L’Outdoor  Mix festival, c’est à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 12 mai, et ça se passe sur la Durance. Sur toute la Durance, puisqu’il s’agit d’un festival itinérant. Un évènement placé sous l’égide du chiffre 5.

5 comme les Hautes Alpes, département qui accueille le festival. Une belle initiative pour valoriser les spots et la variété des terrains des Hautes Alpes.

En parlant de spots, 5 c’est aussi le nombre de spots sur lesquels se déroulent les animations. Dans les prochains jours, l’Outdoor Mix Festival passera donc par Briançon, Serre Chevalier, L’Argentière le Bessée, Eyglier, Baratier et Embrun.
5, c’est le nombre de jours sur lesquels se déroule le festival.

Et enfin pour casser la série, 10, c’est le nombre de sports présentés, et ouverts à la pratique. Nous, on a surtout retenu kayak, slackline, VTT, SUP, Escalade, kitesurf, et parapente, mais on en a passé quelques uns !

Bref, si vous habitez dans le coin, outre les concerts, il va y avoir de l’animation outdoor, avec des démonstrations, des sessions, et la possibilité de tester certaines disciplines.

Pour ceux qui ne pourraient pas y aller, un petit teaser, en attendant les vidéos filmés sur place et qui devraient être sympathiques !

Du 8 au 12 mai, les meilleurs surfeurs surfeuses du monde se retrouveront à Rio pour une étape du World Tour 2013. Hommes et femmes s’affronteront en même temps, mais pas dans la même compétition. Explications !

Côté hommes, on a la Billabong Rio Pro, 3ème étape du World Tour, qui accueillera pas moins de 31 participants. Parmi eux les plus grands noms mondiaux, tels que Kelly Slater ou encore Taj Burrow. Mention spéciale à Jérémy Flores, seul français en lice dans cette compétition mondiale !

Côté femmes, c’est le Colgate Plax Girls Rio Pro, cinquième étape du Word Tour féminin, qui verra s’affronter les 17 meilleures mondiales. Parmi elles deux françaises, Pauline Ado et Alizé Arnaud. Cette dernière a reçu sa Wildcard suite à la défection de Steph Gilmore.

Malgré pas mal de désistements, et pas des moindres, les vagues seront au rendez-vous, et on peut s’attendre à une belle compétition !

Des vidéos, des news et le classement en temps réel juste ici !

31 teams ont pris ce matin le départ d’Expedition Africa, un raid de 500km qui les conduira du côté du Drakensberg en Afrique du Sud. L’objectif du raid ? Parcourir ces 500km en moins de 3 jours dans ce massif montagneux (le plus haut d’Afrique du Sud), en trail, VTT et kayak.

Les teams viennent des quatre coins du monde, et parmi eux, une équipe composée de 4 français du Team Issy Aventure. Tous engagés dans un raid en forme de course d’orientation géante en Afrique: Les chemins ne sont pas balisés, durant ces trois jours, les équipes choisissent leur route, ainsi que leur lieu de bivouac. Une seule contrainte: les checkpoints.

Passer par les checkpoints est non seulement obligatoire pour valider les différentes étapes de la course, mais surtout pour récupérer leur matériel. N’ayant droit à aucune assistance, les teams doivent gérer eux même leur matériel et leur nourriture. L’organisation du raid se contente de déplacer leurs affaires d’un point à un autre.

Résultats à suivre dans quelques jours, mais il semblerait que nos français du Team Issy Aventure soient bien partis. Pour suivre leur parcours et le classement en temps réel, c’est par ici !

Et vous, avez vous déjà participé à un raid ?

Au menu cette semaine, une petite vidéo de cyclo dans les gorges de la Sioule, au sud de l’Allier et à la limite du Puy de Dôme. L’occasion de vous montrer l’efficacité de nos beaux mollets dans un environnement préservé et bien agréable.

Au final un mix d’activités sympa où avec un minimum d’organisation, on peut coupler sur une journée une montée en vélo et la descente en canoë…
 

On a testé…le vélo dans le gorges de la Sioule, en Auvergne from Auvergne Tourisme on Vimeo.

Au programme : Au départ d’Ebreuil, balade en vélo dans les gorges de la Sioule, en Auvergne.

Le temps d’une journée, faites la remontée de la Sioule à vélo en passant par le tunnel façon « presque Canyon ».

Le Val de Sioule en Auvergne

Profitez des nombreuses activités de pleine nature à découvrir en famille ou entre amis proposées par les gorges de la Sioule qui se déploient depuis le barrage de Queuille (Puy de Dôme) jusqu’à Ebreuil (département de l’Allier).

Avec ses 15km de gorges sauvages resserrées entre le Pont de Menat et Ebreuil, la Sioule vous offre des balades agréables pour vos yeux comme pour vos papilles avec ses 4 restaurants installés dans la vallée.

Laissez-vous charmer par cette nature somptueuse à pied, en canoë, à vélo ou à cheval.

Arpentez la vallée par ses nombreux chemins de randonnée (GR 30, GR 33, GR 441, GR 463)  ou parcourez la Sioule en Canoë-kayak avec des descentes de 2km, 21km ou 50km.

La région des Combrailles en Auvergne

Les Combrailles abritent un patrimoine architectural important.

Quelques curiosités à découvrir :

-       Le château de Veauce

-      La forêt des Colettes (2000 hectares) : Située en Allier, des circuits de randonnée vous permettront de vous détendre et de profiter des paysages.

-       Les Gorges de Chouvigny : à découvrir et redécouvrir sans cesse avec son château…`

-       Le méandre de Queuille : impressionnant méandre de la Sioule.

-       Le viaduc des Fades : plus haut viaduc ferroviaire de France.

-       Le Château-Rocher : château de la fin du XIème siècles dominant la Sioule.

-    Le pont de Menat : seul passage entre Ebreuil et Châteauneuf-les-Bains. Anciennement une voie de pénétration entre l’Auvergne et le Bourbonnais.

-       Abbaye clunisienne de Menat.

-       Abbatiale d’Ebreuil.

-       Le viaduc de Rouzat et le viaduc de Neuvial : considérés comme monuments historiques.

Une sortie en plein air sympa à prévoir prochainement !

Avec les week-ends en plein air proposés par l’Auvergne, découvrez cette région aux multiples activités outdoor ! A noter : le 11 et 12 mai, planez dans les airs le temps d’un vol de parapente dans les terres Auvergnates.

Pour plus d’infos, c’est par ici.

Partie le 1er avril 2011 de Londres, Sarah Outten s’était lancé le défi de rallier Londres en solitaire et en utilisant la seule force de ses muscles. Au programme des kilomètres de vélo, de kayak et de bateau… A rames ! Un projet ambitieux.
Arrivée au Japon en 2012, Sarah Outten s’est vue contrainte d’abandonner le projet: après 25 jours en mer, en direction du Canada, son bateau fut endommagé par une tempête tropicale.

Presque un an après son premier départ, Sarah Outten a repris là où elle s’était arrêtée, avec un nouveau bateau, mais un objectif qui reste inchangé. Actuellement en plein océan pacifique, elle devrait atteindre le Canada en octobre.

Outre le challenge physique que ce défi représente, elle compte battre quelques records au passage. D’abord parce que la route qu’elle emprunte n’a jamais été prise pour un tour du monde. Ensuite parce que lorsqu’elle arrivera au Canada, elle deviendra la première femme à avoir effectué la traversée du Pacifique Nord en solo.

Un challenge à suivre au jour le jour sur son blog !

Wi.D.E, comme Wilderness Diving Exploration, l’expédition montée par deux français,  en plein coeur du Groenland. Une expé résolument outdoor, puisqu’ils ont mené leurs explorations en plongée, ou en kayak de mers. On ne pouvait qu’aimer, on vous en fait profiter !

C’est l’histoire de deux français, qui ont décidé d’apporter leur pierre à l’édifice photographique, mais aussi scientifique en explorant cette étendue de glace plutôt méconnue qu’est le Groenland.
Alban, spécialisé en plongée sous-glace et souterraine et Vincent, caméraman explorateur, ont filmé pendant deux ans leurs découvertes, mais aussi leurs galères (rester coincé une nuit au milieu de la banquise dans un kayak de mer c’est pas le top). Ils en sont revenus avec des heures de rushs, et des photos à couper le souffle.

Leur objectif ? Observer et comprendre la nature. Celle que nous avons actuellement, pour la transmettre aujourd’hui, mais surtout demain. Tout porte à croire que ce projet ne sera pas le dernier, et que les deux comparses repartiront vers d’autres étendues inconnues. Rassurez vous, la plongée restera le leitmotiv des voyages d’Alban Michon et Vincent Berthelet.

Et en attendant la suite, les rushs rapportées ont été condensées en 110 minutes, pour donner naissance à un film, « Le Piège Blanc » (anciennement nommé « Voyage au cœur des glaces »), qui sera diffusé ce soir à 20h45 sur France 3.

La bande annonce, c’est par ici !

Si vous avez déjà entendu parler de lui, vous saurez que Gavin Bate, alpiniste, a déjà fait des choses incroyables pour promouvoir son association, Moving Mountains. Petit rappel, Moving Mountains, c’est l’association montée par Gavin Bate lui même pour « changer des vies au Kenya, au Népal, et à Bornéo ».

Bref, après avoir vendu ses twits postés du haut du Mont Everest… Aux enchères pour promouvoir l’association, Gavin Bates s’est lancé le 27 mars dernier dans un nouveau challenge: rejoindre le Pôle Nord Magnétique. Un défi sous forme de campagne de financement, puisque que son avancée dépend des fonds récoltés. On vous explique tout ça !

Le concept de « Race Me To The Pole » est simple: Chaque don fait parcourir une certaine distance à l’équipe Moving Mountains. 1£ donnée, c’est 25mètres parcourus. Ça ressemble à votre cours de maths niveau collège ? C’est normal ! On continue.

Sachant que du point de départ, à Resolute Bay au Canada, jusqu’au Pôle Nord Magnétique, il y a 550km, l’équipe espère atteindre le Pôle Nord, et ainsi recueillir 22 000£.

L’équipe Moving Mountains a déjà obtenu pour plus de 14 000£ (on est sympas, on a fait le calcul: 350km), et son trek s’achèvera le 14 mai… A suivre !

Du 1er au 9 mai, Val Thorens organise les « Apotheose Days ». Neuf jours pour fêter dignement la fin de la saison d’hiver avant la fermeture du domaine skiable !

La bonne excuse pour aller faire un tour du côté de Val Thorens en ce début de printemps grisâtre, puisque la station fermera ses portes le 12 mai.

Et si la neige ne vous suffit pas, ou que tout simplement vous passez par là, un programme chargé s’offre à vous: des animations, démonstrations, ateliers et concerts. Bref, un tas de choses à voir et à faire, qui ne nécessitent pas forcément de monter sur des skis !
Une initiative sympathique qui nous rappelle que si faire du ski est traditionnellement associé au mois de février, les « vacances d’hiver », la neige est bonne jusqu’en mai. Alors ne rangez pas vos skis tout de suite !

Un dernier détail pour la route: si au détour d’une piste, vous croisez des golfeurs, ne vous inquiétez pas, la station accueille une étape du championnat français de Street Golf. Du golf, dans la neige !

Ce samedi, les alpinistes Ueli Steck, Simone Moro ainsi que leur photographe Jonathan Griffith ont été contraints d’abandonner leur entrainement pour l’expédition « NO2 » (ascension de l’Everest sans oxygène) après une violente altercation avec des Sherpas.

Pour rappel, parce que vous aurez sans doute déjà eu vent de cette nouvelle, qui secoue non seulement le monde de l’alpinisme mais aussi le Népal, qui voit son image entachée. Samedi matin, les trois hommes se dirigeaient vers le Camp 3, et ont croisé des sherpas qui installaient des cordes fixes pour les expéditions vers le sommet de l’Everest. C’est à partir de là, les versions divergent. Pour les sherpas, les alpinistes seraient passés trop près, déclenchant des chutes de neige et de pierre. Côté alpinistes, on affirme être passé à plus de 50 mètres pour ne pas déranger les sherpas dans leur travail.

Quoi qu’il en soit, après avoir été la cible de jets de pierre, les alpinistes ont été dans l’obligation de redescendre.

Cet incident soulève un problème majeur, celui de la fréquentation des sentiers qui mènent vers le toit du Monde. S’agit-il d’un malentendu entre alpinistes et Sherpas qui n’ont pas compris les intentions de Simone Moro et Ueli Schlek ? Ou est-ce que la route vers l’Everest est en train de se transformer en autoroute ?

Aux dernières nouvelles, Ueli Steck, Simone Moro et Jonathan Griffith n’ont pas subi de blessures graves, et si leur entraînement est arrêté, leur expédition, elle, semble compromise.

Pour aller plus loin, notre interview de Simone Moro.

Ce jeudi, Nicolas Anthonioz a pulvérisé le record de descente du Mont Blanc en 32 minutes !

Nicolas Anthonioz, Olivier Meynet, Seb Bron, Guillaume Meynet et Guillaume Omont avaient décalé leur tentative en début de semaine dernière en raison du mauvais temps, grand bien leur en a pris !

Ils se sont lancés du sommet du Mont Blanc en ski, ont dévalé les pistes, passant par la forêt dépourvue de neige, toujours en skis. Ils ont ensuite rallié le point VTT au pas de course. Chaussures de ski aux pieds, ils ont pédalé jusqu’à l’église de Chamonix. Nicolas Anthonioz en tête.

Partis ensemble, ils ont cependant choisi des chemins différents, et c’était là leur parti pris: seul le plus rapide battrait le record.

Rappelons-le, le précédent record de descente du Mont Blanc, détenu par Kilian Jornet en ski était d’1h07. Bien loin donc des 32 minutes de Nicolas Anthonioz. Record à battre !

Quant à Killian Jornet, il n’est pas en reste, puisqu’il prépare une tentative d’aller retour église de Chamonix / Sommet du Mont Blanc en skis. On vous en reparle très vite !

Pour poursuivre dans la série « On a testé pour vous » on passe cette semaine à la vitesse supérieure avec du VTT Cross-country et du VTT de descente en mode « tortue ninja »!!!  Cette fois-ci on s’est orienté vers la station de Super Besse dans le Massif du Sancy (dans le Puy de Dôme).

Un terrain d’aventure et de belles balades VTT s’offre à vous …

On a testé…le VTT dans le massif du Sancy, en Auvergne from Auvergne Tourisme on Vimeo.

Au programme : Balade en VTT en bas de la station de Super Besse et descente en VTT du haut du Puy de la Perdrix

Le temps d’une journée, ça vous tente un peu d’action en VTT autour du Massif du Sancy ?

La Station de Super Besse, au pied du Puy de Sancy

Nous vous proposons ici de partir à la découverte de la station de Super Besse qui vous offre la possibilité de pratiquer de nombreuses activités sportives et ludiques entre 1350m et 1850m d’altitude.

Station d’hiver et d’été,  SuperBesse convient autant à la famille, aux enfants qu’aux sportifs. Vous pouvez faire du VTT,  du ski, de la rando et vous pouvez même vous baigner !

Un voyage à la fois sportif et culturel ? Pas de problème ! Aux environs, vous pourrez admirer les châteaux, les lacs, les cascades et bien d’autres encore…

SuperBesse et le VTT

Avec ses nombreux itinéraires de cross-country, ses pistes de descente et son bike park, la station devient une référence pour les VTTistes !

Au menu :

    –  VTT Cross-Country : Super Besse et ses environs se prêtent à merveille à cette pratique. 19 circuits de 3 à 35km sont à sillonner à travers des pistes vertes, rouges et noires. Pour ceux qui voudraient rester un peu plus longtemps : 437km de pistes, 47 circuits sont répartis sur 13 communes dans le Sancy.

   -   VTT de descente : 6 pistes accessibles du sommet du Puy de la Perdrix par le téléphérique. Virages relevés et sauts sont au rendez-vous.

  –  Le Kid’ Zone : Terrain de jeu réservé au enfants avec des slaloms, des mini-bosses et des mini-passerelles…

  –  Le Bike park : Au cœur des bois, des modules, des sauts et des passerelles sont à tester pour les plus confirmés d’entre vous.

Le Puy de la Perdrix

Situé à 1850m d’altitude, le Puy de la Perdrix se trouve en haut de la station de Super Besse et c’est de là que s’élancent les VTTistes de descente après avoir pris le téléphérique de la Perdrix.
Un panorama à 360°, une belle vue sur la vallée de Chaudefour s’offre à vous. Apercevez également lacs, volcans, monts du Cantal et même parfois les Alpes.

Les marcheurs pourront aussi emprunter le téléphérique pour accéder au sommet. Et pour les plus courageux, du bas de la station et selon votre rythme, comptez 2h de marche aller/retour pour le Puy de la Perdrix.

Voilà pour vous un bon programme à tester au plus vite !

Avec les week-ends en plein air proposés par l’Auvergne, découvrez cette région aux multiples activités outdoor ! A noter dans vos agendas : le 4 et 5 mai, profitez de ce week-end pour sillonner de superbes spots en VTT, à vélo électrique  ou à bord d’un vélorail dans les terres Auvergnates.

Pour toutes les infos, c’est par ici.

Alors, prêt ? Demain, c’est le grand départ pour plusieurs jours de rando. Au top. Les chaussures ont été préparées, les caleçons repassés, vous avez rationalisé le poids de votre sac pour n’emmener que le strict minimum. L’objectif inavoué : traverser le massif de Chartreuse (ça marche aussi avec d’autres, rassurez-vous) avec 24 heures d’avance sur le groupe de votre meilleur ennemi José, qui a fait la rando le mois dernier. Purée, ça fait un mois qu’il vous gonfle avec ses « Non, mais l’important, en rando, c’est de voyager léger. Moi, j’ai pu emmener l’essentiel, rien que l’essentiel. Je suis un mec comme ça moi, je n’ai besoin que d’un sentier, d’un peu d’eau fraîche et de beaucoup de bonne humeur. Remarquez, je suis TOUJOURS de bonne humeur, hihihihihi (rire espiègle qui vous insupporte) ». Du coup, vous avez décidé de lui coller une bonne leçon en partant avec encore moins de barda. Un vrai retour aux sources. Passons en revue le contenu de votre sac parce qu’il y a au moins cinq trucs que vous y avez mis et qui n’ont rien à y faire, pauvre bougre…

La tente Quechua 2 secondes

Sérieux là ? Non mais qui a bien pu inventer un truc pareil ? Ouais, super, ça se déplie en deux secondes, et après ? Une plombe pour la replier quand comme moi on a des mains palmées et puis surtout, paie ton confort de transport. J’adorais les tortues ninja quand j’étais petit, mais il y a des limites là… Non vraiment, pas de tente 2 secondes. D’un autre côté, la tente de votre grand-mère pèse une tonne, je sais. Si vous êtes vraiment malins, vous avez repéré des sports où dormir à la belle, abrités par une bâche. Et ouais, la rando n’est pas un truc de petits joueurs, quoi qu’on en pense.

Le Redbull (ou toute autre boisson dite « énergisante »)

Ben alors, on dort pas assez la nuit, on a besoin d’un remontant ? D’accord pour une pomme, un abricot sec ou un café préparé avec amour, mais cette daube en canette, JAMAIS ! Peuple de France et de Navarre, réagissez ! On vous vend un truc bourré d’hormones, de caféine et de je-ne-sais-quoi avec la promesse de vous donner le max d’énergie et au final, une fois l’effet passé, vous vous retrouvez par terre, épuisé. Il ne faut pas s’étonner, c’est comme si vous branchiez votre corps sur du 220 volt. Au début, il kiffe, deux heures plus tard, il déchante. Vous n’êtes pas une machine, oubliez le dopage et mettez vous au sport.

 La chaise pliante (purée, on l’a déjà vu…)

« Non mais nous la rando, c’est plus pour les paysages, prendre le temps avec confort ». On ne vous dit pas le contraire, sacrebleu, mais vous n’avez pas l’impression d’abuser un peu sur le confort avec votre chaise pliante là ? Franchement, ça vous fait du bien de croiser des troupeaux de Bidochons venus avec glacière électrique, chaise pliante et chaine hifi portable au sommet des randos les plus faciles ? Perso, ça me fend le cœur. Surtout si on prend en compte le fait que cette populace est souvent liée au sacro-saint « Je hurle comme un débile au milieu de la montagne et je balance mes ordures partout, de toute façon on s’en fout on ne refera pas cette rando ». Sérieux, reposez cette chaise pliante tout de suite, vous allez me rendre violent.

Ta gratte

Oui, tu as quinze ans. D’accord, tu as appris « Hélène » de Rock Voisine. Affirmatif, tu es un grand chanteur et tu emballeras toutes les nenettes de la terre. Mais là mon poto, on part en rando. Alors oublie la guitare. Une fois que tu te seras ridiculisé à trimballer ton instrument dans les montées, lorsque les filles se seront bien foutues de toi en te voyant suer à porter tes douze kilos de ton bouquin « Les plus belles chansons d’amour en La mineur », crois moi, tu ne risque pas de séduire qui que ce soit. Oui, c’est un peu cruel, mais concentre toi sur ton sourire, ou apprends l’harmonica.

Ton intégrale de Lara Fabian

Les marmottes aussi ont des oreilles, les copains ! Et si ce ne sont pas elles qui vont vous coller une beigne après la troisième écoute en boucle de « Je t’aiiiiiiimeuuuuh », vos compagnons de randonnée risquent d’être bien moins compréhensifs et patients que le règne animal. On a vu (de source sure) des randonneurs abandonnés en pleine nature par le groupe pour avoir osé fredonner du Mat Pokora. Il s’agit d’un conseil important, pour la sécurité de tout le monde, on arrête les c****ries ! NB : Ce conseil vital vaut aussi pour Garou, Céline Dion, Nabilla et tout ce qui se rapproche de près ou de loin d’une certaine idée has-been de la chanson française…

 Le soleil est enfin au rendez-vous ! A cette occasion, ZeOutdoor vous offre la possibilité de gagner un sac à dos TheNorthface pour vous accompagner lors de vos prochaines sorties en plein air.

Mais attention, un « seul » sac est mis en jeu alors dépêchez-vous de participer !

EN BREF,

Connectez-vous sur notre page Facebook et lancez le quizz ! Ensuite, il vous suffit de trouver la bonne réponse parmi les trois proposées.

N’attendez-plus et Participez !

Recherchez les indices sur notre site : la réponse est surement par là ! Et même si le sac n’est pas orange, le nom du sac nous a inspiré.

Restez connecter avec nous pour connaître le nom de l’heureux gagnant qui sera tiré au sort parmi les bonnes réponses le 10 mai !

N’oubliez pas : un sac à dos « TheNorthface » à remporter !

Consulter le règlement.

Vous les aurez peut être aperçus dans l’eau cet hiver, vous les y verrez forcément cet été, ce sont les pratiquants du « longe côte« .

Le longe côte ou randonner dans l’eau.

Tout de néoprène vêtus, les adeptes du longe côte randonnent, de l’eau jusqu’à la taille, des heures durant. Côté équipement, il y a deux écoles, celle de la pagaie, pour faire travailler les bras (et le haut du corps) et donner de l’impulsion, et celle des mains libres. Exit le sac à dos.

Bienfaits du longe côte.

C’est bien connu, l’eau permet de faire travailler les muscles de manière plus intense, et différente que dans l’air du coup, quand ces randonneurs aquatiques vous disent qu’ils ont travaillé, ça n’est pas une blague. Vous avez déjà du essayer de courir dans l’eau, ou d’y faire du renforcement musculaire ? C’est pas de la tarte.
Quant à la température de l’eau et l’air marin, ça n’est pas une légende, ça fouette le sang: cette discipline s’est développée dans le nord de la France. Un vrai coup de fouet.

En tout cas, si vous êtes plutôt plage, mais que la randonnée vous tente, lancez vous. En solo, ou en groupe, même si marcher tout seul dans l’eau ça peut devenir lassant. Vous trouverez forcément une « voie bleue » le long du littoral de vos vacances.

Vous le connaissez peut-être pour ses exploits, ou pour son site Internet qui ne ressemble à aucun autre (une idée à lui), quoi qu’il en soit nous avons rencontre Enak Gavaggio, freerider de renom. Une bonne occasion de revenir sur sa carrière, et de parler sport outdoor: VTT, base jump, parapente, tennis et golf… Y aurait-il des intrus dans cette liste ?

Ta première expérience ski ?
La première dont je me souviens, très très simple. Je crois que je devais avoir 7 ou 8 ans, mon papa m’a emmené dans un truc, ça s’appelait « Saperlipopette » c’était à Valmorel et il y avait des sortes de petits arcs en hauteur. Il fallait skier en travers. Au milieu il y avait un saut, si tu sautais assez haut, tu pouvais taper une clochette avec la main et j’étais tellement petit que je n’y arrivais pas. Ca me rendait dingue.

Comment as-tu débuté le ski freeride ?
J’ai fait du ski alpin jusqu’à 20 ans, j’étais en coupe d’Europe en descente, je suis arrivé en mi-saison mais je sentais que je n’allais pas percer. Je me heurtais à un problème de niveau. Je n’étais pas vraiment fait pour ça, j’ai arrêté. Et quinze jours après, je suis parti skier avec un de mes meilleurs amis qui était déjà dans le milieu du freeride. Il m’a présenté à des team managers et je suis parti là dedans comme ça. J’ai quitté l’alpin et je me suis retrouvé pro-rider dans un team en quinze jours.

A l’époque et même quand j’avais 18, 19 ans et que j’étais au Ski Club de Val Morelle, les entraineurs nous interdisaient formellement de faire du hors piste. Du coup on faisait du free ride en cachette. A ce moment là, le free ride commençait à arriver en France, avec les premiers magazines, du coup je regardais ça avec de grands yeux en disant « Ouah c’est cool », même si moi je voulais faire du snowboard et pas du ski.

Je suis ensuite parti aux Arcs, toujours en tant que skieur alpin. La particularité des Arcs, c’est que les entraineurs des Arcs étaient eux même des freeriders qui se sont filmés dans « Apocalypse snow ». Une trilogie, les premiers films de freeride. Du coup les mecs étaient passionnés de hors piste, et naturellement ils m’ont emmené en faire. Et là je me suis dit « c’est juste génial ».

Tu parlais de snowboard tout à l’heure, pourquoi avoir choisir le ski ?
C’est toujours pareil, une question d’époque. Quand j’avais 10, 12 ans je regardais ces films, Apocalypse Snow justement à la télé ou en cassette vidéo et je me régalais. Mais à ce moment là il y avait la guerre: le ski d’un côté, le snow de l’autre. Tu ne pouvais pas faire les deux, et quand tu faisais partie d’un camp, tu devais détester l’autre. Dans mon ski club, on avait pas le droit de faire de snowboard. Je me suis fait chopper deux fois en train de faire du snowboard, et là on m’a clairement dit: « tu vas choisir, c’est soit snowboard, soit ski ». Mais si je choisissais snowboard je perdais tous mes amis qui eux faisaient du ski, du coup je suis resté dans le ski. Mais je me suis rattrapé depuis, dès que j’ai du temps libre je fais du snowboard.

Ton spot préféré ?
C’est une question que l’on me pose souvent et qui est assez compliquée. C’est naturellement Les Arcs où j’habite maintenant. Pour la simple et bonne raison que je connais tout par coeur: les expositions, les runs, chaque montagne, chaque rocher. Du coup quand je vais skier là bas c’est facile parce que je peux aller très très vite, je ne perds jamais mon temps, je peux enchainer les runs.

Après si je sors de ma station, voici mon tierce :
La neige la plus folle c’est en Alaska,
Les paysages les plus fous, c’est en Nouvelle Zélande,
Le dépaysement le plus incroyable c’est le Japon.

Tes conseils à propos du Japon ?
Ile du Nord, Ile du Sud c’est à peu près la même chose, il y a énormément de neige. Le Japon c’est de tout petits dénivelés, la neige est folle aussi mais en réalité, ce qui fait le charme du Japon c’est tout ce qu’il y a à côté. Il y a une vingtaine d’années le ski était énormément à la mode, alors il y a eu beaucoup beaucoup de stations qui se sont créées. Le ski reste à la mode. Ce sont de petits domaines, de petites collines avec très peu de pentes, mais par contre personne ne sort des pistes. Le snowboard est roi là bas, ça n’est pas le ski.

Ils ont des trucs un peu particuliers, par exemple il y a très peu de stations où les remontées vont jusqu’au sommet. Il me semble que dans leur tradition la montagne est sacrée. Il ont une relation particulière avec la nature. Par contre il y a des gens qui vont dans les stations et qui après partent en peau de phoque.

Est-ce que tu pratiques un autre sport outdoor ?
Le base Jump :
Je fais du base jump depuis 2001, j’en fais un petit peu moins depuis deux ans par manque de temps. Mais c’est quelque chose que j’eus pratiqué énormément. Il faut 350 sauts minimum d’avion pour attaquer le base jump. Ce qui est déjà énorme et demande pas mal d’argent. Mais ce qui est encore plus difficile, c’est de trouver la personne qui va t ’apprendre. Parce que comme ça n’est sous aucune Fédération, il n’y a pas d’assurances, c’est pas un sport interdit, il est toléré, il n’y a pas vraiment de structure, et quand tu formes quelqu’un, tu es un peu responsable de sa vie, et du coup trouver un formateur base jump c’est très compliqué. Il faut une grosse relation de confiance entre le formateur et l’élève.

Le parapente :
J’ai aussi pratiqué énormément de parapente, que j’ai arrêté parce que je trouve ça un peu trop dangereux. La particularité du parapente, c’est que tu joues vraiment avec les courants thermiques, donc les vents et les zones de chaleur qui émanent du sol. Il faut avoir limite le coeur marin à cause des ascendances: parfois on peut prendre 10, 12m/s parce que l’objectif du parapente c’est de prendre des thermiques, donc des zones d’air chaud pour te monter en altitude donc tu enroules, pour ensuite traverser à plat d’autres zones. Moi quand ça me secoue trop je ne suis pas bien.

Le parapente de manière générale, ça reste dangereux au décollage, et à l’atterrissage. Parce que parfois on a des fermetures de voile à cause de vents qui arrivent de droite ou de gauche et que l’on ne peut pas calculer.
Quelque soit le sport que je pratique, je n’aime pas trop laisser la chance au hasard. Le parapente, ça reste un sport formidable, mais il faut beaucoup le pratiquer, ça prend énormément de temps. En quatre ou cinq jours on est autonome en parapente.

VTT :
J’ai aussi fait beaucoup de VTT de descente. Mais je ne suis clairement pas doué avec un guidon, du coup j’ai pris beaucoup d’arbres, beaucoup de chutes. Et un moment je me suis dit qu’il valait mieux arrêter. De toute façon je ne suis pas du tout agile avec mes mains, vaut mieux que ça se gère au niveau des pieds.

Et sinon, bon, c’est pas vraiment outdoor, mais j’adore le tennis, et j’adore le golf ;-)

Et la wingsuit dans tout ça ?
Je pratique la wingsuit d’avion. L’été où j’ai voulu attaquer la wingsuit en base jump, je me suis tout cassé en ski. Dos, sternum, épaule… En 2008. Du coup pendant deux ans j’ai eu interdiction de sauter et du coup j’ai pas eu le temps de tenter. Mais ça va arriver très très vite.

Et pour ces sports, quels sont tes spots préférés ?
Alors pour le base jump j’ai un petit peu voyagé. Je suis monté jusqu’en Norvège, parce que c’est un peu la Mecque là bas. Il y a beaucoup de falaises. Comme en Italie dans les Dolomites, j’y vais aussi souvent.

Pour faire du Base jump en France, il faut aller soit dans le Vercors, soit dans le Verdon, soit dans la région de Chamonix

Le parapente on en fait partout.

Tes projets ?
Alors tu vois, j’ai 37 balais, j’ai fait beaucoup de bêtises. Oui, j’ai pris des risques, parfois un peu trop en ski, en base jump. Clairement j’ai failli mourir cinq fois. Cette année c’est peut-être celle de la sagesse, j’ai fait des choses moins dangereuses, tout aussi belle et je pense que ma carrière va continuer dans le ski freeride et tout ça, mais je vais commencer à freiner un peu le côté performance de la chose, donc les déposes en hélico sur des faces qui font 600/700mètre avec un risque d’avalanche ou les voyages au fin fond de l’Alaska, quand tu sais que si tu tombes tu es à 5heures du premier hôpital… Je vais faire en sorte de toujours faire des choses engagées, mais avec plus de temps, et plus sereinement. J’ai moins envie de me mettre en danger, tout simplement.

Quelle est ta définition d’un sport outdoor ?
C’est comme quand on me demande le freeride en fait. C’est très vaste. Si je devais qualifier tous les sports qui sont outdoor, le premier truc auquel je pense c’est tout ce qui ne se passe pas sur le macadam, donc des sports qui ne sont pas forcément urbains. En fait je crois que c’est un peu tout ce qui touche à la nature. C’est de la liberté: je pars courir, je ne suis pas obligé de me cantonner à une boucle de 400m. C’est être dehors.

Le film Unicorn Sahimi s’intitule aussi « A la poursuite du Hokkaido Unicorn« , Hokkaido Unicorm étant un monstre légendaire que l’on aperçoit furtivement à surfer sur la poudreuse sur une espèce de planche.
Ce film est un film Japonais très esthétique. Ne vous attendez pas à voir des riders qui font des lignes sur fond de hard rock Van Hallen ou AC/DC.

C’est un peu « Le Village dans les Nuage » pour ceux qui regardaient  la télé dans les années 80. Bref, pour les autres c’est 5 minutes de peuf comme vous n’en avez jamais vu comme si on surfait un cumulo nimbus !

Ce film a concouru au Festival de Banff et a eu un prix. Cela lui a permis de suivre le Festival de Banff World Tour où il a été diffusé dans de nombreuses villes dont Paris et Lyon pour la France.

Peuf, Peuf, Peuf !

Unicorn Sashimi from FELT SOUL MEDIA on Vimeo.

Pas chez vous non ! Chez ZeOutdoor, nous nous savons que ce serait trop simple, alors on a cherché à vous proposer un peu de challenge : Pourquoi ne pas faire ça à la montagne ?

Depuis 2001, l’association Mountain riders met en place des actions de ramassage des déchets en montagne. Parce que la neige qui fond, ne signifie pas seulement « saison de la rando », c’est aussi le temps de l’apparition des ordures abandonnées à droite à gauche pendant toute une saison.

Pour participer rien de plus simple, il vous suffit de vous inscrire sur le site, puis de choisir un « ramassage » dans la liste proposée. Avis aux plus engagés, vous avez aussi la possibilité de créer vous même un événement.

Quoi de mieux pour apprendre ou réapprendre les gestes éco-responsables entre passionnés… De montagne, de ménage, ou les deux !

Elle est sortie hier et nous avons voulu en savoir plus. Pour vous, nous avons donc testé en avant première l’application Mountain Bike développée par Runtastic.

Ouverture de l’application avec une seule angoisse: ne pas être capable de m’en servir et d’en comprendre les fonctionnalités. Parce que les applications VTT, c’est génial, mais pas souvent intuitif.

Premier contact avec Mountain Bike

Le chargement est rapide, mais avant de démarrer, il faut répondre à quelques questions du type sexe, poids, taille et compagnie. Avant tout, Runtastic c’est une marque fitness, alors il fallait s’attendre à un suivi personnalisé.

L’application intuitive par Runtastic

L’interface apparaît, soulagement. Elle est franchement agréable et facile à manipuler, de sorte que même si vous êtes une bille en informatique ou que vous aimiez les terrains qui secouent dans tous les sens, vous arriverez à vous en servir. Vous avez à porté de doigt la météo et les points cardinaux.

Et bien rangés dans de petites cases, le temps, la distance, l’altitude, le nombre de calories brulées ainsi que le dénivelé du parcours. Le tout paramétrable, en fonction de ce que vous voulez suivre (montée, descente, vitesse…).

Sitôt chargée sur mon iPhone, sitôt partie en forêt. « 5, 4, 3, 2, 1 » Top départ donné par l’application Mountain Bike. Le suivi GPS via Google Maps est précis, j’ai même pu voir que je ne roulais pas droit sur les chemins.

Une application VTT résolument outdoor

Mettre l’application sur pause pour photographier les petits oiseaux ? Facile aussi, il suffit de faire coulisser la commande au bas de l’écran (comme pour déverrouiller l’iPhone. Quant aux photos, inutile de quitter l’application, un petit icône photo permet de prendre les photos et les sauvegarde via l’application dans votre parcours.

Côté audio, c’est Amélie, la voix française qui m’a accompagnée quelques kilomètres, énonçant régulièrement mes performances entre deux morceaux de musique. Ma musique, de mon iphone, gérée à partir de Mountain Bike. Plus besoin de naviguer entre les différentes applications.

Notre avis sur l’application Mountain Bike de Runtastic

Au top. Un dernier conseil pour la fin, utilisez la avec un support VTT pour votre smartphone si vous voulez suivre l’intégralité de votre parcours. L’intérêt de cette appli, c’est avant tout d’avoir les informations sous les yeux en temps réel.
Bon, d’accord, c’est aussi un peu de challenger vos potes sur votre parcours en leur envoyant le tracé et les statistiques par mail (ou SMS) à partir de l’historique de vos parcours. Mais juste un peu…

Et pour télécharger l’application, c’est par là sur iOS (4,49€ la version pro) et ici sur Androïd (4,99€ la version pro).