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Voyage aventure / Tourisme vert

Annecy la Venise des Alpes

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Placée entre lac et montagne, la ville d'Annecy allie un riche patrimoine avec son centre historique unique et un très grand choix de loisirs avec sa très haute qualité de vie.
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Gérome Pouvreau le rocher et l’essence de l’escalade

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Millau, jeudi 28 juillet. ZeOutdoor vient d’arriver en Aveyron, patrie de naissance des Natural Games. Le salon VIP – qui accessoirement fait aussi office d’espace presse – est encore vide à l’heure où sortent de terre les derniers stands. Sombrant au creux de confortables fauteuils, ZeOutdoor met sur pied son programme pour les quatre jours de festival à venir. C’est à ce moment que fait irruption dans la torpeur du carré les grimpeurs du team Petzl. Un chien couleur caramel trotte parmi eux ; au bout de la laisse se tient le parrain des NG, Gérome Pouvreau. Rencontre.

Natural Games

Comment en est-tu venu à l’escalade ?

J’ai découvert l’escalade en Charente-Maritime, un lieu plutôt atypique où l’escalade ne prédomine pas vraiment ! C’était dans une foire avec mes parents ; le club de La Rochelle avait monté un mur entre deux caravanes : j’ai essayé et ça m’a plu ; je me suis inscrit au club à la rentrée. J’avais 8 ans quand le virus m’a pris et je ne me suis plus jamais arrêté !

Qu’est-ce qui te pousse à continuer de grimper ? à toujours aller plus haut et plus loin ?

L’escalade fait qu’on est sans cesse en train de découvrir de nouvelles choses ; il y a tellement de falaises dans le monde et d’endroits à découvrir sur notre belle planète, on va encore mettre un petit moment à en faire le tour ! Sans parler de tout ce qu’on peut faire en escalade entre le bloc, les grandes voies… Je n’ai pas encore accompli tout ce que je veux faire ; donc je continue, bien motivé !

Te dirais-tu plus « grimpeur compétiteur » ou « épicurien de l’escalade » ?

La grimpe, c’est pas uniquement de la compétition ; la grimpe pour moi, c’est sur le rocher, en falaise ! La compétition, c’est pour le jeu ; ça reste une superbe école de la vie mais je n’en fais plus maintenant [depuis 2011]. L’essence de l’escalade reste le rocher.

Ton dernier voyage ?

On est parti en Chine pendant un mois avec le Petzl RocTrip en 2011 : découverte de nouvelles falaises et de nouvelles voies, escalade dans des endroits somptueux et immersion dans la vie et la culture chinoise. On voyage pour grimper, mais aussi pour découvrir un pays, pour rencontrer et comprendre les gens. En Chine, on a pu grimper pendant deux semaines et ensuite, vadrouiller dans le pays pendant deux autres semaines ; on a finit en grimpant sur la Muraille de Chine !

Et ton prochain voyage ?

On va partir à Red River Gorge dans le Kentucky [Etats-Unis] avec le team en octobre avant d’enchainer sur le Petzl RocTrip en Argentine. Deux mois de grimpe et de voyage en prévision ! – On grimpe beaucoup, on adore ça, mais c’est bien aussi de souffler un peu de temps en temps et de faire autre chose, de découvrir d’autres sports, de se balader… Kaipi ! Kaipi ! viens là… allez ! [Docile, le chien caramel revient se coucher aux pieds de son grimpeur de maître.]

Que fais-tu lorsque tu n’es ni en falaise ni en vadrouille de par le monde ?

Je suis moniteur d’escalade au club d’Aix-en-Provence depuis trois ans ; j’entraine les minots, je les sort en falaise… c’est super intéressant ! C’est super intéressant et ça nous aide aussi à progresser dans notre pratique ; en décomposant les mouvements pour les enseigner aux jeunes, on redécouvre l’escalade nous-même, c’est un très bon complément. Ca nous permet aussi de transmettre la passion du rocher.

Et en hiver, quand il faut trop froid pour grimper en extérieur ?

En fait, l’hiver est une super saison pour grimper. Dans le sud de la France – où j’habite depuis dix-douze ans -  les falaises font effet de four, il y fait très chaud et on peut se retrouver à grimper torse nu au mois de décembre ! C’est en hiver que les conditions d’adhérence sont les meilleures ; un vent du nord, sec et froid, on transpire moins des mains, dans le jargon on dit que “ça colle”. Dans certaines voies extrêmes, on a besoin de ces conditions d’adhérence pour réussir.

Pratiques-tu d’autres sports/activités outdoor ?

Je suis un peu touche à tout : parapente, chute libre, surf… Dès qu’on me propose une nouvelle activité, je signe tout de suite ! Je me suis mis au surf il a pas longtemps ; ça s’apparente vachement à l’escalade, pour la lecture de vague, la question de l’équilibre ou les conditions météo.

Une région ou un spot d’escalade à recommander à nos lecteurs ?

Le sud-est de la France : c’est le Triangle d’Or de l’escalade en France ! La falaise de Ceüse près de Gap [Hautes-Alpes], par exemple, est vraiment top pour grimper. Ou les grandes voies de granit en Corse.

Ta plus belle sortie dans les douze derniers mois ?

Je pense que c’était en Corse, sur Delicatessen [8b, 150m, dans le massif de Bavella]. Je suis parti avec Florence [Pinet], ma copine, qui est aussi dans le team Petzl. C’était une belle grande voie, un super beau rocher ; un excellent souvenir !

Et ta pire sortie ?

Toujours avec ma copine, on est allé à Saint-Guilhem-le-Désert [Hérault] récemment. On s’est pris un énorme orage, un truc de dingue ! Pendant un quart d’heure, on s’est fait rincé jusqu’à la moelle, j’avais dix centimètres d’eau dans mon sac à dos… On avait rien pour s’abriter et on était en pleine paroi quand la foudre a commencé à taper ; j’ai dû mettre des mousquetons pour redescendre en urgence… Mais au final on en a bien rigolé !

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Nina Caprez l’ivresse des grandes voies

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Millau, jeudi 28 juillet : premier jour des Natural Games. Gérome Pouvreau, parrain de l’évènement, vient de se prêter au jeu des questions-réponses de ZeOutdoor. Une photo puis le grimpeur s’en va vers une n-ième interview. Il est aussitôt remplacé dans notre fauteuil à interview par sa collègue Nina Caprez, elle aussi marraine du festival. Une volée de dents blanches et la Suissesse répond à nos questions : escalade, escalade, voyages et spéléo !

Natural Games

Comment en-est tu venu à l’escalade et, plus précisément, aux grandes voies ?

J’ai commencé l’escalade à treize ans par l’alpinisme et la falaise, et à 17-18 ans je me suis mise à l’escalade sportive et à la compétition. J’ai très vite progressé : grandes voies, championnat de France, coupe du monde, etc. J’ai arrêté la compétition il y a quatre ans pour me consacrer à la falaise.

J’ai découvert en falaise ma discipline, ce qui m’éclate le plus : les grandes voies extrêmes ! Je suis une grimpeuse très exigeante : quant à moi-même, quant à mon escalade, quant à la beauté et à l’esthétique des voies. Lorsque je vois une belle voie, c’est plus fort que moi, sans même me soucier de son degré de difficulté je me dis : « putain, il faut absolument que je grimpe ça ! ». Tant qu’une voie est jolie, il faut y aller, quelle que soit sa difficulté. Lorsque tu parviens en haut d’une voie à la fois belle et difficile, c’est l’extase ! Les grandes voies extrêmes, c’est vraiment de là que je tire toute ma satisfaction. D’ailleurs, c’est très difficile, après avoir grimpé les plus belles voies du monde, de regrimper ensuite dans un environnement plus enfermé, plus moche. Je suis très exigeante, oui !

Parviens-tu à vivre de l’escalade ? Exerces-tu un métier à côté ?  

Ce sont mes sponsors qui me font vivre ; ils sont à fond derrière moi. Je partage le même esprit et les mêmes idées que tous les sponsors que j’ai choisis : transmettre la passion de l’escalade et de l’aventure, donner envie aux gens de faire de l’escalade. En parallèle, je travaille beaucoup avec mes sponsors sur le développement de produits, la création d’évènements, le tournage de films et de documentaires… Plus qu’une simple relation de dépendance athlète-sponsor, c’est un véritable travail de collaboration, ils me font confiance et me laissent une très grande liberté dans le choix et l’organisation de mes actions et de mes voyages. Par le biais de mes sponsors, j’ai la chance de pouvoir vivre entièrement de ma passion ; ce n’est pas le cas de tous les grimpeurs – même les plus doués…

En parlant voyage… Quels sont tes derniers trips grimpe ? et les prochains ?

Après le RocTrip en Chine en octobre 2011, je suis allé au Vietnam pour un trip spéléo puis j’ai passé tout l’hiver chez moi à skier. En mars, on est ensuite parti avec certains grimpeurs du team [Petzl] en Argentine à la Piedra Parada pour reconnaître et équiper les voies sur lesquelles on retournera en novembre pour le RocTrip 2012. Aussitôt revenue d’Argentine, j’ai directement enchainé avec un projet de film dans le Verdon avec mon sponsor Arc’Teryx. Et maintenant, me voilà ici à Millau pour les Natural Games ! Je ne suis pas venue l’année dernière, mais cette année, je suis très contente de revoir la falaise, de grimper avec mes amis !

Et parmi les projets à venir, on va partir grimper dans le Kentucky [Etats-Unis] à Red River Gorge, puis embrayer avec le RocTrip en Argentine et rester dans la région pour aller faire de la montagne en Patagonie. J’ai aussi sous le coude plusieurs projets de grandes voies pour cet été et l’automne.

Pratiques-tu une autre activité outdoor à côté de l’escalade ?

La spéléo, c’est ma deuxième grande passion ! Ca marche beaucoup par phases ; lorsque je suis fatiguée de l’escalade, je me remets à la spéléo. Mais je ne voyage pas autant pour la spéléo que pour l’escalade, c’est très intense comme activité : ça nous arrive de passer trois-quatre jours sous terre et il nous faut ensuite une ou deux semaines pour nous en remettre…

Et au delà de ça, j’adore aussi tout ce qui touche au travail manuel, le bricolage, le jardinage, la cuisine, la couture… J’aime beaucoup créer avec mes mains, être inventive et décorer chez moi ; me fabriquer un endroit dans lequel je me sente bien. C’est la base lorsque l’on voyage beaucoup : avoir un chez-soi où on soit bien pour récupérer et revoir ses amis.

Une région à nous recommander pour l’escalade ?

Le Verdon, tout le Verdon, absolument tout le Verdon ! Un lieu vraiment exceptionnel.

Racontes-nous ta plus belle sortie…

C’était en juillet dernier, en Suisse, dans le massif du Rätikon : l’enchainement de la grande voie Sielbergeier [250m, 6 longueurs, 8B+]. Une journée que je n’oublierai jamais, une journée parfaite !

Que ressens-tu lorsque tu termines une grande voie comme celle-ci ?

C’est comme avoir des ailes ; t’es tellement content, tu exploses ! Lorsque j’ai sorti Sielbergeier, j’avais déjà fait deux tentatives auparavant, je m’étais mis la pression et je n’ai pas réussi. Et il pleuvait… J’y suis retourné une semaine après – comme ça, pour montrer la voie à un ami. Et j’ai avalé la voie comme si c’était un 7a ! Lorsque tous les mouvements s’enchainent à la perfection, ce sentiment de grimper comme si tu avais des ailes dans le dos… c’était une très très grande satisfaction. C’est très difficile de mettre des mots là-dessus ; ce n’est pas une pure euphorie comme lorsque tu remontes à la surface en spéléo, c’est plus internalisé, comme un sentiment de calme et de bonheur intérieur. Comme atteindre un nirvana. Cette incroyable satisfaction m’a nourri pendant des mois après, et continue de me nourrir encore aujourd’hui ; c’est ça qui me fait avancer et aller plus toujours plus haut.

Et ta pire sortie ?

C’était en exploration spéléo : on avait fait une sortie de vingt heures et dix fois peut être, je me suis dis « je vais mourir dans ce trou, je ne vais jamais m’en sortir »… C’était horrible.

Un petit mot à ajouter ? Un message à la Suisse ?

Si vous voulez de faire plaisir, il faut me faire goûter les meilleures bouteilles de vin du monde ! [Rires !]

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Daniel Dulac et Tancrède Melet la rencontre au sommet

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Un samedi matin sur le plateau des Grandes Causses ; sur les hauteurs des gorges de la Dourbie, ZeOutdoor transpire au soleil de midi. Tancrède Melet, l’apôtre de la highline en France, vient tout juste de marcher dans le vide. 80 mètres de traversée sur une sangle large d’une poignée de centimètres, le tout 200 mètres au-dessus du sol aveyronnais. A peine descendu de sa sangle, le funambule est immédiatement entrepris par les caméras massées sur l’éperon rocheux. France 3, Midi Libre. Avant que France Soir ne bouge, ZeOutdoor risque un timide mais aimable « excuse-moi, Tancrède… ». Il se glisse devant l’œil de notre caméra lorsqu’un Daniel Dulac qui passait par là lance dans un sourire engageant : « tu voulais m’interviewer aussi ? ». Et pourquoi pas ? L’interview devient double ; l’interview devient rencontre au sommet entre le highliner et le grimpeur. Les deux compères s’apostrophent, la caméra roule ; ZeOutdoor s’envole pour le prix Pulitzer…

 

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Vienne Rhône-Alpes

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Venez découvrir les charmes de Vienne, petite ville aux portes du Sud qui saura vous séduire grâce à son passé gallo-romain encore palpable et cette atmosphère particulière entretenue par les multiples activités proposées tout au long de l’année.
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L’Ardèche un bout de Massif Central en Provence Ou l’inverse

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Triangle des bermudas bordé à l’est par la vallée du Rhône au delà de laquelle s’élèvent les contreforts du Vercors, et par les Cévennes et le Massif Central à l’ouest, l’Ardèche additionne et juxtapose paysages grandioses et merveilles naturelles pour notre plus grand bonheur. Parcourir les vertes collines du Haut-Vivarais – le nord du département – c’est marcher sur le toit de l’Ardèche au Mont Mézenc, c’est regarder vers le Massif Central. Traverser le Bas-Vivarais, longer les Gorges de l’Ardèche, à l’inverse, c’est déjà avoir un pied en Provence. Les blanches falaises calcaires éclaboussées du soleil de midi, l’ombre des chênes et des châtaigniers sur la garrigue aux senteurs de thym et de romarin… L’Ardèche, un territoire qui serait venu voler au Massif Central et à la Provence les adjectifs de son insolente et sauvage beauté. Vous venez ?

L’Ardèche c’est tout d’abord les gorges du même nom : ce canyon de trente kilomètres taillé à coups de sabre à travers les couches calcaires de la région, notre Gand Canyon à nous. C’est le Pont d’Arc, minéral arc de triomphe, qui marque la porte d’entrée des gorges au niveau de Vallon-Pont-d’Arc. Et c’est un autre pont, métallique et suspendu cette fois, qui marque la sortie du corridor à Saint-Martin-d’Ardèche. De part et d’autre des gorges, s’élèvent vers le plateau planté de chênes et de châtaigniers de verticales falaises calcaires qui abritent le printemps venu la nidification des grands oiseaux de proie.

Comme plusieurs points de vue complémentaires sur cet écrin de nature sans entrave classé Réserve naturelle depuis 1980, canoë, randonnée, VTT ou escalade offrent chacun un étage de découverte d’où apprécier le temps qui passe. En canoë au fil de l’eau, descendez la rivière à travers les gorges, alternez rapides tumultueux et passages de volupté aquatique au détour d’une plage de cailloux blanc ou d’un méandre sablonneux. A la demi-journée ou sur deux jours avec nuit à la belle étoile, vivez l’aventure de la découverte, imaginez-vous explorateur ou laissez-vous bercer par le clapot de l’onde. Quittez ensuite le lit de la rivière et découvrez les gorges à hauteur d’homme le long d’un des nombreux itinéraires de randonnée qui sillonnent la Réserve naturelle des gorges de l’Ardèche. Cheminez à travers les chênaies, dominez la rivière depuis un chemin en balcon, descendez jusqu’à la rive pour un bain improvisé puis regagnez la quiétude du sous-bois pour découvrir dolmens, vestiges préhistoriques et peintures rupestres. Besoin de davantage de hauteur ? Chaussez un casque, quittez le plancher des mortels et accrochez-vous aux hautes falaises qui bordent les gorges. De l’ombre à la lumière, une centaine de voies en plusieurs longueurs s’élèvent des berges de la rivière pour atteindre le rebord du plateau dans un délice de calcaire chaud assaisonné à la sauce provençale.

Plus haut en remontant les gorges, en laissant l’Ardèche suivre son cours vers le nord pour suivre le lit de la Baume, voici la petite ville de Rosières, nichée au confluent du calcaire provençale et du gré cévenol. Elle sert de cadre à une jolie balade au rythme des vignobles et des cours d’eau qui chantent en sous-bois. Toujours au rythme de l’eau qui glougloute, remontez vers le nord le long de la forêt en mangrove (ou ripisylve) de la moyenne vallée de l’Ardèche et obliquez vers l’ouest à Aubenas pour entrer au cœur de la haute vallée de l’Ardèche. Là se situe Thueyts et son Pont du Diable. La légende raconte que le Malin lui-même aurait jeté cet étroit pont de pierre au-dessus du précipice au fond duquel bouillonne la rivière. Lorsqu’il n’est pas hanté, ce pont sert de toile de fond à l’une des plus belles via ferrata d’Ardèche.

En passant sous la maléfique arche du pont de Thueyts, remontez le cours de l’Ardèche, pénétrez au cœur du Parc Naturel régional des Monts d’Ardèche, juché à cheval entre piémonts cévenols et dômes volcaniques hérités du Quaternaire. C’est là qu’entre en Ardèche le GR 4 avant de piquer vers le sud et de traverser les gorges pour aller ensuite rejoindre le Gard. C’est également au cœur des landes du Parc que chemine le GR de Pays ‘Le Tour de la Montagne Ardéchoise’, savourant de-ci de-là quelques incursions en Lozère. A tout seigneur, enfin tout honneur : le Parc, en le Mont Gerbier de Jonc, voit jaillir des tréfonds de la terre le mince filet d’eau qui deviendra, avec la distance, la Loire des châteaux, des bancs de sable et des grues de Saint-Nazaire. Une bien belle histoire que celle de ce pipi d’eau minéral devenu plus long fleuve de France.

En conclusion à ce survol sportif de l’Ardèche, risquez, le temps d’une ascendance ou deux, l’omniscience du point de vue qu’offre le parapente. Outre posséder sur son territoire plusieurs très beaux décollages de vol libre, l’Ardèche possède avant tout les merveilles naturelles à étaler sous vos pieds. Des merveilles sans aucun doute dignes d’un voyage en plein ciel – ou au moins d’un weekend prolongé.

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Web] Le nouveau Géoportail est en ligne

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Floating imageLe 9 juillet dernier, a été dévoilée la nouvelle version du Géoportail de l’IGN (Institut national de l’information géographique et forestière). Première nouveauté : le Géoportail...
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Web // Le nouveau Géoportail est en ligne

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Trek magazine n°143 juillet-août 2012

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Floating imageD’est en ouest, du nord au sud, en bord de mer, dans les vallées ou un peu plus haut dans les montagnes, nos reporters-trekkeurs ont arpenté quelques-uns des plus beaux chemins de France, ici,...
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Interview de Michaël « Mitch Pradayrol le créateur des Natural Games

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Mitch Pradayrol

Vendredi 29 juillet 2012, un deuxième soleil se lève sur les Natural Games. Après une matinée passée à naviguer entre les exposants du village officiel, ZeOutdoor rencontre le manager général et papa des NG, Millavois d’adoption et de cœur. Michaël « Mitch » Pradayrol – celui que l’on dit hyperactif – accepte d’immobiliser son ombre pour s’asseoir face à notre caméra le temps d’une rafale de questions-réponses à propos de son bébé. Vite, le temps presse !

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L’Arctique à la rame une première

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Aventuriers aux semelles de vent et rameurs impénitents, ils sont quatre Américains à se lancer dans une première mondiale : la traversée de l’Océan Arctique à la rame et en autonomie entre Inuvik (Canada) et Provideniya (Russie). 2000 kilomètres, 30 jours de mer.

ArcticRow

Organisée en partenariat avec Adventurers and Scientists for Conservation – un organisme de coopération entre aventuriers et scientifiques – et l’Université d’Alaska de Fairbanks, l’expédition a pour objectif de fournir à la recherche scientifique données et prélèvements et de sensibiliser le public aux problématiques environnementales liées à l’Océan Arctique. Les quatre rameurs observeront et enregistreront le mouvement des mammifères marins rencontrés et emporteront également de quoi réaliser des mesures et opérer des prélèvements d’eau.

Afin d’assurer l’autonomie en eau et en énergie, l’embarcation sera équipée d’un désalinisateur, d’une turbine éolienne et de panneaux solaires. Un blog et une page Twiter seront mis à jour régulièrement et une carte interactive permettra de suivre en temps réel la position des rameurs.

Départ fixé au dimanche 15 juillet.

site web : www.arcticrow.com

twitter : @arcticrow

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Test de l’ErgoBABY en randonnée

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Une fois n’est pas coutume, et changement de situation familiale oblige, nous allons vous parler aujourd’hui d’un produit de puériculture, mais pas n’importe lequel rassurez-vous, puisqu’il s’agit d’un porte bébé que nous avons testé dans le cadre de la randonnée.
L’objet du délit, c’est l’ErgoBABY  Performance, un sac de portage physiologique qui s’adapte très bien à la pratique de la randonnée.
Ergobaby en randonnée

Le portage physiologique, cela consiste en quoi ?

C’est un porte bébé qui respecte  le corps du bébé et du porteur. En résumé,
  •  pour le bébé, c’est un moyen de respecter la courbure de son dos, de lui permettre une assise profonde où les genoux sont plus hauts que le bas des fesses (mieux pour le développement des haches)
  • pour le porteur, c’est un bébé qui semble peser moins lourd car il est plus près du corps et un poids mieux reparti : on porte l’enfant avec tout son corps, les épaules, comme les hanches.
En gros rien à voir avec les sacs de portage façon « kangourou » où le bébé à les jambes pendantes et de ce fait le dos droit voire même cambré, et qui sont plutôt déconseillés d’un point de vue physiologique.
Ergobaby en randonnée

Le principe du porte bébé physio, c’est bien cet angle de moins de 90° entre la cuisse et le buste qui doit être respecté.

L’ErgoBABY, testé des rues de Paris aux volcans d’Auvergne en passant par les crêtes des Dentelles de Montmirail.

Nous avons testé ce sac de portage en ville et sur chemin, voire même sur sentier plutôt engagé avec une aventurière en herbe qui avait 7 mois au moment des tests, sur des durées allant jusqu’à  4h.

Un sac léger, bien plus costaud qu’il n’y parait

Quand on pense  randonnée  en montagne avec un tout petit, on imagine tout de suite le gros sac à armature, là il n’en est rien.
L’ErgoBABY est un sac léger (450g pour l’Ergo Performance) avec bretelles et ceintures rembourrées qui permet un portage sur le ventre, le dos ou la hanche pour des enfants de 7 à 18kg (utilisable aussi dès la naissance avec un coussin vendu séparément). Toutes les sangles sont réglables (bretelles, poitrine, ceinture) et disposent d’un élastique pour enrouler le surplus (il devrait d’ailleurs y avoir ca sur tous les sacs a dos). Le porte-bébé dispose aussi d’une poche qui s’ouvre verticalement pour y ranger de petites choses comme une sucette ou un chapeau, attention cependant de ne rien y mettre de dur ou volumineux qui gênerait le bébé. Une capuche ou appuie-tête est cachée dans une poche qui s’ouvre horizontalement, juste sous la tête de l’enfant.
Le Performance est le modèle le plus léger de la gamme (450g) ce qui explique que ces bretelles soient moins rembourrées. Le tissu utilisé est respirant et déperlant (l’eau glisse dessus et le tissu sèche très vite) ce qui le rend idéal pour de longues balades.
ErgoBABY en randonnée

Mais si c’est un sac aussi léger pourquoi ne pas utiliser tout simplement une écharpe de portage ?

Et bien c’est là qu’on en vient à la spécificité de ce test : la pratique de la randonnée. Alors oui, l’écharpe offre tous les avantages du portage physiologique et permet en plus, sous réserve que l’on maîtrise les nœuds (mais des nœuds de grimpe aux nœuds d’écharpe il n’y a qu’un pas), de varier les positions. Néanmoins et pour en avoir fait l’expérience il n’est pas rare avec l’écharpe lorsqu’on part pour une longue rando d’avoir des douleurs aux épaules et aux trapèzes côté porteur. Poids du bébé mal reparti ? Noeuds pas si bien faits ? Toujours est-il qu’au bout d’un moment ce n’est plus confortable. Ensuite, si l’on veut habiller ou déshabiller bébé, changer de porteur en cours de balade (sachez mesdames que les papas sont souvent fans de l’ErgoBABY), changer de position et passer du dos au ventre c’est beaucoup plus simple grâce aux clips de faire ça en deux temps trois mouvements avec un Ergo, plutôt qu’avec une écharpe.

Pour le porteur, un bebe dans le dos avec un ErgoBABY revient à un petit sac à dos de rando

Et c’est vrai, les sensations sont quasiment les mêmes : aisance dans la marche, aucune gêne particulière, pas de déséquilibre (même quand le bébé est endormi), avec le bonheur supplémentaire de partager avec votre petit bout votre goût pour la marche.
Le poids se reparti bien sur les hanches avec la ceinture rembourrée, et les bretelles aérées du modèle performance permettent un séchage rapide.
Pour ce qui est de l’installation de l’enfant, c’est très facile, rapide et pratique pour un portage sur le ventre. Sur le dos, il faut se faire la main sur un lit avant de se lancer et je n’ai pas trouvé cela évident au départ. Maintenant j’y arrive seule et entre temps, non, je ne l’ai même pas faite tomber…
Ergobaby en randonnée

Vu de devant, on dirait un simple sac-à-dos…

Côté bébé, des siestes assurées

Pour notre aventurière en herbe, nous sommes passés petit à petit du portage sur le ventre au portage sur le dos – qui est quand même mieux adapté en randonnée (sur terrain accidenté on voit nettement mieux où poser ses pieds…) – histoire de l’habituer petit à petit. Au bout de deux randos c’était bon !
Ergobaby en randonnée

ErgoBABY = sieste assurée

Généralement, elle s’endort au bout de 10 à 15 minutes, ce qui est un premier signe de bien-être. Sa position semble effectivement confortable, mise à part dans les descentes un peu chaotiques ou quand je presse le pas, auquel cas sa tête ballotte un peu ; si elle dort, la capuche évite ces mouvements, mais si elle est éveillée, elle n’aime pas vraiment l’avoir sur la tête.
Mais ce n’est qu’un détail car, que ce soit sur le ventre ou sur le dos, à chaque fois qu’on met notre aventurière en herbe dans le sac, on a toujours droit à un grand sourire.
Ergobaby en randonnée
Seule ombre au tableau pour les randonnées estivales – et qui vient d’ailleurs du fait que l’ErgoBABY est un porte bébé physiologique : la transpiration du porteur dont profite/pâtit le bébé. En effet, comme avec un sac à dos classique en randonné, le porteur transpire forcément en bas du dos et communique son humidité à l’enfant. Conclusion, notre aventurière en herbe à souvent le ventre humide.
Malgré ce problème, l’ErgoBABY reste une solution idéale pour aller marcher avec son bébé, même pour des randonnées longues puisqu’il peut sans problème rester jusqu’à 6 heures dedans (avec des pauses, bien sûr)

Ce que nous avons aimé

  • Position physiologique et confort pour le bébé
  • Encombrement faible et poids (450g) minimal
  • Installation du bébé dans le sac facile et rapide
  • Confort et bonne répartition du poids pour le porteur

Ce que nous avons moins aimé

  • L’installation sur le dos pas évidente au départ quand on est seul
  • La tête de bébé qui ballotte un peu quand il est sur le dos dans les descentes un peu sport
  • La chaleur et la transpiration communiquées à l’enfant dès qu’il fait un peu chaud.
ErgoBABY en randonnée

Parfois la bretelle peut gêner un peu le champ de vision de bébé trouve une autre technique pour agrandir son champ de vision.

Pour le moment (notre aventurière en herbe a 7 mois), c’est un sac de portage idéal qui lui et nous convient tout à fait. Nous ferons une mise à jour de ce test, une fois qu’elle sera un peu plus grande.
À suivre, les tests des Deuter et Salewa puis le comparatif final.
Notes
Vous pouvez trouver l’ErgoBABY via le site Internet d’ErgoBABY ou bien en magasins (voir la liste).

 

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Concours photo

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Natural Games 2012 Le palmarès

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Résultats des différentes épreuves de l’édition 2012 des Natural Games:

Millau Natural Games 2012

 

Le contest de VTT Dirt

C’est le jeune Loïck Estève, du team Kona qui remporte le contest suivie de l’italien Diégo Caverazi et du vainqueur de l’année dernière Fred Austruy.

VTT Enduro

L’alsacien Nicolas Lau prend la première marche du podium complété par Alex Stock et Karim Amour.

Chez les filles c’est Hannah Barnes (uk) qui remporte la course, Hanna Jonsson (swe) et Emilie Serre se placent juste derrière.

Contest de Bloc

Gautier Supper prend la tête du contest, deuxième Gérome Pouvreau le parrain « escalade » des Natural Games, et le canadien Sean Mc Coll termine sur la dernière marche du podium.

Côté féminin, la belle Anne-Laure Chevrier réalise un presque sans faute qui lui permet de se placer devant la tenante du titre Alizés Dufraisse, Clémentine Kaiser vient compléter le trio de tête.

Concours de jeté

C’est l’ancien champion de France de Bloc François Kaiser qui termine en tête du concours.

article à compléter…

Zeoutdoor aux Natural Games 2012:

 

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Natural Games 2012 J4

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Sarah & Clément

Dimanche 1er juillet

Il pleut sur Millau ; le Viaduc prend des airs de Golden Gate et se pare d’un diaphane voile de brouillard. Triste temps pour les grimpeurs partis en falaise, triste temps pour les pilotes de VTT Enduro engagés dans les cinq spéciales du jour ; triste temps pour cette dernière journée des Natural Games.

Millau

Il pleut et un train nous attend en gare de Montpellier pour nous ramener à la ville alors aujourd’hui, ZeOutdoor se penche sur sa table à écrire et se jette dans une rétrospective mentale de ces trois jours passés sur les bords du Tarn. Dur de se lever avec le soleil pour aller en interview, dur de crapahuter – et de se perdre – en terrain épineux pour aller filmer 10 minutes d’escalade, dur de rentrer à l’hôtel lorsque commence le concert de C2C pour aller monter la vidéo et taper le compte-rendu de la journée. Dur mais motivant. Motivant de se lever pour aller interviewer une voltigeuse de renom, motivant de découvrir une nouvelle discipline et la philosophie de vie qui l’accompagne, motivant de voir s’opérer devant l’œil de notre caméra la rencontre de deux athlètes reconnus et appréciés pour qui ils sont.

L’essence même des Natural Games rend possibles d’improbables rencontres où l’interviewé se fait maître et où le journaliste devient élève sans même s’en rendre compte ; apprenant au contact d’une personnalité exceptionnelle. Cette conviviale simplicité et cette joviale rencontre entre stars et illustres inconnus ont été marques de fabrique de l’évènement alors que les Natural Games n’étaient encore qu’une fête de la grimpe organisée sur les hauteurs de Millau par une poignée d’amis. C’est cet esprit que Michaël « Mitch » Pradayrol, en manager général bienveillant et passionné, s’escrime à préserver d’une commercialisation qui détruit tout sur son passage. C’est cet esprit qui a attiré cette année quelques 60 000 visiteurs – venus de toute l’Europe, des Etats-Unis et du Japon. C’est cet esprit qui ferra revenir ZeOutdoor en 2013 !

En une liste non exhaustive, arithmétique et caustique, les Natural Games couverts par ZeOutdoor, c’est…

  • 1 festival international du sport outdoor
  • 3 jours de journalisme intense
  • 3 heures 47 minutes de rushs vidéo
  • 278 photos
  • 22 tweets et 13 posts Facebook
  • 11 interviews
  • 2673 mots (rédigés et) publiés sur le blog ZeOutdoor
  • 7 minutes 12 secondes de compte-rendu vidéo (montés et) diffusés sur le blog ZeOutdoor et sa chaine Youtube
  • 2 épaules, 2 bras, 2 nez et 2 cous frappés par le soleil
  • 4 paires de chaussettes et deux Pieds Nus
  • 1 égarement imprévu dans le bush aveyronnais
  • des hectolitres de sueur
  • 11 heures de sommeil sur trois nuits
  • 15 minutes de concert savourées à leur juste valeur : merci Ayo !
  • 2 gros whaoooooou ! : highline & VTT dirt
  • des tas de belles rencontres
  • 1 bol d’air pur
  • 1 évènement à découvrir
  • 1 expérience à revivre !

ZeOutdoor aux Natural Games 2012 !

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Natural Games 2012 J3

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Sarah & Clément

Samedi 30 juin

Un dodo aussi court que salvateur et commence une nouvelle journée aux Natural Games ! Temps couvert sur les Grandes Causses aujourd’hui – le soleil de plomb se voile de clairs nuages. Notre programme pour la matinée : highline ! Un déplacement presse est organisé vers la falaise du Boffi – on se greffe au groupe et c’est dans le break de Daniel Dulac que l’on rejoint le site de highline. Sur le chemin, entre une ornière à négocier et un buisson de genévrier à éviter, il nous raconte ses Natural Games. Pourquoi il continue à venir chaque année depuis dix ans, combien il aime retrouver ses vieux copains grimpeurs, combien il apprécie de pouvoir troquer ses dégaines contre un canoë ou une sangle de slack.

Tancrède Melet highline

C’est entre deux pitons rocheux espacés de quelques 80 mètres que les Bad Slackliners ont tendu leur sangle. Au-dessus de 200 mètres de vide progresse Tancrède Melet, l’œil rivé sur l’horizon. Le public massé sur le bord de la falaise retient son souffle et vibre à l’unisson du funambule. Revenu sur le rocher, Tancrède est aussitôt entrepris par une équipe télé de France 3. Avant même que France Soir et Midi Libre puissent en faire de même, ZeOutdoor s’impose et convie le highliner devant sa caméra. Un Daniel Dulac qui passait par là s’invite dans le champ en souriant ; notre interview devient double. Côte à côte devant un panorama iMAX de calcaire et de végétation rase, les deux compères taillent une bavette. Tout y passe : l’interdisciplinarité qui anime les NG, les points communs à l’escalade et la highline, le dépassement de soi et la quête d’un absolu par le vide, le film I Believe I Can Fly de Sébastien Montaz-Rosset, la fraternité tacite qui existe entre ceux qui ont regardé le danger droit dans les yeux. Puis Daniel s’en retourne grimper et Tancrède se lance dans une n-ième traversée de l’abîme. Les évolutions linéaires du highliner attirent toujours plus de badauds, la falaise se mue en aire de piquenique ; on rentre au village.

Rush sur le stand Merrell, ça se pousse au portillon pour essayer la BAREFOOT. Pot-pourri des réactions prises sur le vif sur l’aire de test : “un chausson, très confortable !”, “ça fait trois jours que je marche avec, j’ADOOORE !”, “le feeling est… différent”, “je ressens bien mieux le terrain et trébuche beaucoup moins en terrain accidenté”, “par rapport à tout ce que j’ai déjà essayé en course à pied, c’est vraiment un touché très différent, faut s’y faire”, “tu sens le terrain sans pour autant le subir !”. Pour sa première présence sur le village des Natural Games, Merrell a su toucher un large public, tant professionnel de l’outdoor que sportif du dimanche ou famille curieuse.

C’est sur le même stand Merrell que l’on rencontre le céiste (ou canoéiste) de slalom Nicolas Peschier. Au bord du Tarn, il retrace son parcours : un père champion du monde de kayak, une fulgurante carrière en Equipe de France Junior, une sélection aux JO d’Athènes en 2004, un titre de champion du monde en 2008, jusqu’à une amère défaite en sélection pour les JO de Londres… Le canoë slalom absent des Natural Games, c’est donc sur le parcours de kayak boardercross qu’on le retrouvera l’après-midi même. On reste dans l’interdisciplinarité et le métissage des sports !

Le prochain événement à ne manquer sous aucun prétexte, c’est le contest de trickline ! Le battle commence : deux par deux, les concurrents se relaient sur la sangle hyper-tendue  pour enchainer acrobaties et sauts périlleux ; lorsque chute le premier, le second prend sa place et ainsi de suite pendant quatre minutes. Le DJ donne le rythme, les trickliners redoublent d’imagination et de virtuosité, s’envolent au-dessus du sol, tombent parfois, rebondissent pour s’envoler de plus belle. Le public – manifestement ravi – hurle et en redemande.

VTT Enduro

On passe ensuite au prologue de VTT Enduro : une épreuve d’agilité et de rapidité sur un parcours semé de modules et d’embuches récréant le profile d’un parcours de VTT en forêt – en prévision des cinq spéciales du lendemain. Les pilotes tout caparaçonnés d’armures flashy se jettent avec fougue sur le parcours ; ça passe parfois, mais ça casse aussi de temps en temps. La première bosse du tracé est dangereuse et voit chuter de nombreux pilotes – qui remontent aussitôt en selle pour se ruer vers la ligne d’arrivée ! Le niveau des compétiteurs augmente avec le temps - sont présents pour l’événement les vingt meilleurs pilotes mondiaux dont le Français Karim Amour. C’est toutefois un cadet du club de Millau qui fait la surprise en bouclant le circuit en 22 secondes.

 Un cocktail est organisé au salon VIP avec tous les partenaires du festival ainsi que la presse : l’occasion de briller en société, une coupe de punch au citron entre les doigts, et de naviguer entre buffet et attachés (de presse). Lorsque soudain : « MAIS OUI MESDAMES ET MESSIEURS, on me confirme que les parapentes de voltige ont bien pu décoller du plateau ; on les attend sur le village d’une minute à l’autre ! ». Du contre-jour émerge une grappe de voiles ballottées par le vent – quelques rapides tumbling, une manœuvre désespérée pour éviter la tour régie et les pilotes se posent déjà dans un nuage de fumigènes orange. A nouveau, les conditions météo viennent ruiner le show de parapente acrobatique. Retour au punch citron et aux tartelettes noix-roquefort.

Les compétitions n’attendent pas la fin de l’apéro ! Direction le stade d’eau vive pour la finale de kayak boardercross : par vagues de quatre, les kayakistes s’élancent le long du parcours, descendant certaines portes et en remontant d’autres. Le passage de la dernière porte à contre-courant donne lieu à de furieuses scènes de pugilat aquatique : dans le bouillon de la rivière, s’empoigne et se castagne une meute de pagaies et de casques. Le spectacle est court – mais foutrement intense !

Finale bloc

Changement radical de style avec la finale du concours de bloc : plus aérienne et mille fois plus gracieuse. Du premier coup ou après moult tentatives, en force ou en souplesse, directement dans le vif du sujet ou par des chemins détournés, les grimpeurs Petzl défilent sur quatre blocs de styles très différents – et assurent le spectacle. En communauté avec les athlètes, le public encourage, crie, hurle, vibre, retient son souffle, tempête, jure et explose ! Anne-Laure Chevrier s’impose devant Alizée Dufraisse - la lauréate  de l’année dernières ; et chez les garçons, c’est l’Alsacien Gautier Supper qui décroche la timbale.

Après les podiums de la trickline, du kayak boardercross et du bloc, la scène se libère pour accueillir la rythmique chaloupée et les jambes interminables d’Ayo. La foule glisse lentement dans la nuit, baignée de la grâce élégante, apaisante et entrainante de la chanteuse nigériane.

Jour 3 en images :

ZeOutdoor aux Natural Games 2012!

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Natural Games 2012 J2

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Sarah & Clément

Vendredi 29 juin

La nuit fut courte, les Natural Games reprennent de plus belle ! C’est sous la sangle de highline tendue entre deux arbres du village en prévision de la démo de l’après-midi que l’on rencontre la « voltigeuse céleste » Maeva Giacometti. Souriante, affable et passionnée elle revient pour ZeOutdoor sur ses débuts en parapente acrobatique jusqu’à sa triple victoire aux Championnats de France. Une demi-heure devant nous ? On file faire le tour des stands matériel qui bordent l’avenue principale du village officiel. C’est d’abord Moto Passion – un shop de deux roue basé à Narbonne – qui présente son dernier VTT de descente puis Petzl qui dévoile son modèle NAO : une frontale dont le faisceau s’adapte au terrain et à la luminosité ambiante.

Déjà midi ! Le temps pour nous de se faire un fix de caféine et Michaël “Mitch” Pradayrol, le manager général des NG, prend place face à notre caméra. Celui que l’on dit hyperactif décoche une rafale de sourires bronzés et prend le temps de répondre à nos questions : il nous raconte la genèse du festival, passé en l’espace de 10 ans de “fête de la grimpe entre amis” à un festival international de sports outdoor sponsorisé par Vibram et Merrell. Il nous donne rendez-vous en 2018 pour les 10 ans des NG, se plie à un rapide shooting puis disparaît dans la foule bigarrée.

C’est maintenant au tour de Merrell de dévoiler le comment et le pourquoi de sa gamme BAREFOOT. Le team présent sur le stand se prête volontiers au jeu ; les voilà qui détaillent les dernières nées de la famille minimaliste, du modèle aquatique au modèle trail en passant par des coupes résolument pop et urbaines. C’est ensuite sur l’aire de test que se déplace notre caméra : un lit de cailloux acérés, un tapis d’herbe sèche, une bille de chêne et sa souche ; la Princesse au petit pois peut aller se rhabiller, la BAREFOOT mérite bel et bien son nom. En attestent les nombreux visiteurs ravis de pouvoir essayer la chaussure Pieds-Nus.

Une pause s’impose – ne bougez pas, on revient.

Vous êtes toujours là ? Le site de la Maladrerie – aire de loisir logée dans une boucle du Tarn et terre d’accueil des NG – émerge de sa torpeur : le groupe Deluxe peaufine ses balances sur la grande scène avant le concert du soir, les gamins du coin juchés sur leurs VTT envahissent la pelouse, les fêtards de la veille siestent au soleil. Les entraînements de kayak freestyle se poursuivent dans le bouillon du stade d’eau vive pendant qu’en aval, la rampe de kayak big air reçoit ses premiers sauteurs. Le principe ? Une longue rampe relevée à son extrémité le long de laquelle s’élancent les kayakiste et plouf dans la rivière ! Sauts, figures et réceptions sont plus ou moins esthétiques mais le show est là.

« Et maintenant, place au contest de dirt ; les pilotes vont se sortir les doigts et vous en mettre plein la vue ! » En plus de donner au festival un air de fête foraine, le MC claironne également le planning des réjouissances. Pratique. Direction les modules de VTT dirt, donc, pour une interview de Frédéric Austruy, le vainqueur de la discipline aux NG 2011. En selle au sommet d’une bosse de saut, il déconne, blague et nous explique comment, à 24 ans, il fait déjà partie de la “vieille génération” face à des concurrents tout juste post-pubères. Coup de sifflet d’un juge-arbitre, on lui souhaite bonne chance et il s’en va rejoindre l’aire de départ : il a des qualif à courir !

Les envolées poussiéreuses des pilotes ravissent la foule, backflips et 360° s’enchainent sur les modules – c’est impressionnant à voir, vraiment. Un photographe anglais – vous vous souvenez du grimpeur du dimanche de jeudi ? – fait irruption sur la piste en chasse de la photo parfaite, et pousse un pilote à stopper nette sa course. La foule siffle, la foule hue, le photographe recule. La compétition reprend.

Les qualifications de dirt achevées, c’est vers la highline que se tournent les spectateurs qui commencent à arriver en masse. Sur la sangle tendue entre deux arbres du village, évolue gracieusement Théo Sanson. Un aller. Puis un retour pendant lequel, tout en funambulant, il se débarrasse de son t-shirt. Un deuxième aller. Et un retour, les yeux bandés. Extatique, le public scrute le ciel et retient son souffle. Aussitôt revenu sur le plancher des vaches, le highliner nous rejoint pour une séance de questions-réponses : son passage de l’escalade à la slack, la philosophie du sport, la difficulté de pratiquer une discipline encore très peu répandue et sans réelle structure officielle ; une réelle invitation à poser le pied sur une sangle.

Une papillote de poisson et une part de pizza plus tard, les haut-parleurs annoncent l’arrivée des parapentes de voltige ! Le show prévu a été écourté en raison du vent trop fort, mais les quelques voiles qui décollent du plateau voisin offrent néanmoins un spectacle de qualité, quoique que très court. Deux trois circonvolutions et déjà les pilotes évitent de justesse un amerrissage dans le Tarn et se posent au cœur du village sous les applaudissements.

Après la finale de VTT dirt, les moustachus très tendance de Deluxe (Deluxaix sur Myspace) et leur électro syncopée et composite s’emparent de la scène et emportent l’approbation du public. Changement d’ambiance avec la projection du film du Petzl RocTrip en Chine : on s’assoit dans l’herbe face aux écrans géants, un gobelet recyclables à la main et on se prend à rêver devant les images de rochers vierges et de forêt inextricables. Puis avant que les DJs ne transforment le site en night-club outdoor, chaque team défile sur les planches de la grande scène : escalade, kayak, VTT, parapente, slackline… et Vibram ! Liesse.

Jour 2 en images :

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Natural Games 2012 J1

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Sarah & Clément

Jeudi 28 juin

Le soleil se lève sur les Causses Noires, la température extérieure est de 26 degrés centigrade et l’Espagne célèbre sa victoire : c’est aujourd’hui que commencent les Natural Games ! Millau entre lentement en ébullition ; les stands cuisine et matériel sortent de terre, les gamins du coin font le siège devant la tente BMX pendant que leurs parents s’extasient devant les BAREFOOT chez Merrell. Les entrainements kayak freestyle ont commencé sous le regard des curieux ; la techno ambiante grimpe en volume. Nos pass presse récupérés, on fixe le programme de ces quatre jours d’outdoor : les épreuves à couvrir, les interviews à réaliser ; les célébrités médaillées à ne pas rater et les petits-jeunes-qui-montent à ne pas louper !

Aussitôt ancrés dans les canapés du salon VIP/espace presse, c’est Gérome Pouvreau puis Nina Caprez qui passent au micro de ZeOutdoor : Gérome rappelle son chien qui se fait la malle avant de nous raconter ses aventures sur la Grande Muraille de Chine avec le team Petzl ; Nina tente de mettre des mots sur l’émotion qu’elle a ressentie à l’issue de son exploit dans Sielbergeier (6 longeurs, 8B+) dans le massif alpin du Rätikon en juillet dernier.

L’après-midi sera escalade à 110% : les mangeurs de rochers du team Petzl sortent en falaise – on les suit, bien évidemment ! En corniche, la route s’élève rapidement au-dessus de Millau pour rejoindre le plateau des Grandes Causses où se situe la falaise du Boffi – le terrain de jeu de l’après-midi. Dans un décor de canyons calcaires et de buissons secs, les Petzl ont dressé le camp au pied des voies et enchainent déjà les longueurs lorsqu’on les rejoint. Hamac, pétard et apéro ; ambiance de colonie de vacances à-la-cool sous la falaise ! Un photographe anglais s’escrime à remonter le long d’une corde avec une poignée JUMAR pour aller shooter Enzo Oddo en pleine action – il y parvient après quelques mouvements très peu gracieux. A côté, Loïc Gaidioz redescend déjà de sa voie, Nina Caprez clip une dégaine, Philippe Ribière se lance dans la falaise. Et le chien de Gérome Pouvreau passe de groupe en groupe, stoïque.

 Loïc Gaidioz

Déjà l’heure de quitter les grimpeurs. Le temps de se perdre au milieu des genévriers, de faire un détour forcé par le site de highline et on regagne la vallée – juste à temps pour rencontrer Charles Cazaux. Il saute de son VTT et nous parle parapente, courants ascendants et vols sur la Savoie. Puis s’en va quérir son programme du lendemain  au PC Parapente : volera ? volera pas ? En raison d’un vent trop fort, les épreuves de parapente de la journée ont été annulées, on parle de déménager les pilotes à quelques 80 kilomètres de là pour trouver des conditions décentes.

Alors que plane encore l’incertitude sur les parapentistes, on sifflote un verre le long du Tarn, aux premières loges pour assister aux qualifications de la compétition amateur de dragon boat. Mais l’escalade nous manque déjà, notre micro a faim ! Direction le salon VIP donc et c’est sur Enzo Oddo, le benjamin des athlètes présents aux Natural Games, que s’abat notre courroux journalistique. 17 ans, abatteur de grandes voies, le môme à suivre !

Et pour clore cette journée, pas de parapente acrobatique mais un passage par la sangle de trickline : sauts périlleux et gamelles sous le clair de lune. Puis un saut au concours de jeté : le MC harangue la foule, le public en redemande, François Kaiser chope la grosse prise violette et s’impose !

François Kaiser

 

 

Jour 1 en image:

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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