Bonne année 2011 pour Chypre Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) En 2011, les arrivées touristiques totales ont été de 2 392 228 visiteurs. Parmi elles, 34 363 visiteurs français contre 28 749 l’année précédente soit une augmentation de 19,5 %. en savoir plus Lire la suite... Objectif attractivité les collectivités territoriales ont compris tout l’intérêt d’attirer chez elle les salons internationaux Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) La France appartient au club des pays leaders sur le marché des salons internationaux, en Europe et dans le monde. Une position acquise, entre autres, grâce à une véritable tradition d’accueil de ce type d’événements, à des infrastructures performantes et au rayonnement du pays, notamment de sa capitale. Conscientes des retombées très positives de ces salons pour les territoires, les collectivités ont tendance à renforcer leur engagement dans ce domaine. Face à des organisateurs, exposants et visiteurs de plus en plus exigeants et à un contexte de plus en plus concurrentiel, les problématiques qui se posent à elles sont nombreuses, tant au niveau des infrastructures, de la promotion à l’étranger, que des services à proposer. Dès le XIIe siècle et tout au long du XIIIe siècle, les Foires de Champagne qui se tiennent à Troyes, Provins ou encore Bar-sur-Aube, rayonnent sur le monde occidental, en attirant les négociants d’Italie et des Flandres. Leur succès à l’époque repose notamment sur de bonnes conditions de sécurité et sur une organisation matérielle performante (halles, entrepôts, logements…) pour accueillir les marchands. Au fil des siècles, cette tradition française qui consiste à organiser de grands événements commerciaux ou professionnels ne s’est pas démentie. en savoir plus Lire la suite... Comment combattre la mauvaise réputation sur internet Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Avec la popularité croissante de sites d'opinion tels que Tripadvisor ou Trivago, hôtelier et restaurateur se doivent de veiller à ce qu'on dit d'eux sur internet. Il est de plus en plus question de faire valoir un 'droit à l'oubli' sur l'Internet. Ce droit consisterait à pouvoir faire retirer des sites internet, blogs ou forums les informations qui seraient considérés comme gênantes car appartenant au passé ou comme entravant le futur des personnes en cause. Il y a vingt ans, "seul 1 % de la population européenne avait accès à Internet", comme le souligne la vice-présidente de la Commission européenne Viviane Redding. Aujourd'hui, avec le formidable essor de ce média, il est essentiel de savoir quels sont vos droits concernant votre identité et votre réputation numérique. en savoir plus Lire la suite... Festival riez chantez jouez tout l’été Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) La saison estivale arrive, et avec elle son lot de festivals en tous genres. Partie intégrante du tourisme culturel et de son histoire, les festivals promeuvent un territoire et réciproquement. Ces échanges s’avèrent fructueux pour les associations à l’initiative de nombreux festivals et pour les collectivités qui en assurent directement ou indirectement le développement. Mais attention aux relations risquées qu’il s’agisse de subventionnement ou de recours au bénévolat. au sommaire : - Les festivals : contours de la notion, enjeux économiques et touristiques - Festivals et tourisme : une nouvelle donne est en marche - Tribune : « De l’initiative à l’intérêt général dans l’événement festivalier » - Subventions : activité marchande ou non marchande, telle est la question - Tribune : « Respecter l’histoire et les histoires des festivals » - Bénévolat : requalification, la fausse note en savoir plus Lire la suite... Du camping au glamping l’hébergement de plein air se diversifie Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Le camping se renouvelle et crée une offre hybride avec l’hôtellerie. En France, lorsque l’industrie parle de camping, elle fait d’ailleurs référence à l’hébergement de plein air, ratissant plus large que la simple tente de nylon et le véhicule récréatif. Certains parlent de glamping ou encore de camping de luxe. La technologie est aussi utilisée dans ce secteur, notamment des applications mobiles, des plateformes de réservation en ligne et l’accès à Internet sur les terrains. De plus en plus de voyageurs recherchent un compromis entre le camping, qui permet un contact privilégié avec la nature, et l’hôtellerie classique, qui assure le confort, le tout dans le respect de l’environnement. Enfin, voici un rapide tour d’horizon de certaines tendances dans ce secteur d’activité. Quelques chiffres Selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), les terrains de camping de la province ont connu en 2011 un achalandage plutôt similaire à celui de 2010, avec un taux d’occupation moyen de 66,4%. Pour cette même année, en France, l’hôtellerie de plein air a battu des records de fréquentation, en hausse de 2,8% par rapport à 2010, enregistrant 106,8 millions de nuitées. C’est surtout la popularité des terrains de quatre et de cinq étoiles qui expliquerait cette hausse, de l’ordre de 14,3%. Selon un sondage réalisé pour le compte de la Fédération Nationale de l’Hôtellerie de Plein Air, en France, les gens choisissent ce mode d’hébergement pour : * sa convivialité (90%); * la proximité avec la nature (86%); * le caractère familial (84%); * le confort (62%). en savoir plus
Lire la suite... La mobilité vient jouer les trouble-fête dans les modèles établis Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Depuis deux ans, l’Internet mobile se développe de manière exponentielle. On estime même que d’ici 2015, la majorité des connexions se feront par l’intermédiaire d’un appareil mobile. En France, les territoires ont massivement investi dans le développement des applications et des sites mobiles, et cette tendance se poursuit. Au premier trimestre 2011, on recensait 15 000 applications dans la catégorie Voyages de l’Apple Store. Plus de 600 applications sont consacrées aux territoires en France, dont une centaine éditées par les offices de tourisme ainsi que les comités départementaux et régionaux du tourisme. Non à la standardisation des sites et des applications, oui à la créativité utile Les attentes des touristes sont assez simples. Pour la préparation du séjour, ils sont à la recherche d’informations pratiques: comparaison des prix, visualisation des hébergements disponibles et, bien entendu, réservation. Sur place, ils souhaitent avoir la possibilité de procéder à la géolocalisation des lieux et disposer d’informations sur les points d’intérêt environnants. Enfin, ils aspirent à laisser leur avis sur la destination ou les prestations touristiques, et à partager des photos, des vidéos avec leur famille et leurs amis. On pourrait dire que les consommateurs attendent avant tout des services qui facilitent l’expérience: enregistrement sur téléphone, carte d’embarquement, alertes pour les retards des vols. en savoir plus Lire la suite... Google modifie le modèle de son site Hotel Finder Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Toujours en test aux Etats-Unis avant un véritable lancement mondial, Google Hotel Finder, le moteur de recherche et de réservation hôtelière, vient de connaître une modification importante. L’apparition d’une option "Google Promoted Hotels", lien sponsorisé qui arrive en tête de sélection, avec une seule option de réservation, modifie le modèle économique. Présenté comme un redoutable concurrent possible des sites de réservation hôtelière en ligne, style Expedia, Booking ou Orbitz, Google Hotel Finder se caractérisait jusqu’à présent par la neutralité de ses propositions de réservation. Ainsi, après avoir obtenu une sélection d’hôtels en fonction de la localisation et autres critères demandés par l’internaute, celui-ci avait accès à un bouton réservation qui proposait tous les sites sur lesquels l’hôtel était référencé, en plus du site propre de l’établissement. Cette formule existe toujours, mais elle est complétée par une proposition différente, le "Google Promoted Hotel", qui arrive systématiquement en tête de liste de la sélection (sur un fond coloré) et dont le bouton de réservation ne comprend qu’un seul prestataire : celui qui a payé Google pour être mis en avant. C’est naturellement celui qui accepte de payer le plus qui est sélectionné. Cela peut être un site marchant, comme Expedia ou Booking, cela peut être aussi le site de l’hôtelier ou de la chaîne s’ils ont décidé d’entrer dans la compétition des ventes aux enchères. en savoir plus Lire la suite... Les agences de voyages traditionnelles aux États-Unis une industrie en mouvement Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Depuis les 15 dernières années, les agences de voyages traditionnelles américaines ont vu leur volume de ventes chuter au profit de la distribution en ligne, ce qui a forcé un grand nombre d’entre elles à mettre la clé sous la porte. Aujourd’hui, elles redoublent d’efforts afin de rester compétitives. En 2011, leurs ventes représentaient le tiers de celles du réseau de distribution des voyages aux États-Unis, soit près de 95 milliards de dollars américains. Une récente étude de PhoCusWright s’est penchée sur ce marché en menant au cours de l’été 2011 un sondage auprès de 1 200 agents de voyages. Voici les informations qui en sont ressorties. La structure du secteur des agences de voyages Selon l’Airlines Reporting Corporation, les États-Unis comptaient un peu plus de 14 000 agences de voyages en 2011, soit 23% de moins qu’en 2007. Cependant, le nombre d’agents indépendants – ceux qui travaillent de chez eux, rattachés ou non à une agence – a crû de 29% entre 2006 et 2011, pour atteindre 40 000 personnes aujourd’hui. L’étude de PhoCusWright différencie les agences vendant des voyages d’agrément et d’affaires. Dans le premier cas, au moins 70% des ventes concernent des voyages d’agrément, alors que dans le second, au moins 60% se rapportent aux voyages d’affaires. Les agences de voyages d’agrément représentent 67% de l’ensemble du réseau, par rapport à seulement 7% pour les agences de voyages d’affaires. Le reste rassemble les agences dites «générales», qui n’ont pas un volume de ventes correspondant aux critères du sondage. en savoir plus Lire la suite... Italie le secteur du tourisme inquiet après la série de séismes Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Le séisme de magnitude 4,5 qui s’est produit au large de Ravenne, en Italie, a fait très peu de dégâts et pas de blessé. Mais cette série noire inquiète les professionnels du tourisme, à l’abord de la saison estivale. Présidente de l’ association des hôtels de Rimini, Patrizia Rinaldis nous a donné son sentiment dans une interview réalisée par téléphone : “Le tremblement de terre s’est produit à 25 kilomètres de profondeur, la mer et le sable ont contribué à en atténuer l’impact en terme de dégâts. Mais ce séisme inquiète les gens qui ont prévu de partir en vacances sur la côte adriatique. en savoir plus Lire la suite... L’usage des technologies de l’information et de la communication par cinq générations Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Les adultes québécois sont toujours plus nombreux à utiliser Internet. Selon le dernier rapport NETendances, plus de 5 millions de personnes l’employaient occasionnellement ou régulièrement en 2011. Les générations Y et X sont les mieux équipées pour profiter pleinement des technologies de l’information et de la communication (TIC) et ainsi se divertir, consommer, socialiser et s’informer. Cependant, c’est le boomer qui dépense en moyenne le plus par mois. Cette analyse présente quelques résultats de l’enquête NETendances 2011, menée par le CEFRIO, en collaboration avec Léger Marketing, et met en lumière les principales utilisations des TIC faites par cinq générations d’internautes définies comme suit: en savoir plus
Lire la suite... Jordanie les touristes français se font attendre Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Le Jordan Tourism Board (JTB) a réuni 700 personnes du monde entier, dont une dizaine de voyagistes français. Un intérêt de la communauté touristique qui lui seront utiles pour retrouver la dynamique qui avait porté la fréquentation du pays, de 5,58 millions de touristes internationaux en 2004, à 8,24 millions en 2010. "C’était l'époque où nous traitions plus de 1 000 individuels, plus une dizaine de groupes par an", se souvient Olivier Wallaert, responsable Grands Comptes chez Rev Vacances. Il ajoute : "Nous avons suspendu la programmation l’année dernière". en savoir plus Lire la suite... Pour la Journée mondiale de l’environnement l’OMT lance un projet destiné à protéger la biodiversité en Géorgie Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) À l’occasion des célébrations de la Journée mondiale de l’environnement, l’OMT lance un projet en faveur de la biodiversité en Géorgie visant à protéger, grâce au tourisme, les écosystèmes de montagne et d’eau douce. La biodiversité, qui incite des millions de personnes à voyager de par le monde chaque année, constitue le capital naturel du tourisme. Or, la biodiversité est en péril à l’échelle mondiale, principalement à cause d’activités humaines réalisées sur une base non durable. « La biodiversité, qui tient une place centrale dans l’existence de chacun d’entre nous, est pourtant en train de s’appauvrir à un rythme alarmant » a déclaré le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai. « En développant un tourisme durable, nous pouvons contribuer à changer les mentalités et accroître la conservation. Ce projet-ci permettra de mieux faire connaître la richesse que recèle la Géorgie en matière de biodiversité, d’obtenir des revenus aux fins de la conservation de la nature et de préserver, pour les générations futures, des espèces et des habitats précieux. » « Au sein de la région du Caucase, la Géorgie représente une zone de grande diversité biologique. Ces zones écologiquement riches sont reconnues à l’échelle mondiale comme étant des zones prioritaires, d’après des critères tels que la diversité des espèces et des variétés de plantes. Cette grande diversité biologique rend la Géorgie encore plus attrayante en tant que destination touristique » a affirmé la Directrice de l’administration nationale géorgienne du tourisme, Maia Sidamonidze. « L’écotourisme peut financer la conservation, contribuer à la protection des écosystèmes menacés et promouvoir le développement des zones touchées par la pauvreté. Toutefois, il existe aussi des exemples où le tourisme a un impact négatif sur l’environnement. Compte tenu de ces effets opposés, le projet vise à réduire cette dualité en faisant mieux connaître ces zones à protéger. » en savoir plus
Lire la suite... LUE lance un dialogue sur la libéralisation des visas avec la Géorgie The EU starts a visa liberalisation dialogue with Georgia Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) The aim of the dialogue is to examine all the relevant conditions for visa-free travel to the EU for Georgian citizens. In doing so, the EU is living up to its commitment to closer cooperation and increased mobility in a secure environment with its Eastern neighbours, including Georgia, as asserted in the Warsaw Declaration of the Eastern Partnership summit in September 2011. Following her meeting with Mr. Grigol Vashadze, Georgian Minister of Foreign Affairs, Cecilia Malmström, EU commissioner for Home Affairs, said: "Today we demonstrate once more our longstanding commitment to strengthen the ties between our countries and people. The start of this visa liberalisation dialogue indeed marks an important political milestone in the EU-Georgian relations. It recognises the efforts made by Georgia in the different areas relevant for a future visa-free travel to the EU and constitutes a further incentive for Georgia to pursue those reforms". All EU citizens are already exempt from visa requirements when entering Georgia. The visa liberalisation dialogue which is starting today will allow the EU and the Georgian authorities to examine all the technical preconditions for the establishment of a visa-free regime for Georgian citizens. The visa liberalisation dialogue addresses areas directly related to document security, border management, migration, mobility and asylum, as well as other issues such as the fight against corruption and organised crime, protection of human rights, minorities, and anti-discrimination, which are highly relevant to ensure that mobility takes place in a secure and well-managed environment. en savoir plus Lire la suite... Twitter et tourisme essai non transformé Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "Une alerte m'indiquait hier que j'attaque ma cinquième année de présence sur twitter; Grâce au site http://twopcharts.com, que je vous recommande, j'ai eu accès à plein d'analyses et d'informations sur ma vie de twitto; Twopcharts suit votre compte twitter assidument et vous donne plein d'informations, comme vos premiers tweets, vos premiers 10 abonnés, ou vos tweets les plus retweetés. Je sais ainsi que au vu mon nombre actuels d'abonnés, j'atteindrai la barre des 10000 followers en septembre 2026 ! Je profite donc de cet anniversaire pour revenir sur l'utilisation de twitter par les Organismes de Gestion de Destination (OGD). Il y a trois ans, en 2009, je publiais un article (enthousiaste) sur ce blog sur l'utilisation de twitter dans le tourisme. Nous citions notamment l'exemple de la ville de Portland dans l'Oregon, qui propose aux visiteurs d'utiliser le hastag #inpdx pour solliciter en direct l'office de tourisme qui répond dans l'instant. Aujourd'hui, l'opération de Portland existe toujours, et l'office de tourisme la présente sur son site. Le compte twitter @travelportland compte plus de 30 000 abonnés. Dans la timeline, on note des questions et des réponses de l'office de tourisme, au tythme d'une ou deux par jour. Très majoritairement, le hashtag n'est pas utilisé. Un succès qui reste donc limité". lire la suite Lire la suite... Le secteur du tourisme est en profonde mutation selon la dernière publication de la DGCIS L’adéquation de l’offre touristique française à la demande étrangère Jeudi, 07 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Le secteur du tourisme est en profonde mutation : les pays émergents, par leur développement économique, agissent fortement sur l’évolution de la demande et de l’offre touristiques. S’adapter à cette « nouvelle donne » est donc un enjeu majeur des politiques en faveur du tourisme. Dans ce cadre, il est indispensable de bien connaître les attentes des clientèles internationales, notamment des BRIC1 . L’enquête EVE, réalisée par la DGCIS2 et la Banque de France auprès des touristes étrangers en France, fournit des éléments précieux en la matière. Premier constat, les touristes étrangers portent un avis globalement très positif sur leurs séjours en France : 62 % s’en disent « très satisfaits », l’essentiel des autres (91 %) se déclarant plutôt satisfaits. Toutefois, un examen plus approfondi nuance ce premier constat. En effet, le niveau de satisfaction varie fortement selon les pays : les clientèles traditionnelles d’Europe occidentale sont les plus satisfaites, le record revenant aux touristes britanniques, 68 % d’entre eux se déclarant « très satisfaits » de leurs séjours en France. Au contraire, les clientèles d’Asie sont les moins satisfaites : seuls 48 % des touristes en provenance de ce continent affirment être « très satisfait » par leurs voyages en France, ce taux étant encore plus bas pour la Chine (39 %) et l’Inde (43 %). Cela reste vrai au niveau de l’ensemble des BRIC, dont « seulement » 50 % des ressortissants assurent être très satisfaits de leurs séjours en France. Outre le pays de provenance, un autre facteur est très discriminant : le fait de réaliser ou non un premier séjour en France. En effet, globalement, les touristes étrangers qui découvrent la France, les moins nombreux (12 %), sont moins fréquemment très satisfaits de leur voyage que ceux qui reviennent en France : 50,7 % contre 63,4 %. Toutefois, là encore, la situation est très variable selon la zone de provenance des touristes. Ainsi les clientèles traditionnelles d’Europe et des USA sont nettement plus séduites par l’offre touristique lorsqu’elles se sont déjà rendues en France par le passé (la plupart des cas). Au contraire, les clientèles asiatiques (hors Proche et Moyen-Orient) ont une bien meilleure opinion de leur séjour en France lorsqu’elles s’y rendent pour la première fois, cas de près de la moitié d’entre eux. Ce fait est particulièrement net aussi bien avec la clientèle du Japon qu’avec les clientèles de Chine et d’Inde. De fait, le nombre de ces nouveaux clients ayant l’intention de revenir en France est supérieur au nombre de clients de ces pays connaissant la France mais qui ne sont pas sûrs d’y revenir. La situation est différente pour les clientèles traditionnelles d’Europe : le socle des « habitués » de la France s’érode progressivement. L’impact sur le niveau de satisfaction qu’un touriste étranger tire d’un séjour en France de chacune des caractéristiques de ce voyage (durée, type d’hébergement, espaces visités, dépenses…) est difficile à mesurer. S’agissant, par exemple, de l’hébergement, l’hôtel est, de loin, le plus usité. Or, parmi les différents types d’hébergements possibles, c’est celui qui recueille la part la plus faible de touristes très satisfaits de leur voyage. Pour autant, il est difficile d’en conclure que c’est la forme d’hébergement qui contribue le moins à la satisfaction des touristes étrangers en France. En effet, ce sont peut-être d’autres caractéristiques des voyages des touristes qui vont à l’hôtel qui expliquent, au moins en partie, la moindre satisfaction qu’ils tirent de leurs séjours en France. Par exemple, ils dépensent plus que les autres touristes compte tenu, notamment, du prix relativement élevé d’une nuit à l’hôtel par rapport aux autres types d’hébergement ; or, les touristes dont les dépenses sont les plus élevées sont précisément ceux qui se déclarent le moins fréquemment très satisfaits de leur séjour en France. Il existe cependant un outil statistique permettant de décrire les effets propres de chaque facteur indépendamment des autres : la régression logistique. De fait, cette approche montre deux choses. D’une part, contrairement à ce que peut laisser penser l’examen des taux de touristes très satisfaits de leur voyage, une dépense plus élevée accroîtrait en fait la probabilité d’être très satisfait de son séjour en France. Ce n’est donc pas la dépense qui explique la moindre part de touristes très satisfaits de leur séjour parmi ceux qui vont à l’hôtel. D’autre part, selon l’approche par régression logistique, les touristes étrangers auraient un moindre agrément pour l’hôtellerie et le camping que pour les autres formes d’hébergement. La régression logistique permet également de hiérarchiser l’influence de ces facteurs sur la satisfaction que les touristes étrangers retirent de leur séjour en France. Enfin, outre les caractéristiques propres des séjours, elle prend en compte la zone de provenance des touristes ainsi que l’antériorité ou non d’un voyage en France. Il ressort de l’analyse logistique que quatre facteurs prédominent en matière de satisfaction tirée d’un voyage en France : le pays de provenance, la préexistence ou non d’un séjour en France, le type d’hébergement et la durée du séjour. Ce sont les touristes russes qui possèdent, pour un voyage identique à ceux des autres touristes, la probabilité la plus élevée d’être très satisfaits de leur visite en France (alors qu’ils ne sont que cinquième pour la part de touristes « très satisfaits » de leur séjour en France). En outre, « toutes choses égales par ailleurs », la probabilité qu’un touriste étranger soit très satisfait d’un voyage en France est moindre pour un premier séjour. Ce constat s’inverse cependant pour certaines clientèles lointaines, telles le Japon, la Chine et l’Inde. En matière d’hébergement, l’hôtellerie est moins satisfaisante que les autres formes d’accueil. L’amélioration de l’offre hôtelière est donc un enjeu pour l’attractivité de la « destination France ». Enfin, les courts séjours concourent moins que les autres à un niveau de satisfaction élevé. Dès lors, promouvoir des séjours exclusivement consacrés à la France, permettant d’en découvrir les multiples facettes, est à encourager face aux formules qui proposent un circuit en Europe. Trois autres facteurs liés à l’activité des touristes étrangers pendant leur séjour en France sont également importants : l’espace touristique visité, les parcs de loisirs et les réseaux de connaissances. Ainsi, la ville, espace touristique le plus fréquenté, est cependant celui qui suscite le moins la satisfaction des touristes étrangers, qu’ils connaissent la France, ou bien qu’ils la découvrent. Dès lors, le tourisme urbain doit être repensé. De même, ni les parcs de loisirs, ni les activités liées à la culture ne satisfont pleinement les touristes internationaux. En revanche, les réseaux de connaissances (famille ou « proches ») en France des visiteurs étrangers exercent un effet bénéfique. Compte tenu de la probabilité plus élevée d’apprécier un voyage dans ce cadre, stimuler ces réseaux engendrerait, par le bouche à oreille, un processus vertueux d’accroissement du flux de touristes étrangers vers la France. Enfin l’organisation – dépense, voyages en groupe et forfaits – entre en compte dans l’appréciation d’un voyage. Ainsi, voyager en groupe réduit la probabilité d’être très satisfait d’un séjour en France. Toutefois, les formules de forfait tout compris atténuent cet effet. Ces formules sont même un gage de satisfaction pour les nouveaux venus en France. Quant à la dépense, une simple analyse descriptive donne une relation décroissante entre satisfaction et niveau de dépense. Mais l’analyse logistique montre qu’au contraire, ce sont les touristes avec un niveau de dépense dépassant la médiane qui ont, « toutes choses égales par ailleurs », le plus de chances d’apprécier leur séjour. Ne pas « regarder à la dépense » est même un gage de satisfaction pour un premier voyage. Pour aller plus loin dans l’analyse, des régressions logistiques par zones géographiques de provenance des touristes ont été réalisées. Les facteurs explicatifs de la satisfaction des touristes sont alors différents d’une zone à l’autre. Ainsi, contrairement à l’ensemble des touristes étrangers, le niveau de dépense des touristes nord-américains a peu d’effets sur leur satisfaction. Pour autant, les activités de shopping accroissent, pour ceux qui se sont déjà rendus en France, la probabilité d’être très satisfaits de leur séjour. En revanche, ces activités d’achats n’influencent pas la probabilité des Nord-Américains qui découvrent la France. Ces derniers sont davantage sensibles à la pratique d’activités culturelles, qui favorisent l’appréciation de leur séjour en France. Ils sont d’ailleurs près des trois quarts à s’adonner à ces activités. S’agissant de l’impact des autres caractéristiques des voyages des Nord-Américains sur leur niveau de satisfaction, soit il n’est pas significatif, soit il est assez semblable à celui produit sur les touristes étrangers dans leur ensemble. Les Britanniques, proches culturellement des Nord-Américains, partagent leur penchant pour les longs séjours et, lorsqu’ils reviennent en France, pour le shopping. Ces habitués de la France apprécient également les séjours en hébergement non marchand, ce qui explique sans doute les nombreuses résidences secondaires des Britanniques en France. Cette appétence pour ce cadre de voyage se retrouve dans leur préférence pour les séjours en dehors de la haute saison qu’ils sont pourtant une minorité à pratiquer. Les touristes des BRIC, qui pour un peu moins de la moitié d’entre eux découvrent la France, ont en matière de voyages des inclinations bien différentes de celles des clientèles plus traditionnelles d’Amérique du Nord ou du Royaume-Uni. Pour eux, le niveau de dépense alloué au voyage a son importance et c’est avec un budget confortable qu’ils ont le plus de chances d’apprécier leur premier séjour en France. Les touristes des BRIC qui découvrent la France n’apprécient pas l’offre en matière de shopping au contraire de l’offre culturelle du pays. Enfin, lorsqu’ils reviennent en France, les choix qu’ils opèrent réduisent leur probabilité d’être très satisfaits de leur séjour. Ce constat met en exergue une offre mal adaptée à leurs attentes, en particulier insuffisamment diversifiée. Ainsi, les politiques publiques en faveur du tourisme international devront prendre en compte les divergences entre les clientèles traditionnelles de la France et celles qui se développent, qui restent donc à conquérir, s’agissant des facteurs qui favorisent la satisfaction qu’ils tirent de l’offre touristique française. en savoir plus Lire la suite... Classement des meilleures marques et sites de voyages en ligne Top US Online Brands and Travel Websites Mercredi, 06 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) In April 2012, 210 million Americans were active online, spending about 29 hours on average browsing the web. Google remained the top web brand by total audience in the U.S., with 171 million unique U.S. visitors, while Facebook's visitors averaged the most time on the site per person (7 hours, 9 minutes). Americans visited a wide variety of websites in April, 95 unique domains on average in April, and more than half (117 million) visited Travel websites during the month. Travelers head online as Summer Vacation approaches Whether consumers were making their plans for summer vacation or simply finding their way around town, over half of Internet users visited Travel websites in April 2012. Google Maps was the top web brand in the category during April, with 79 million unique U.S. visitors, followed by other popular mapping sites like Mapquest (29.6 million) and Yahoo! Local (15.2 million). Visitors to Google Maps returned frequently, visiting the site about 5 times each on average, logging well over 1 billion pageviews on the site. Looking towards Memorial Day weekend in the U.S., travellers planning trips a little further from home also headed online to make plans, visiting sites like TripAdvisor, Expedia, and Priceline Network to plan their trips (respectively 13.2 million, 12.9 million, and 12.2 million unique visitors each, respectively). Millions more booked airfare on sites SouthwestAirlines.com and other airlines sites, as consumers searched for the best travel deals, with about half of visitors to TripAdvisor also visiting Expedia during the same month and a third also visiting Priceline sites. en savoir plus Lire la suite... Bretagne un démarrage de la saison plus difficile que l’an passé Mercredi, 06 Juin 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "Des vacances de printemps décevantes pour les professionnels du tourisme qui ne sont pas satisfaits de la fréquentation. Plusieurs facteurs sont en cause : la météo, les élections qui entraînent un ralentissement de l’activité touristique (attentisme), sans oublier la crise qui perdure et les prix des carburants toujours élevés qui freinent déplacements et excursions. Un mois d’avril 2012 peu satisfaisant pour plus de la moitié des professionnels du tourisme ... Un séjour représentant un coût important, les touristes veulent s’assurer d’avoir des vacances de qualité. La météo est un facteur essentiel mais celle-ci a été maussade en avril et certains ont préféré reporter leur séjour. Aussi la moitié des professionnels ne sont pas satisfaits de la fréquentation française, en baisse en général. La clientèle de proximité, peu présente pendant ces vacances de printemps, n’a pas compensé la perte de clientèle étrangère. Près de 3/4 des professionnels sont ainsi insatisfaits de la fréquentation étrangère. Contrairement à l’hôtellerie et à l’hôtellerie de plein air (modes d’hébergements les moins satisfaits), les hébergements collectifs ont tiré leur épingle du jeu avec 2/3 des professionnels satisfaits de leur fréquentation en avril. Concernant les activités de loisirs, les structures couvertes sont satisfaites contrairement aux structures de plein air. En avril 2011, où la météo avait été estivale, la situation était inversée". lire la suite [PDF - 994 Ko] Lire la suite... Accor lutte contre le tourisme sexuel impliquant des enfants Mercredi, 06 Juin 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Mardi 5 juin, Accor, la Direction de la Coopération Internationale (DCI), l’Office Central de Répression des Violences aux Personnes (OCRVP) et ECPAT France ont signé l’accord et le lancement du Manuel de mise en place de procédures de signalement en milieu hôtelier. Depuis plusieurs années, le groupe Accor, la DCI, l’OCRVP et ECPAT France travaillent ensemble à l’élaboration d’un manuel de signalement des cas de tourisme sexuel impliquant des enfants (TSIE) en milieu hôtelier. Aujourd’hui, il s’agit de passer à la phase de mise en application pratique du manuel. en savoir plus Lire la suite... Aquitaine un début de saison maussade - un mois de mai 2012 moins bon que mai 2011 Mercredi, 06 Juin 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "Les professionnels du tourisme se réjouissaient de la possibilité de week-ends prolongés pour ce mois de mai 2012, mais la météo et des conditions économiques difficiles sont venues gâcher le début de la saison estivale, aussi bien dans l’intérieur de l’Aquitaine que sur la côte et, dans une moindre mesure, dans les grandes villes. Les clientèles française et étrangère n’ont pas été au rendez-vous. 58% des professionnels déplorent une baisse de fréquentation des touristes français et 63% un recul de la fréquentation des touristes étrangers. Les hébergements ont souffert de ce manque de fréquentation et n’ont pas réussi à atteindre leur niveau d’activité de mai 2011. La fréquentation étrangère, comme toujours en début de saison, est dominée par les touristes britanniques dans les villes et dans l’intérieur et par les Allemands sur le littoral. La fréquentation espagnole recule. Les professionnels ne sont pas très optimistes pour le mois de juin et constatent une baisse de leur niveau de réservation pour les mois de juillet et d’août." lire la suite [PDF - 393 Ko] Lire la suite... Amadeus publie son dernier rapport de responsabilité d’entreprise Mercredi, 06 Juin 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) Le document rassemble les initiatives prises en 2011 par le groupe et ses 73 filiales dans le monde Madrid, Espagne, le 5 juin 2012 : Amadeus, l’un des leaders mondiaux des solutions de traitement de réservations et de distribution pour l’industrie du voyage et du tourisme, publie aujourd’hui son rapport de responsabilité d’entreprise, qui met en évidence les performances de responsabilité d’entreprise enregistrées l’an dernier par le groupe Amadeus dans 195 pays. Ce document est consacré à l’engagement de l’entreprise en faveur d’investissements durables dans l’innovation, à l'importance accordée au personnel d’Amadeus mais aussi à la stratégie du groupe pour promouvoir activement les projets qui apportent une contribution véritable aux communautés et à l’environnement. Le dernier rapport de responsabilité d’entreprise d’Amadeus souligne également les activités du groupe dans le cadre de 165 projets répartis dans 45 pays. Les secteurs concernés comprennent l'éducation (formation linguistique et aux métiers du tourisme, dons de PC, développement de l'observatoire du tourisme d'Amadeus[1]), le transfert de technologie pour soutenir le développement des entreprises dans le secteur touristique (en aidant les petites entreprises émergentes à adopter des processus professionnels dans leurs activités, à élargir leur couverture commerciale), les initiatives des communautés locales et l’aide d’urgence. Les chiffres ci-après illustrent les efforts de responsabilité d'entreprise entrepris par le groupe l'an dernier : - Dans le monde entier, Amadeus emploie des collaborateurs de 123 nationalités différentes.
- Les collaborateurs d'Amadeus ont bénéficié de 155 057 heures de formation en 2011, ce qui représente un investissement de 6,3 millions d’euros consacré à la formation.
- Amadeus traite en moyenne plus d’un million de réservations par jour. En 2011, le groupe a traité 463 millions de réservations et 439 millions d’embarquements de passagers.
- Depuis 2004, les investissements en R&D ont atteint plus de deux milliards d’euros (344 millions d’euros en 2011). L’édition 2011 du « tableau de bord de l’Union européenne sur les investissements en R&D industrielle » souligne le rôle d’Amadeus en tant que l’une des compagnies qui investit le plus en R&D.
- Le groupe dispose de 16 centres de R&D dans le monde et de plus de 4 000 collaborateurs chargés d’améliorer la valeur offerte par le groupe à ses clients dans le monde entier.
- Les initiatives de responsabilité d'entreprise concernent 45 pays (près du double de 2009).
- Le volontariat d’entreprise concerne près de 800 collaborateurs d’Amadeus (quatre fois plus que l’année précédente).
- Plus de 17 470 heures de travail ont été consacrées par des collaborateurs volontaires d’Amadeus au soutien d’initiatives communautaires.
- Un réseau de 90 spécialistes de la responsabilité d’entreprise d’Amadeus pilote les projets locaux, régionaux et internationaux dans le monde entier.
- Dans le domaine de l'environnement, Amadeus a poursuivi son engagement afin d’optimiser ses résultats opérationnels et a amélioré de 8 % son rendement énergétique par transaction. En outre, la consommation électrique par employé a diminué pour la deuxième année consécutive.
- Malgré l'accroissement des opérations commerciales, Amadeus a réduit ses émissions globales de CO2 de plus de 5 % en 2011, grâce à l’amélioration de son rendement énergétique mais aussi à l’utilisation accrue des énergies renouvelables sur les sites les plus importants de l’entreprise.
Amadeus adhère au Code mondial d’éthique du tourisme et s’engage ainsi à défendre, promouvoir et appliquer les valeurs de développement responsable et durable du tourisme. Ce Code, adopté en 1999 par l'Assemblée générale de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) et ratifié par l’Assemblée générale de l’ONU, énonce un ensemble de principes directeurs du développement touristique visant à optimiser les bénéfices socio-économiques du secteur tout en minimisant les impacts négatifs. L’aide d’urgence a également reçu un large soutien de la part d’Amadeus. Les initiatives prises en 2011 comprennent des mesures de responsabilité d’entreprise visant à réduire l’impact sur les populations de catastrophes naturelles telles que le tremblement de terre d’Haïti [pour plus de précisions, veuillez visionner la vidéo Amadeus in Haiti short video], les inondations de Bangkok et en Australie, le Tsunami au Japon et le séisme de Sendai, le cyclone aux Philippines et la crise dans la Corne de l'Afrique. « Au sein d’Amadeus, nous pensons que notre expertise de l’industrie du voyage associée à la volonté de notre personnel de changer les choses constituent la base idéale à l’amélioration de nos performances environnementales et au soutien des communautés au sein desquelles nous travaillons », affirme Tomás López Fernebrand, Senior Vice President, General Counsel and Corporate Secretary, Amadeus. « Il s’agit d’une mission dans laquelle chaque effort est nécessaire et apprécié. Nous nous engageons à promouvoir et faciliter davantage ce type d'initiative ». Le rapport de responsabilité d’entreprise d’Amadeus est publié à la suite des lignes directrices du GRI (Global Reporting Initiative), qui établissent un cadre afin que les entreprises publient leurs performances économiques, environnementales et sociales en toute transparence. Le GRI a octroyé au dernier rapport de responsabilité d'entreprise d'Amadeus la note la plus élevée (A+). « Je constate avec satisfaction que les chiffres obtenus confirment qu’en 2011 nous avons été capables de développer et renforcer notre collaboration avec divers partenaires, notamment avec les compagnies aériennes, dans le cadre des projets de responsabilité d’entreprise. Notre étroite collaboration avec des compagnies comme Iberia, AviancaTaca, Kenya Airways ou Turkish Airlines en est la parfaite illustration », affirme Svend Leirvaag, Vice President, Industry Affairs, Amadeus. « L’éducation est vraiment l’un des principaux moteurs nécessaires pour améliorer l'efficacité et la durabilité de cet engagement. Nous avons donc aussi beaucoup renforcé nos initiatives dans ce domaine. Parallèlement, nous continuons à privilégier l'amélioration de nos performances environnementales et de notre coopération avec les différents acteurs industriels ». Pour en savoir plus sur le programme de responsabilité d’entreprise d'Amadeus et pour consulter en ligne le rapport de responsabilité interactif d’entreprise d’Amadeus, veuillez vous rendre sur le site www.amadeus.com/amadeus/travelfurther. Il existe également une version pdf téléchargeable. À propos d’Amadeus Amadeus est l’un des leaders mondiaux des solutions de traitement de réservations et un fournisseur de solutions technologiques de pointe pour l’industrie du voyage et du tourisme. Les clients d’Amadeus sont des fournisseurs de voyages (compagnies aériennes, hôtels, compagnies ferroviaires et de ferries, etc.), des vendeurs de voyages (agences de voyages et sites Internet) et des acheteurs de voyages (les entreprises et voyageurs). Le système de rémunération d’Amadeus est basé sur les transactions. En 2011, le système Amadeus a traité plus de 947 millions de transactions payantes. Les principaux sites d’Amadeus sont à Madrid (Corporate), à Nice (Développement) et à Erding (Centre de traitement des données). Les bureaux régionaux sont situés à Miami, Buenos Aires, Bangkok et Dubaï. Au niveau commercial, Amadeus dispose de 73 organisations commerciales locales pour s’occuper de clients dans 195 pays. Amadeus est coté sur les bourses de Madrid, Barcelone, Bilbao et Valence sous le symbole « AMS.MC ». Au 31 décembre 2011 la société a annoncé en données comparables de 2 712millions d’euros et un EBITDA de 1 039 millions d’euros. Le groupe Amadeus emploie dans le monde environ 10 000 collaborateurs de 123 nationalités différentes. Pour plus d’informations sur Amadeus rendez-vous sur : www.amadeus.com Pour visiter l’espace d’informations aux investisseurs : www.investors.amadeus.com
[1] L’observatoire du tourisme d’Amadeus est un outil de prévision très utile aux instances touristiques nationales. Il exploite les statistiques de réservation. Amadeus publie des informations et rapports gratuits sur les tendances de l’industrie touristique afin de contribuer au développement de ce secteur dans les pays en voie de développement. Il est suivi par des communications régulières des autorités locales. Lire la suite... |
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