avec la forte baisse des départs vers la réunion de -37% en volume d’affaires.
La structure des délais de réservation, pour le moyen courrier, est relativement stable par rapport à mai 2011. Pour la France continentale, la part des séjours anticipés de plus de 3 mois avant le départ marque une progression favorisée par les nombreux ponts de mai. La part des séjours réservés à moins de huit jours du départ augmente significativement pour le long courrier, au détriment des séjours anticipés de plus de 3 mois avant le départ. Le phénomène des ventes de dernière minute reste fort sur les USA et le Canada.
La proportion des courts séjours a augmenté pour le moyen courrier et le long courrier. L’évolution de la structure des durées de séjour pour la France continentale est relativement stable, quoique traduisant un léger transfert des courts vers les moyens séjours.

2. Les réservations
La tendance des réservations de mai 2012 quant à elle, est à la baisse, de -11% en nombre de passagers et de -9% en volume d’affaires.
Les réservations sur le moyen courrier sont en baisse, de -9% en volume d’affaires. Les prises de commandes vers la Tunisie progressent de +90% en volume d’affaires et confirment la reprise entamée depuis début de l’année mais la volumétrie de réservation n’atteint toujours pas le niveau d’avant crise (-30% par rapport à mai 2010). A l’inverse, L’Espagne et la Grèce enregistrent un recul des réservations, respectivement de -28 et -45% % en volume d’affaires. L'instabilité politique et la hausse des taux de TVA suite aux plans d'austérité, conjugués à la reprise de la Tunisie, compromettent les réservations vers la Grèce.
La tendance des réservations sur le long courrier est en baisse de -8% en volume d’affaires. Toutefois les États-Unis et les Maldives enregistrent une augmentation des réservations, respectivement de +22% et +41% en volume d’affaires.
La France continentale enregistre une baisse des réservations, de -8% en volume d’affaires. Pour les territoires d’outre mer, la Réunion est en forte chute. Les Antilles françaises enregistrent quant à elle une forte poussée des prises de commande pour la période de juillet à septembre, avec un allongement des durée de séjour correspondantes.

le baromètre

Voici quelques mois, le Ministère du travail avait communiqué sur l'égalité dans l'entreprise et évoquait les déplacements pour les personnes à mobilité réduite. Aujourd'hui, en France, quelques personnes voyagent pour leurs affaires en fauteuil roulant. Bien moins que dans l'Europe du Nord.
Une occasion pour la Communauté européenne de publier des orientations pour expliquer les droits des passagers aériens handicapés ou à mobilité réduite. Pour formuler ses orientations, la Commission a analysé en détail le règlement concernant les droits des personnes handicapées et des personnes à mobilité réduite lorsqu'elles font des voyages aériens.
Bien que la législation de l'UE sur les droits des passagers soit en vigueur depuis plus de quatre ans, des problèmes pratiques et des incertitudes persistent tant du côté des transporteurs aériens et des aéroports que des passagers handicapés ou à mobilité réduite. Il arrive encore trop souvent que des voyageurs fassent l'objet, au moment de la réservation ou de l'embarquement, d'un refus ou de restrictions abusifs sur la base d'obscures raisons de sécurité. Seule une faible proportion de voyageurs handicapés (environ 40 %) connaissent leurs droits et notifient à l'avance leur besoin d'assistance. Cette démarche est pourtant indispensable pour laisser aux aéroports et aux transporteurs aériens le temps de répondre à leur demande. Étant donné que la loi n'est pas appliquée uniformément, certains voyageurs se voient imposer des exigences ou des restrictions différentes d'un aéroport ou d'une compagnie aérienne à l'autre.

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La Société des bains de mer (SBM), qui gère les principaux hôtels et casinos de Monaco, a cumulé une perte nette de 33,2 millions d'euros lors de son "très mauvais" exercice 2011/12 (terminé fin mars), après 17,3 millions d'euros de perte nette en 2010/11.
"On est au fond du trou, c'est le plus mauvais exercice qu'on ait jamais fait", a constaté Jean-Luc Biamonti, le président du conseil d'administration, au cours d'une conférence de presse. S'il se montre "agréablement surpris" par une tendance "favorable" en ce début de nouvel exercice entamé en avril, Jean-Luc Biamonti reste néanmoins dubitatif sur une amélioration de la conjoncture économique dans les prochains mois.

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La pluie s'invite ce printemps partout en France, alors que les Français sont, pour encore un bon nombre, en train de préparer leurs vacances d'été. Pour les rassurer, les voyagistes ressortent leur "garantie soleil". Ces offres commerciales ont été imaginées pour inciter les vacanciers à réserver en amont et ne pas attendre la dernière minute. Et le soleil. Remboursement ou changement de destination, voici comment elles fonctionnent. Mais gare à la définition de l'ensoleillement...
Le printemps maussade, qui a apporté son lot de pluie, incite les voyagistes à anticiper le pire pour les vacances d'été, qui débutent dans moins d'un mois. Les professionnels ont aussi tiré les leçons de juillet 2011, lui aussi particulièrement pluvieux. Une météo qui a vite échaudé les vacanciers et conduit à une vague d'annulation.
Pour doper les réservations, qui ont encore du retard, les voyagistes ont créé des assurances "soleil". Enjeu : le remboursement en cas de temps d'automnal, en plein été.
Des garanties pour pousser à la réservation
Les clubs Belambra ont ainsi imaginé deux bonus. Le premier, réservé à ses villages sur la côte Atlantique, garantit pour 1€ de plus par personne, le remboursement de 200€ par semaine de séjour si le temps est mauvais. Mais attention, cette option n'est valable que s'il y a trois heures d'averses consécutives, trois jours durant, pendant la totalité du séjour.
Le "Bon plan météo" créé par la marque promet aussi que si Météo France prévoit un minimum de deux jours d'intempéries sur un séjour d'au moins sept nuits consécutives, les vacanciers disposent d'un délai courant entre trois et cinq jours avant leur départ pour changer de club, sans frais de modification et sous réserve de disponibilité.
Pierre & Vacances n'est pas en reste. Baptisée "le droit au soleil", la garantie est offerte gratuitement dans le prix de la location. Cette offre donne, elle aussi, la possibilité jusqu'à trois jours avant le départ, sans frais supplémentaire et selon les disponibilités, de changer de destination ou de modifier les dates de ses vacances si le soleil n'est pas au rendez-vous. Pour connaître l'état du ciel, le groupe invite à se renseigner sur Lachainemeteo.fr. Cette assurance n'est possible que l'été, sur les villages-vacances de la côte ouest.
L'enseigne complète cette première offre par une "assurance Pack Soleil", commercialisée à 69€. Elle doit être souscrite au plus tard sept jours avant le début des vacances. Si la famille ne bénéficie pas d'au moins trois journées ensoleillées par tranche de sept jours, elle obtiendra un remboursement forfaitaire de 150€.
Transat France, qui gère notamment Vacances Transat et Look Voyages, indique à Relaxnews que "le projet est à l'étude".
"Le concept serait de partir du principe que les voyageurs doivent bénéficier d'au minimum trois jours de soleil par semaine de sept jours, six jours pour un séjour de 14 jours, etc. Une 'bonne journée' se qualifierait par au moins deux heures de soleil ardent entre 10h et 18h", explique le groupe.
L'ensoleillement, critère relatif
Les professionnels du tourisme, contactés par Relaxnews, sont unanimes pour dire que la météo sera un facteur déterminant dans la réussite de la saison estivale.
"Juillet 2011 avait été affreux du point de vue de la météo dans l'Hexagone. Du coup les Français hésitent à réserver dans l'immédiat, d'autant plus que ces dernières semaines ont été bien arrosées", déclare Sophie Barré, directrice tourisme de Voyages-sncf.com.
Barbara Guérin, directrice marketing de lastminute.com, abonde en ce sens : "Les réservations sur la France seront aussi déterminées par la météo. Même si le pays reste la première destination des Français l'été, les réservations s'effectueront probablement en dernière minute, notamment pour l'hôtellerie de plein air, hébergement marchand préféré des Français l'été, ces dernières années".
Toutefois la prudence est de mise concernant ces garanties "soleil", car la définition de l'ensoleillement est celle donnée par Météo France, et non pas celle forcément espérée par les vacanciers.
"La mesure d'ensoleillement est donnée par Météo France, qui informe sur l'ensoleillement à travers le 'rapport d'insolation', donnant le pourcentage des heures du jour où la puissance solaire dépasse 120 W/m²", explique Transat France.
Une définition similaire est donnée par Pierre & Vacances, qui rappelle que l'ensoleillement est mesuré de 10h à 18h. Une restriction qui n'a guère rebuté les 7.300 vacanciers qui ont bénéficié des garanties soleil depuis leur création, précise le groupe.


 

Le prix moyen de la chambre double standard dans la capitale grecque a chuté comparaison avec ceux pratiqués en juin l’année dernière. La plupart des grandes métropoles européennes affichent des tarifs à la baisse par rapport à juin 2011, sauf Paris et Londres. En ce début de saison estivale, la capitale grecque affiche des tarifs hôteliers fortement à la baisse, en comparaison avec l’an dernier. De 115 euros en moyenne,
la nuitée passe à 90 euros cette année, soit une diminution de 22 pour cent. Sur l’ensemble
du territoire grec, les tarifs diminuent globalement en un an, mais dans une moindre
mesure, de 7 pour cent.
Lisbonne et Madrid également à la baisse
Au Portugal et en Espagne également, les tarifs sont plus avantageux qu’en 2011 pour les
estivants. A Lisbonne, la nuitée est de 100 euros en moyenne, soit 7 pour cent de moins, et à
Madrid elle est de 104 euros en moyenne, soit 5 pour cent de moins.
A Barcelone en
revanche, les voyageurs devront davantage payer que l’an dernier pour séjourner à l’hôtel :
les tarifs y augmentent de 4 pour cent en un an, pour atteindre 145 euros en moyenne.
Paris et Londres en forte hausse
Dans les capitales française et britannique également, la nuitée flambe. A Paris, le tarif
hôtelier moyen bondit de 10 pour cent en un an, pour atteindre 209 euros en moyenne. A
Londres, il est encore moins avantageux, puisqu’il augmente de 10 pour cent, pour atteindre
225 euros.

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"Seulement 46% des professionnels considèrent que la fréquentation de mai a été bonne ou excellente. C’est surtout vrai pour les O.T./S.I.. A l’inverse, les sites touristiques sont beaucoup plus mitigés. Cette tendance est observée aussi bien au niveau des Français que des clientèles étrangères.

Les Haut-marnais sont plus fortement nuancés sur les Français. Concernant les clientèles étrangères, les Marnais et les responsables d’offices de tourism  sont positifs.

Les professionnels marnais sont les plus réservés. Globalement, les campings 2 étoiles apparaissent avoir soufferts de la météo très maussade de ce mois de mai. A contrario, les offices de tourisme est la catégorie de professionnels la plus optimiste.

Seul 1 professionnel sur 4 a vu sa fréquentation de mai progresser. Elle a été stable pour 28% et notamment pour les offices de tourisme (48%). A l’inverse, près de 4 professionnels
sur 10 et plus encore les professionnels marnais, les campings 2 étoiles et les hôtels 0 étoile ont enregistré un recul de fréquentation.

Ces proportions sont vérifiées pour les Français et les Etrangers mais des tendances différentes se dessinent selon la catégorie de structures interrogées. En effet, les sites touristiques sont très enthousiastes concernant la clientèle française (38% en hausse, +13 points), les Marnais et les hôtels 0 étoile sont au contraire anxieux. Pour les clientèles étrangères, ce sont les campings 2 étoiles et les hôtels 0 étoile, qui sont les plus négatifs".

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Pour la première fois, la GBTA s’est penchée sur le marché du voyage d’affaires de l’Europe de l’Ouest et a fait des prévisions aux vues de ses recherches. Avec son étude “GBTA BTI Outlook – Western Europe”, l’association a étudié les tendances et les résultats en France, Allemagne, au Royaume-Uni, en Italie et en Espagne pour 2012 et 2013. Avec cette étude, l'association confirme sa place de moteur dans l'univers du voyage d'affaires européen et sa forte présence chez les acheteurs voyages.
Selon l’étude de l’Association du voyage d’affaires, les déplacements professionnels des pays de l’Europe de l’Ouest représentent un marché de 198 milliards d’euros. Le secteur commence à ressentir les effets de la crise traversée par l’UE ces derniers mois. La GBTA prévoit ainsi que la croissance ralentisse sur les zones clés de l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni en 2012. Cette baisse sera encore plus importante pour les très touchées par les difficultés économiques : l’Italie et l’Espagne.
Néanmoins, les perspectives semblent meilleures pour 2013, si la zone Euro n’est pas victime d’autres problèmes financiers d'ici là.

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Les compagnies européennes et américaines seraient toujours les plus sûres au monde, selon le dernier classement de l'Agence de notation du transport aérien (Atra). Air France-KLM figure dans cette liste, alphabétique, des dix transporteurs les plus fiables. Contrairement au classement de septembre dernier, aucun transporteur asiatique ne trouve sa place dans ce palmarès.
Etabli par ordre alphabétique, ce nouveau classement offre une place à trois transporteurs européens : Air France-KLM, International Airlines Group, auquel appartient British Airways, et Lufthansa.
Six autres compagnies de cette listes sont basées sur le continent nord-américain : Air Canada, AMR Corporation (American Airlines and American Eagles), Delta Airlines, United-Continental Holdings, US Airways et même une low-cost, Southwest Airlines.
Une seule compagnie se trouve en dehors de ces deux continents, l'Australienne Qantas.
Ce classement a été établi en tenant compte de 15 critères, comme l'âge moyen ou l'homogénéité de la flotte, le nombre de personnel, ainsi que le taux d'accident.



 

Seuls 15% des établissements recevant du public sont aujourd'hui accessibles selon l'Association des paralysés de France (APF).
"Seuls 15% des établissements recevant du public sont aujourd'hui accessibles alors que 70% du temps est passé" rapporte à l’AFP Jean-Marie Barbier, président de l'Association des paralysés de France (APF). La loi handicap de 2005, qui impose de rendre les bâtiments et transports accessibles à tous avant 2015 a permis des avancées. Mais l’objectif d’accessibilité ne sera pas atteint, tant dans les transports que dans les commerces ou les hôtels.

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Plusieurs initiatives ont été engagées pour permettre aux voyageurs d'effectuer un séjour en toute tranquilité. Informations utiles, fiches pratiques, guides... tout est mis en œuvre.

Les voyages en Europe
Comment bien préparer son voyage hors des frontières françaises ? Le site de l’Union européenne propose un site internet "Voyager en Europe" avec toutes les informations pratiques pour effectuer un séjour en toute tranquillité.
Les documents à emporter, achats, argents, événements culturels, santé, transport… au total 11 sujets sont abordés de manière simple avec des vidéos pour les illustrer.
On y apprend par exemple, que l’euro est la monnaie de quelque 331 millions de personnes, que les taux de TVA comprises dans les marchandises varient selon les pays…

Les voyages en France
Au sein des ministères économique et financier, la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) et la direction générale des Douanes et des Droits indirects (DGDDI) éditent une brochure de conseils pour un bon séjour "Bienvenue en France". Chaque année, la DGCCRF publie un guide pour des vacances réussies. Le Centre de documentation économie-finances propose, à travers sa rubrique Questions-Réponses, un tour d’horizon des actions des ministères et de leurs directions pour bien préparer son voyage en France.

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Nouveau rendez-vous de l'industrie du tourisme, les Trophées de l'innovation visent à récompenser et à reveiller l'esprit d'entreprise, d'innovation et de création de la profession.
Près de 200 personnes étaient réunies hier au Pavillon Dauphine pour la remise des Trophées de l’innovation de l’Echo Touristique. Sur une centaine de dossiers déposés, les huit jurés ont sélectionné trois nominés pour chacune des neuf catégories, puis, avec le vote des internautes, un gagnant.
"Il nous a paru fondamental de récompenser l’esprit d’entreprise, d’encourager le goût du risque et de célébrer ceux qui pensent que l’avenir de leur entreprise passe par l’investissement et développement d’un projet innovant plutôt que par une course désespérée à la raréfaction des ressources" explique Cédric Neau, rédacteur en chef de l’Echo Touristique.
 

• Rhône-Alpes Tourisme et Ipsos, en partenariat avec les départements de l’Ain, de l’Ardèche de la Loire et du Rhône, s’associent pour la 4ème année consécutive afin de réaliser une grande enquête de conjoncture sur le déroulement des saisons touristiques en Rhône-Alpes en montagne, à la campagne et à la ville.
 

• Elle donne l'occasion à un large panel de professionnels d'exprimer leur opinion sur l'activité touristique dans la région.

lire le communiqué [PDF - 849 Ko]

Roland HEGUY, Président confédéral de l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) prend acte des déclarations de Vincent PEILLON, ministre de l’Education nationale, sur le rallongement des vacances de la Toussaint de quatre jours, mais regrette que cette annonce ait été faite sans aucune concertation avec les professionnels du tourisme, alors que le secteur du tourisme représente 7% du PIB français.
« Si nous sommes d’accord avec le ministre de l’Education nationale sur la nécessité de réformer les rythmes scolaires tout en respectant l’intérêt de l’enfant, nous demandons à Vincent PEILLON de mettre en place sans tarder une concertation avec l’ensemble des professionnels du tourisme sur la question des rythmes scolaires. », indique Roland HEGUY, Président confédéral de l’UMIH.

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"Atout France, organisme de promotion de la France, assurera la valorisation de la région Bourgogne dans le monde. Didier Martin, Président de Bourgogne Tourisme et Christian Mantei, directeur général d'Atout France, ont signé, vendredi 8 juin, à Selongey (Côte d'Or), un Contrat de Destination de deux ans, en présence de François Patriat, Président du Conseil Régional de Bourgogne.

La promotion touristique de la Bourgogne sera effectuée auprès de la clientèle en Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Grande-Bretagne et en Suisse. Certains marchés lointains comme le Brésil, les Etats-Unis et l'Australie sont également concernés.

Les atouts de la destination seront mis en avant, en termes de dégustation (vins, gastronomie), de découverte (patrimoine), et de mobilités douces (vélo, fluvial, équestre, pédestre), entre autres".