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Voyage aventure / Tourisme vert

Le Morvan a sa grande traversée

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Floating imageAprès le Vercors ou le Jura, une nouvelle "grande traversée" vient d’être inauguré en France, avec la grande traversée du Morvan, 330 km de plaisir et de dénivelée au départ d’Avallon en...
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Le Yooner tour

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Le Yooner tour, kézaco ?

yooner tour 2012Qui dit nouvelle discipline dit nouveau challenge. Maintenant que vous avez lu notre article sur le Yooner (version luge Yooner plastique ou une luge Yooner en bois), vous êtes aptes à participer au Yooner tour. Le Yooner tour est tout d’abord une compétition conviviale organisée par TSL. Les courses se déroulent dans différentes stations alpines. Les participants s’élancent par groupe de 4 à 6 personnes sur un parcours de type slalom et doivent franchir l’ensemble des portes du tracé. À l’arrivée, un classement par points est attribué et permet de gagner des lots à la remise des prix, mais également de participer à la finale du Championnat de France de Yooner, lors de la dernière étape à Praz sur Arly. Le Yooner tour est aussi l’occasion pour ceux qui ne connaissent pas encore cette discipline de s’y essayer et pourquoi pas de se trouver une nouvelle passion ?

Comment s’inscrire ?

Pour vous inscrire, c’est très simple, rendez vous sur le site du Yooner tour http://www.yoonertour.com/ onglet inscription et choisissez votre étape. Il vous suffit ensuite de payer en ligne et d’imprimer votre billet. N’hésitez pas à réserver, le tarif est plus avantageux. Le jour de la compétition, n’oubliez pas votre certificat médical ainsi que le matériel nécessaire (casque, masque, gants et chaussures montantes ou boots).

Le Calendrier du Yooner tour 2013

affiche yooner tour 2013Le 26 et 27 Janvier à St Jean d’Aulpes
Le 2 et 3 Février aux Harrelis
Le 9 et 10 Février à La Plagne Montalbert
Le 23 et 24 Mars à Praz sur Arly (avec les phases finales)

Le samedi : Journée découverte du Yooner, encadré par des pros, de 12h30 à 17h30. Possibilité de se faire prêter des Yooner bois ou des Yooner plastique gratuitement contre une caution et de s’essayer au saut sur airbag et au « kilomètre lancé ».
Le dimanche: Journée compétition à partir de 8h30. Fin des inscriptions à 9h15, vous aurez ensuite 30 minutes pour vous échauffer. Le départ du tour de reconnaissance est prévu à 10h15 et celui de la compétition à 10h30. Vous avez la possibilité de participer au repas à 12h30, avant le départ des phases finales à 13h30. Après la findes courses, un shooting photo est prévu, ainsi que la remise des prix et une tombola.

Articles liés au Yooner :

Lisez aussi notre article : Le Yooner, une glisse à la mode.

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Jeu concours Trekmag du 1er décembre 2012 au 31 janvier 2013

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L’Himalaya d’est en ouest et en solo

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Floating imageNicolas Bossard, un Suisse romand de 32 ans, a bouclé en septembre la traversée à pied et en solitaire de la haute chaîne himalayenne. Six mois (de mars à septembre 2012), plus de 2500 km à...
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Retour dAlgérie

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Floating imagePour s’assurer que le dispositif de sécurité mis en place par ses réceptifs locaux était à la hauteur, Eric Bonnem, Président de Tamera, revient juste du grand sud algérien. Tamera est...
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Initiation à la cascade de glace 5 spots pour débuter

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Initiation à la cascade de glace : 5 spots pour débuter

L’escalade de cascades de glace est un sport relativement nouveau qui procure des sensations inégalables. Seul contre les éléments, le grimpeur se met au défi d’escalader une cascade gelée à l’aide de piolets. Vous cherchez des spots pour faire de l’initiation à la cascade de glace : voici notre sélection des meilleurs sports de cascades de glace pour débutant.

initiation cascade de glace

Cascades de glace à Ceillac.

Le village alpin de Ceillac dans les Hautes-Alpes est un site privilégié pour tous les amateurs d’escalade de cascades de glace et comme pour ceux qui souhaitent faire de l’initiation à cette discipline originale. Dans ce charmant petit village de montagne, vous trouverez un site dédié aux escaladeurs.

Pratique, vous avez le choix entre plusieurs niveaux. Le site est abrité : aucun risque d’avalanche. De plus, vous redescendrez à votre guise, en rappel ou par un chemin de randonnée.

Cascades de glace en Oisans.

Sur le site de la Grave, au cœur du massif de l’Oisans, vous pourrez soit vous entrainer soit faire de l’initiation à la cascade de glace. Idéal pour débutant, ce spot ne comporte aucune difficulté technique. Le but est bien ici de grimper le glaçon en toute sérénité.

Votre initiation se déroulera en une dizaine de minutes. Les jeunes sont aussi invités à y participer, à partir de 10 ans. Le massif de l’Oisans comporte plus de 600 cascades de glace que vous pourrez tester après cette rapide initiation !

Cascade de glace à Chamonix.

Pour faire vos premiers pas en crampons dans la glace, vous pourrez vous exercer près de Chamonix au pied du glacier d’Argentière. Sur le spot joliment nommé « la Crèmerie du Glacier », une superbe cascade de glace de 70m de haut vous attend.
De nombreux stages d’initiation y sont organisés. Sur place, des guides vous prodigueront de précieux conseils.

initiation a la cascade de glaceCascade de glace dans le Sancy.

Les cascades de glace auvergnates présentent l’avantage de pouvoir être grimpées en une demi-journée seulement. Les autres, notamment les cascades alpines, nécessitent plutôt un à deux jours de périple.

Dans le Sancy, la cascade de l’Ice Cream offre ses glaçons à qui veut les savourer. Située dans le fond du Val d’Enfer, cette cascade de glace est accessible à tous, après quelques heures de pratique. Cet endroit est d’autant plus remarquable qu’il est totalement inaccessible l’été.

Cascade de glace au Lioran.

La région du Cantal est idéale pour apprendre à devenir un « glaçonneur » hors pair. Certains clubs proposent même de vous exercer en pratiquant une activité mixte composée d’escalade de montagne et de cascade.

Parmi les spots dédiés pour les débutants, la cascade de Lioran est fortement recommandée pour son côté féérique. Située près d’Aurillac, elle culmine à 1900m d’altitude. L’escapade dure 2 heures environ et est ouverte à tous à partir de 14 ans.

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Népal // La route continue son avancée au Mustang

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Floating imageLa pelle mécanique vient d'arriver à Samar, au Mustang. © Paulo GrobelDe retour du Mustang, Paulo Grobel nous précisait récemment que l’un des verrous les plus difficiles sur la (future) route...
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Le Yooner une glisse à la mode

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Qu’es-ce que le Yooner ?

Chouette, du ski, sans les inconvénients du ski !Yooner sur piste Moins physique, moins technique et sans doute moins risqué du fait de la faible hauteur du Yooner, c’est le bon argument pour emmener toute la petite famille sur les pistes. Utilisé en hiver par les écoliers savoyards depuis le début du siècle dernier, le Yooner est une discipline qui tend aujourd’hui à se démocratiser, puisqu’elle ne nécessite aucune installation en plus sur les pistes et qu’elle permet aux stations de développer une activité originale et encore trop peu commune.
Globalement, la luge Yooner ressemble à un cheval à bascule, à la différence que l’on a montré des patins de ski en dessous et que la tête du cheval est remplacée par un manche plus long, permettant de freiner et de maintenir une position stable. Vous l’aurez donc compris, le Yooner se pratique assis. L’utilisateur définit sa direction grâce à son centre de gravité, en tendant le bras à droite pour tourner à droite et en tendant le bras gauche pour aller dans la direction opposée.
À savoir qu’il existe d’ores et déjà un Yooner tour, qui propose des courses dans différentes stations.

Ou acheter un Yooner ?

yooner tsl plastique

La marque TSL possède actuellement le monopole en matière de luge Yooner. La gamme se décline en deux produits, le Yooner plastique et le Yooner bois, plus authentique. Le prix est relativement abordable puisque l’on trouve la version plastique à moins de 180 euros et la version bois à moins de 200 euros. Vous pouvez vous procurer les Yooner TSL chez snowleader.com ou encore Nature et Découvertes pour le Yooner bois.

Ou louer un Yooner ?yooner tsl bois

Que vous souhaitiez un Yooner bois ou plastique, il est possible de louer un Yooner dans les stations qui proposent cette activité (liste ci-dessous). Encore une fois, le prix reste correct puisqu’on les trouve aux environs de 8 euros par journée de location.

Où faire du Yooner ?

Voici une liste des stations proposant cette activité, par département :

  • Alpes de Hautes Provence :
    Val d’Allos – St Jean Montclar
  • Hautes Alpes :
    Le Queyras – Les Orres – Orcières – Super Dévoluy
  •  Alpes Maritimes :
    Isola 2000
  • Isère :
    Allevard – Alpes d’Huez – Autrans – St Pierre de Chartreuse – Villard de Lans
  • Puy de Dôme :
    Super Besse
  • Pyrénées Oritentales :
    Font Romeu
  • Savoie :
    Albiez Montrond – Areches Beaufort -  Aussois, Courchevel 1550 -  Crest Voland -  Flumet – La Norma – La Plagne – La Rosière – La Toussuire – La Feclaz – Le Corbier – Les Arcs – Notre Dame de Bellecombe – Peisey Vallandry – Pralognan la Vanoise – Les Saisies – St François Longchamp – St Jean d’Arves – St Sorlin d’Arves – Ste Foy en Tarentaise – Val d’Isère – Valmeinier – Valmorel
  •  Haute Savoie :
    Avoriaz – Bellevaux Espace Roc d’Enfer – Combloux – Drouzin le Mont – Flaine – La Clusaz – Le Semnoz – Les Carroz – Les Houches – Les Karellis – Morzine – Praz sur Arly -  Sixt Fer à Cheval -  St Jean d’Aulps – Les Gets – Châtel
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LHimalaya à Lille

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Floating imageA l’occasion de son vingtième anniversaire, la Maison des Himalayas organise un grand festival à Lille, du 23 au 25 novembre, pour célébrer les « passions himalayennes ». Durant ce week-end...
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Du rififi chez ATR

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Floating imageD’après un article paru dans le dernier numéro de l’Echo Touristique, hebdomadaire professionnel, la guerre serait ouverte au sein de l’association ATR (Agir pour un Tourisme Responsable),...
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Kanjiroba Népal secret

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Floating imageAu moment où vous découvrez dans les kiosques notre numéro spécial consacré au Désert(s), nous sommes en train de fignoler la prochaine édition de votre magazine favori qui sera consacré à...
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Le kit de sécurité avalanche indispensable

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Le kit sécurité avalanche ou l’équipement post avalanche.

La montagne, son adrénaline, et ce petit goût d’interdit qui vous pousse à aller toujours plus loin, hors des sentiers battus, vous connaissez? D’accord. Mais n’oublions pas que la première règle d’une sortie est de rentrer en un seul morceau. Pour cela, aucun équipement sécurité avalanche  ne remplacera jamais votre bon sens. Savoir renoncer lorsque l’endroit devient trop dangereux, ne pas surestimer ses capacités sont des gages de sagesse et de longévité pour tout montagnard. Mais même lorsque l’on ne s’y attend pas, le danger reste présent, notamment en hiver. Le déclenchement d’une avalanche ne peut pas toujours être prévu, et même les plus grands se font parfois prendre. On ne dit pas que ça vous arrivera forcément, juste qu’il faut impérativement être préparé. Pour ça, ayez toujours, toujours, toujours (oui, on insiste) le triptyque sacré dans votre sac : ARVA, Pelle, Sonde. Et sachez vous en servir !

Lors d’une avalanche, on estime que si vous passez moins de 15 minutes sous la neige, vous avez près de 90% de chances de survie. Un chiffre qui chute en dessous de 50% ensuite et décroit très rapidement. Autant dire que c’est à vos compagnons, entrainés au maniement des appareils de sécurité post avalanche, que vous devrez votre salut.

L’ARVA :

ARVA Axis

Dans votre équipement sécurité avalanche, prenez un Appareil de Recherche de Victimes en Avalanche (ou DVA, pour Détecteur de Victimes en Avalanche). Il s’agit d’un petit boitier émetteur-récepteur. En marche normale, il émet des ondes (sur une fréquence de 447 Khz si ça vous intéresse). En mode réception, il reçoit les signaux des ARVA ensevelis et permet de les localiser. Il existe différents modèles, plus ou moins évolués : du simple bruit qui devient plus fort lorsque l’on se rapproche d’une victime, au système de boussole qui vous indique dans quelle direction chercher. L’ARVA Axis est le modèle dernier cri de recherche de victimes d’avalanche : Outre sa fonction de marquage de victimes multiples, il possède un nouveau mode de sécurité qui le fait revenir automatiquement en mode « émission » si vous êtes pris dans une sur-avalanche. 273€99, mais pour la sécurité, on ne compte pas.

La sonde à neige :

Une fois la victime localisée grâce à l’ARVA, il va falloir vérifier qu’elle est bien à l’endroit indiqué (on ne va pas creuser pour rien). La sonde à neige permet d’être sur de son coup, et surtout de connaître la profondeur de la victime. Bien utile pour estimer la taille du trou à creuser. Il existe beaucoup de modèles de sondes à neige, plus ou moins lourds, plus ou moins longs. A partir de 50€.

La pelle à neige :

Une fois la victime localisée, il faut la dégager. Avec les mains ou les skis, n’y pensez pas franchement. Après une avalanche, la neige peut devenir aussi compacte que du béton (ce qui explique d’ailleurs que des victimes n’arrivent parfois pas à se dégager seules même à 30 cm de profondeur). La pelle à neige est donc un outil tout autant nécessaire que l’ARVA ou la sonde à neige dans votre kit de sécurité avalanche. Elle vous permet également de construire des bonhommes de neige (ou des igloos) ou encore de taper sur votre voisin s’il vous énerve. Bref, un outil indispensable. A partir de 25€.

Les sacs ABS :

Pas encore très démocratisés, ces nouveaux systèmes de sac à dos d’avalanche déclenchent un airbag gonflable lorsque vous êtes pris dans une coulée. Ils vous permettent de rester à la surface de l’avalanche et vous protègent (un peu) des chocs. Un must qui a son prix : plus de 500€. Un plus indéniable en terme de sécurité, peut être encore un peu cher. Compensez par une bonne dose de bon sens, croisez les doigts, et surtout vérifiez le fonctionnement et le maniement des autres matériel de sécurité avalanche à chaque début de rando.

Vous êtes équipés ? Cela ne suffit pas !! Entrainez-vous à l’utilisation de ce matos avant de partir ! Votre vie et celles de vos compagnons en dépendent.

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Les carnets de Clermont

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Floating imageProgramme très impressionnant cette année encore pour la 12ème édition de la Biennale (qui n’a de biennale que le nom, les festivités étant annuelles depuis la première édition… on ne...
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5 itineraires de ski de rando dans les Hautes Alpes

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5 itineraires de ski de rando dans les Hautes Alpes

Dans les Hautes-Alpes, les occasions de pratiquer le ski de randonnée ne manquent pas. Les sites accessibles sont d’une rare diversité. Voici 5 spots de moyenne montagne, aux alentours de 2000m, à découvrir de toute urgence.

Si vous souhaitez vous équipez avant de partir, lisez notre article : Comment choisir ses skis de rando.

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1.Randonnée à ski au Queyras

Les saraillesLe Parc Naturel Régional du Queyras est un endroit de rêve pour les randonnées à ski. Situé à quelques kilomètres de Briançon, l’endroit dispose d’un ensoleillement exceptionnel de 300 jours par an. Une randonnée de 3 jours dans la région du Queyras vous fera découvrir sa magie.

Au départ de Cervières, vous ferez route vers le Laus (20km au départ de Briançon), le col de Péas ou encore le col de l’Izoard (portion de 10km à 8%). Cette randonnée, entre 1500 et 3000m d’altitude, n’est toutefois possible qu’au printemps. En hiver, le col de l’Izoard est généralement fermé pour cause d’enneigement.
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2.Ski de randonnée au Pic Haut.

Découvrez l’Embrunais et ses belvédères spectaculaires ! Cette randonnée à ski vous ouvrira les portes de panoramas splendides autour du lac de Serre-Ponçon et dans la forêt de la Résinière. Rendez-vous au départ de Crévoux. Au cours  de votre périple, vous cheminerez par l’arête large pour atteindre le Pic Haut d’une altitude de 2518m. Avec un dénivelé de 980 m et 7km de parcours, cette rando est réservée aux randonneurs confirmés.

3.Randonnée à skis vers la pointe des Cerces.

Lac longSuperbe, la pointe des Cerces culmine dans la région de Névache et de la vallée de la Clarée. Pour une rando à ski, prévoyez idéalement 3 jours d’excursion.

Vous pourrez vous aventurer au départ de la vallée de Guisane. Puis, vous vous dirigerez vers le col du Lautaret. Après un passage par le col de Galibier, des Muandes et de Valmeinier, vous atteindrez le sommet du Thabor.

Cette randonnée, entre 1700 et 3000m, vous ouvrira les portes d’une nature sauvage et fragile. Le massif est bien sûr doté de nombreux refuges pour vous reposer.

4.Le pic de Sagnes Longues, quand la rando à ski mène aux étoiles !

Le Pic de Sagnes Longues est le « pays où brillent les étoiles ». A cet endroit, réputé pour la beauté de son ciel, un observatoire astronomique a été érigé. Ce pic, haut de 3000m, vous offrira un panorama splendide sur la région du Haut Queyras.

Vous accèderez à un circuit de randonnée au départ du village de Saint Véran, situé à 2000m. Vous monterez en prenant la route de la Chapelle de Clausis. Vous rencontrerez d’abord des pentes douces puis plus musclées. Cette randonnée de 4h30 de montée s’effectue de décembre à avril.

5.Le massif du Dévoluy, un incontournable du ski de randonné

Le Dévoluy est un des massifs alpins parmi les plus adaptés au ski de randonnée. Vous pourrez, par exemple, vous aventurer avec l’itinéraire de « la crête des Barges ». Cette rando à ski vous ouvre les portes de panoramas uniques sur le Dévoluy, le Champsaur et le Gapençais. Depuis l’Enclus, vous vous dirigerez ensuite vers le sommet de la Plane, perché à 2316m, en passant par le Col du Raclou. Avec un dénivelé de 914 m, cette randonnée au pays des collines s’étire sur 6km.

Crédit photos : Thibaut Blais

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Comment bien choisir son ski de rando

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Bien choisir son ski de randonnée


« Dis moi ce que tu ride, je te dirai qui tu es ». Ainsi commence la fable du montagnard, chapitre 1, verset 23. En ski de piste comme en ski de rando, il existe une multitude de skis, une myriade de modèles, une ribambelle de planches. Difficile donc de choisir son ski de rando.

Il existe quatre critères principaux pour bien choisir votre ski de rando.
Allez, on vous dit tout !
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La taille du ski de rando :

On dit toujours que ce n’est pas la taille qui compte ? C’est faux ! Ces dernières années, ski de piste comme en ski de rando, la tendance est bel et bien aux skis de gnomes, plus petit que le skieur. Sachez qu’en général pour bien choisir son ski de rando, on peut prendre des skis entre 10 et 15 cm plus petits que soi. Mais cela dépend aussi de votre pratique. En gros, qui dit skis de rando courts dit plus de facilité à la montée (pour les conversions notamment), qui dit skis de rando longs dit plus de stabilité à la descente, pour peu que l’on ait un assez bon niveau. Des skis de randonnée longs seront également préférables pour les gros gabarits.

Le poids des skis de rando :

Forcément, quand vous vous apprêtez à vous taper 3000 mètres de dénivelé, ça compte. Choisir un ski de rando plus léger vous avantagera à la montée, mais sera plus difficile à skier à la descente. Si vous êtes plutôt moyen sur des planches, privilégiez un ski de rando un peu lourd, il vous apportera de la stabilité. N’allez tout de même pas jusqu’à rider une porte de grange, il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes…

La largeur au patin :

Révolution dans le monde du ski de rando ! Alors que les marques proposaient habituellement des skis plutôt fins (entre 70 et 90mm au patin), la mode freeride a envahi la randonnée à ski. Résultat, certains modèles font jusqu’à 110 mm au patin. Un régal à la descente, un peu moins à la montée, même si les marques travaillent dur pour réduire le poids de ces nouveau mastodontes.

Les fixations en ski de rando :

Fixations Diamir

Deux grands types de fixations se partagent le marché. D’un côté des fixations qui ressemblent à celles des skis alpins, moins chères, simples d’utilisation, type Diamir.

Fixations Dynafit

De l’autre, des fixations du style Dynafit, bien plus légères, mais un peu plus compliquées d’utilisation et qui nécessitent des chaussures adaptées.
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Idées d’itinéraires :

Vous avez choisis vos skis? Lisez : 5 itinéraires à ski de rando dans les Hautes-Alpes.

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Agences // Les réceptifs francophones ciblent la vente directe

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Floating imagehttp://www.theadventuretravelnetwork. The Adventure Travel Network est (comme son nom ne l'indique pas) un réseau mondial d’agences réceptives locales et francophones, spécialisées dans les...
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Simone Moro – Portrait

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Simone Moro, le puriste de l’extrême.

« Je suis en vie parce que j’ai su avoir peur»

Alpiniste EverestSi on vous dit que dans sa jeunesse il a participé à des coupes du monde d’escalade,  qu’il est monté quatre fois sur l’Everest et qu’il a à son actif trois premières ascensions hivernales de sommets de plus de 8000 mètres, vous nous répondez ? Simone Moro bien sur ! L’alpiniste italien, qui fêtera ses 45 balais dans quelques jours, s’impose aujourd’hui comme l’ambassadeur d’une certaine vision de la montagne. Loin de la massification de la pratique de l’alpiniste, celui qui confie avoir renoncé à des ascensions « parce qu’il y avait trop de monde » se fait l’ambassadeur d’une vision éthique de la montagne, mélange de respect et de défi.
Rencontre.
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Simone, peux-tu rapidement te présenter ?

 Je suis né à Bergame, en Italie. J’ai débuté par l’escalade, que j’ai pratiquée à haut niveau, en participant notamment à des compétitions nationales et quelques étapes de coupe du monde. Ensuite, je me suis mis à l’alpinisme. Depuis 1992 et ma première expédition, j’ai à mon actif 47 expéditions, sur tous les continents. J’ai atteint la cime de sept des quatorze sommets de plus de 8000 mètres, et j’ai réalisé trois « premières » hivernales : le Shisha Pangma (8027m) en 2005, le Makalu (8463m) en 2009 et le Gasherbrum II (8035m) en 2011. Je suis le seul a avoir gravi trois 8000 en complète saison hivernale, c’est-à-dire que le départ de mes expéditions ne se fait jamais avant le 21 décembre.

Wow… Et sinon, ça t’arrive de faire des trucs un peu plus orientés « commun des mortels » ?

Bien sur ! J’aime me présenter en disant que je suis polyvalent. Je continue l’escalade sportive comme sur glace, je pratique également le dry tooling, et quand je suis en phase de préparation, je cours jusqu’à 140 kilomètres par semaine. Toutes ces activités me servent de préparation pour mes expéditions en haute montagne, que ce soit sur le plan physique, ou technique. C’est ce qui me permet d’être capable d’affronter les difficultés en situation extrême.

Des situations extrêmes, dans des conditions extrêmes…

C’est vrai que c’est ma spécialité. Monter sans oxygène, ni sherpa. Je considère que c’est ce qui rend l’ascension vraiment difficile, qui en fait un vrai défi. En hivernal, c’est encore plus dur, et je n’ai jamais utilisé l’oxygène durant ces ascensions. Pour moi, c’est une question éthique, de ne même pas en emporter « au cas où ». Ce serait comme faire une course avec une seringue de produit dopant dans la poche, et me demander « je l’utilise, je ne l’utilise pas ? ». J’ai fait quatre fois l’Everest, mais à chaque fois avec de l’oxygène. Et à chaque fois, j’étais frustré, parce que certes j’étais monté, mais pas de la manière que je voulais.

Mais ce n’est pas un peu trop dangereux ?

Il faut savoir que le manque d’oxygène n’arrive pas comme ça, en une seconde. Cela prend plusieurs heures, et laisse le temps de redescendre si on a la tête sur les épaules. Il m’est déjà arrivé plusieurs fois de renoncer, de faire demi-tour. Je ne l’ai jamais vécu comme un échec. Au contraire, j’ai fait demi-tour, je me suis sauvé la vie, ce sont des victoires. Si je suis encore vivant après 10 ans passés  dans l’Himalaya, c’est parce que j’ai eu de la chance, que j’ai des compétences, mais surtout que j’ai su avoir peur et renoncer au bon moment. C’est fondamental pour tout alpiniste.

Si tu devais nous parler de tes meilleurs souvenirs d’alpinisme ?

Le meilleur, sans aucun doute, c’était en Antarctique, en 2002. J’ai grimpé le mont Vinson (4892m). Ce qui était très fort, c’est qu’à la période où nous y sommes allés, c’était le jour en permanence. C’est comme atterrir sur une autre planète. Un sentiment indescriptible. Et puis bien sur, dans mes meilleurs souvenirs, il y a les trois premières hivernales dans l’Himalaya. Quand tu arrives au sommet avec ton compagnon de cordée, tu réalises que non seulement tu as fait un truc énorme, mais surtout que tu entres dans l’histoire.

Et ton pire souvenir ?

Le jour de Noel 1997. Sur l’Anapurna, une avalanche est partie. Mes deux compagnons de cordée sont morts sous cette avalanche, j’étais blessé, j’avais perdu beaucoup de sang. Je suis redescendu jusqu’au camp de base tout seul, je n’avais aucun moyen de prévenir les secours. Sans aucun doute le moment le plus difficile de ma carrière. J’ai d’ailleurs écrit un livre sur cette expérience [« Cometa sul Anapurna », pas encore traduit en français, mais disponible en anglais, ndlr]

Et maintenant que tu es entré dans l’histoire, quels sont tes prochains objectifs ?

Le côté « exploration » de l’alpinisme m’attire beaucoup. Il reste trois sommets de plus de 8000m qui n’ont jamais été faits en hivernal, ce sont des objectifs pour moi. J’ai aussi une licence de pilote d’hélicoptère dans l’Himalaya, je veux consacrer plus de temps au secours en haute altitude, repousser ses limites. C’est le moment pour moi de donner plus de temps pour aider à sauver d’autres alpinistes.

Justement, si tu devais donner un conseil aux alpinistes amateurs qui nous lisent ?

Je leur dirais que dans leur sac, il y a trois choses qu’il ne faut pas oublier. Une lampe frontale, un système de GPS pour ne pas se perdre, et surtout leur bon sens. Il ne faut jamais oublier d’avoir l’intelligence de ne pas faire les choses en étant « buté ». Savoir estimer le danger, être capable de renoncer même si cela doit gâcher le travail accompli pour se préparer à un défi, ce sont des victoires qui permettent de rester en vie.

 

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Raquettes à neige cinq modèles pour tous les besoins

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Vous avez lu religieusement notre article sur Comment choisir ses raquettes à neige ? C’est bien. Sauf que vous avez râlé tout le long de l’article parce que vous n’aviez pas d’exemple concret des modèles qui conviennent à chaque usage ? Pas si vite, petit chenapans. ZeOutdoor vous aime tellement qu’il vous propose cinq modèles de raquettes, pour cinq profils de randonneurs. Ouais, on est comme ça chez ZeOutdoor.

La Hike 26 de SNEKA (59€) :

SnekaSon atout ? Le prix. Qui dit produit d’entrée de gamme dit performances d’entrée de gamme. Ne pensez donc pas batifoler des heures durant dans la poudreuse avec cette raquette, ça pourrait faire mal. En revanche, si vous êtes un randonneur occasionnel, ou que vous recherchez des raquettes à neige d’initiation pas chères, pour des promenades faciles, la Hike 26 fera tout à fait votre bonheur.

Caractéristiques techniques :
- Tamis plastique, plaques fixations articulées, serrage par sangle, réglage pointure à crémaillère, cale de montée métal, griffe avant.
- Dimensions : 60 x 20 cm
- Poids de la paire : 1400 g
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La TRK 24 de TUBBS (104€) :

TubbsUn super rapport qualité/prix. Adaptée à tous types de terrains, cette raquette conviendra à ceux qui veulent franchir un cap, et s’essayer à la randonnée raquettes sportive. Petit plus de la TRK 24 de Tubbs : la fixation accepte tous types de chaussures, et son utilisation est d’une simplicité remarquable.

Caractéristiques techniques :
- Tamis plastique en deux parties flexibles : améliore le confort dans les zones irrégulières. Fixations en plastique souple avec sangles croisées à l’avant, et courroie de maintien au talon
- Dimensions : 20,32 x 55,88 cm
- Poids de la paire : 1542 g

 

L’E-Move d’INOOK (139€) :

inookInook, c’est Inook. C’est-à-dire des raquettes au design bien particulier, tentant de s’adapter au mieux à la morphologie du randonneur. Ce modèle asymétrique propose un réel plus en ce qui concerne la stabilité et le confort du déplacement sur terrains escarpés. Le seul défaut de l’E-move d’Innok : son poids.

Caractéristiques techniques :
- Tamis ajouré et asymétrique. Châssis correcteur de dévers : corrige l’inclinaison de la platine centrale par rapport au tamis. Fixations à double articulation : suit le pied sans lui imposer de contrainte.
- Dimensions : 23 x 65 cm
- Poids de la paire : 2320 g

 

 

La 227 Escape Easy de TSL (139€) :

TSL

C’est le modèle des costauds. Proposé par TSL, une référence de la raquette à neige, ce modèle est plus long, pour supporter les gabarits les plus forts. On nous annonce jusqu’à 140 kg pour l’utilisateur, vous pouvez reprendre du gâteau. La 227 Escape Easy est pour tous terrains.

Caractéristiques techniques :
- Châssis souple, à portance élevée. Fixation cheville par sangle, coup de pied par crémaillère. Cale de montée « Easy-up » : pivote grâce à une simple pression du bâton. Griffe avant : 6 crampons interchangeables en acier.
- Dimensions : 22,7 x 74 cm
- Poids : 2120 g

 

 

Lightening ascent de MSR (259€) :

raquettes MSRBon, autant le dire tout de suite, là on change de planète. Un modèle haut de gamme, sans compromis. Son cadre en aluminium lui donne une légèreté inégalable pour un modèle tous terrains. Le systeme de fixation de La Lightining Ascent accepte même les grosses boots de snowboard.

Caractéristiques techniques :
- Tamis souple, ultra résistant. Cadre aluminium d’une seule pièce. Fixation souple, résistant au gel. Griffe avant, ainsi que deux barres dentelées transversales pour le cramponnage en terrain escarpé. Fixations ajustables pour les plus grosses chaussures.
- Dimensions : 20 x 64 cm
- Poids de la paire : 1684 g

.

Comment choisir ses raquettes à neige :

Débutant en rando raquettes? Ça tombe bien, nous sommes là ! On vous dit tout sur  la dimension idéale, les différentes fixations, les griffes et autres, sur l’article : Comment choisir sa raquette à neige ?

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Le grand bivouac tape le carton

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Laventure sur grand écran

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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