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Voyage aventure / Tourisme vert

Un bouquetin en route pour le Mont Blanc Sébastien Chaigneau

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Vainqueur de la Grande Traversée des Alpes en 2004, triple vainqueur du Lybian Challenge en 2007, 2008 et 2009 et double finaliste de l’Ultra-Trail du Mont Blanc (UTMB) en 2009 et 2011, l’utra-traileur du team North Face Sébastien Chaigneau passe à table pour ZeOutdoor. Avec le sourire.

Sébastien Chaigneau

Le Lybian Challenge, l’UTMB, la Diagonale des Fous, le Grand Raid du Mercantour, le Lavaredo Ultra Trail, la Trans Gran Canaria… tu enchaines les compétitions !

Non, je suis dans une phase de test en ce moment : je viens d’attaquer une période de récupération d’une dizaine de jours avant d’entrer tranquillement dans ma phase préparation en vue de l’UTMB [27 août-2 septembre 2012]. Tout le monde me voit devant, pour l’instant moi je me vois à l’entrainement, j’essaye de rester lucide. Je prends le temps de faire ce que j’ai à faire ; le plus important au niveau de l’entraînement c’est de continuer à se faire plaisir. Les gens s’imaginent souvent que je fais une préparation cinq ou six semaines avant la course alors que la préparation se déroule sur le très long terme, tout au long de l’année. L’objectif c’est de ne pas faire trop de kilomètres, afin de continuer à courir avec plaisir. J’ai déjà essayé de faire beaucoup beaucoup de kilomètres – environ 300 kilomètres par semaine avec 20.000 mètres de dénivelé positif chaque semaine – et une fois au départ, j’étais très fort mais je n’avais plus envie de courir… Donc pour éviter ça, je fais peu de très longues  sorties ; j’entretiens la vitesse, la montagne, je fais des choses un petit peu plus ludiques sans la pression du chrono, je monte au sommet du Mont Blanc ! [Rires.] La chose la plus importante avant chaque course, mais aussi la plus difficile à réaliser, est d’arriver au jour J en forme physiquement et mentalement, et de garder le plaisir intact, de garder le goût de la course !

Justement, comment gardes-tu ce plaisir intact ?

C’est très compliqué… Je m’entraîne tout seul, tous les jours, toute l’année, quelle que soit la météo. Même cet hiver, par -34°C, -35°C, je suis sorti en raquette, en ski de rando, en ski de fond ; je fais moins de kilomètres à pied mais je continue les efforts. C’est dans ces conditions extrêmes que garder la motivation s’avère très difficile. Je me retrouve très vite à me sentir très seul et à me dire « je suis à bout de forces, je m’arrête ». Je fais alors un gros travail préalable avec mon préparateur mental, c’est lui qui m’aide à me dépasser sur ce point-là.

Sébastien Chaigneau

Quand tu cours pour tes compétitions, c’est quoi comme type de challenge ?

Ça peut sembler paradoxal mais quand je prends le départ d’un ultra-trail, je suis vraiment face à moi-même ; les autres athlètes sont là, ils font la même chose et au même moment, mais je me retrouve face à moi-même et face au travail que j’ai fait en entraînement. Le résultat que j’obtiens au final, c’est le résultat que je mérite par rapport à ce que j’ai fait. Je concrétise en compétition le travail de préparation que j’ai pu faire en amont.

Je prends le départ d’un UTMB en me disant « voilà, j’ai déjà été capable de faire tel temps » et j’essaye ensuite de garder la même feuille de route, le même rythme, et je ne m’occupe plus que de moi. Ces deux dernières années sur l’UTMB, par exemple, je n’ai regardé mon chrono qu’à Courmayeur ou à Vallorcine, après 80 ou 120 kilomètres de course. J’ai pour habitude de ne courir que par rapport à moi-même, oublier le reste et rester concentré.

Mais tu vas quand même chercher un peu plus loin à chaque fois…

Bien sûr que je vais toujours chercher un petit peu plus loin, c’est le propre de tout athlète. Ensuite, je progresse, je travaille sur les faiblesses que je ressens pendant les courses. Il faut environ six ou sept mois pour que la préparation hivernale soit assimilée, ce sont donc des choses qui se mettent en place très lentement ; si on progresse trop vite, c’est souvent la tête qui lâche en premier.

C’est un sport qui se joue beaucoup au mental…

Oui la préparation physique est importante mais la préparation mentale l’est encore plus. Elle est souvent négligée d’ailleurs, parce que le mental pour beaucoup d’athlètes, ou ça leur fait peur ou c’est de l’abstrait, et à partir de là ils remettent la préparation mentale à plus tard. Les gens n’imaginent pas ce que ça apporte, être capable de se recentrer sur ce que l’on est train de faire et de se dire « je suis ici et maintenant ! ». Ne plus revenir sur ce que l’on vient de faire, ni se projeter en avant ; « ici et maintenant », c’est le gros principe qu’il faut garder en tête. Et pour les moments difficiles, il est important de se créer des images-refuges, ça peut être les enfants, les arrivées de course, ou d’autres moments forts de la vie !

C’est ce que tu travailles avec ton préparateur mental ?

Exactement, c’est lui qui m’aide à mettre en place ces images-refuges et à mettre en place des scénarios. Quelle posture adopter si je me retrouve dans telle ou telle situation à tel kilomètre de la course par exemple. On travaille ensemble sur ce qu’il faut que je pense, ce sur quoi je dois me recentrer, les techniques de concentration, mes objectifs, etc.

Sébastien Chaigneau

Comment arrives-tu à vivre de ta passion ?

Auparavant, je travaillais dans un magasin de montagne ; je me levais tous les matins à 5h, j’allais m’entrainer entre 6h et 8h, et à 9h j’étais au magasin – jusque 20h. En suivant ce rythme de préparation, j’ai terminé deuxième à l’UTMB 2009 et suis passé ensuite dans le team international de North Face. Je me suis soudainement retrouvé à visiter onze pays différents en moins de trois mois, j’ai donc dû prendre de la disponibilité par rapport à mon travail, et petit à petit je me suis rendu compte que ce n’était plus possible d’y retourner. Avec le temps, j’ai réussi à développer et à optimiser ma situation en créant une entreprise : j’ai maintenant un préparateur mental, un préparateur physique, un coach et un manager. Ma femme, elle, s’occupe de tout ce qui est image, et de nombreuses autres personnes interviennent également de manière plus ponctuelle.

C’est de cette manière-là que tu réussis aussi à diffuser ton sport ? à partager ta passion?

Exactement. Il n’y avait personne qui faisait de l’ultra-trail en professionnel ; on s’est retrouvé tout les deux avec Killian [Jornet] – lui avait tout de même un peu plus d’avance malgré son jeune âge. C’était donc intéressant parce que je me disais « on est tout seul, ça n’a jamais été fait, il faut essayer ! ». Et puis avec ma femme et sa société de production d’image, on s’est lancé là-dedans, on a essayé de mettre en place une structure, de se faire conseiller. Je n’ai pas vingt ans, j’ai donc une vision plus globale et plus long terme de mon activité et de mes investissements.

Parle-nous de tes prochains projets justement…

Ma prochaine course c’est l’UTMB à la fin août. Ensuite, mi-octobre, je pars en Afrique du Sud et je terminerai ma saison avec le North Face Endurance Challenge les 1er et 2 décembre à San Francisco. J’ai aussi commencé à plancher sur ma saison prochaine avec des courses très certainement au Japon ou aux Etats-Unis.

Et pour cette saison, comment te sens-tu?

Je ne me sens pas trop mal mais chaque course est complètement différente. Pour l’UTMB, j’aimerais être dans le même état d’esprit que l’année dernière, voire mieux même. Maintenant, il faut que tout un tas de paramètres se mettent en place au jour de la course. Le plus dur, c’est réellement de parvenir à la ligne de départ en forme et sans blessure ; c’est ça mon prochain objectif !

Raconte-nous ta plus belle sortie…

[Il réfléchit.] J’ai tellement de sorties toutes plus incroyables les unes que les autres ! J’en ai une l’hiver dernier par exemple, où je suis sorti de la maison, suis monté dans la neige, ai fait quelques centaines de mètres et suis soudain tombé nez à nez avec un écureuil. Rien d’extraordinaire jusque là. J’ai ensuite poursuivi sur 300 mètres et j’ai vu deux chevreuils passer. Même si je vois des animaux tous les jours, j’ai trouvé ça génial ! Et puis j’ai continué à monter jusqu’à un passage où il y avait des bouquetins et quelques chamois. Et encore un peu plus haut, au niveau d’un refuge, il y avait un loup ! « Qu’est ce qu’il va bien pouvoir m’arriver encore aujourd’hui ?! ». [Rires.] Même chose au Lybian Challenge 2008 : je me suis retrouvé à faire quasiment 30 heures de course tout seul dans un secteur où il y avait une grande étendue de sable sur des dizaines et des dizaines de kilomètres. J’ai aperçu une forme au loin, et en me rapprochant j’ai vu que c’était un touareg, fusil à l’épaule, qui me faisait signe. On a discuté un peu et au beau milieu du désert d’Akakus, il a allumé un feu et m’a offert du thé. C’était un de ces moments-là, inexplicables, magiques…

Et ta pire sortie ?

Paradoxalement, c’est une victoire, ma victoire au Grand Raid du Mercantour en 2009. Ce jour-la, trois coureurs sont morts à cause de l’orage. J’aurais vraiment préféré ne pas finir la course mais voilà, ça nous rappelle aussi qu’avec la montagne, on paye cash, la montagne reste la plus forte quoi qu’il arrive…

Pratiques-tu d’autres sports que le trail ?

Je grimpais beaucoup par le passé, mais maintenant je n’ai plus le temps malheureusement… Mais l’été je pars souvent en montagne avec des amis, on fait des courses d’arrêtes un petit peu plus alpines, pour le plaisir, sans chrono. Le seul chrono que j’emmène dans ces cas-là, c’est celui qui me dit quand aller chercher les enfants à l’école !

As-tu une région à nous recommander ? une région que tu affectionnes particulièrement ?

Je vous recommande le désert d’Akakus en Libye, un des plus beaux déserts du monde avec des peintures, des gravures, des poteries, des forêts d’arbres pétrifiés…

Et plus proche de nous, tout le secteur de Chamonix, des Aravis au Torrent de la Glière, c’est chez moi !

Et pour conclure, si tu pouvais avoir un super pouvoir…

Courir comme un bouquetin ! Ils arrivent à passer partout, à maîtriser… On a beaucoup de chose à apprendre des animaux.

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Brèves de Spot n°3 UTMB Via Ferrata test de housse iPhone étanche

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Il est tout chaud, il est tout beau, l’épisode 3 de notre émission Brèves de Spot. Au sommaire de ce numéro, le salon Outdoor de Friedrichshafen, notre concours photo, le test de la housse iPhone étanche e-case de Cascade Design, coup de projecteur sur notre dossier pour savoir comment débuter en Via Ferrata et enfin, des images de l’UTMB, que vous attendez tous…

Et n’oubliez pas, vous pouvez poser toutes vos questions dans le courrier des aventuriers !

Bonne vidéo !

 

 

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Bien débuter en via ferrata

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Sommaire:

La via ferrata – Intro
Histoire de la via ferrata
Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata


 

Les chaussures du randonneur, le baudrier du grimpeur et la quincaillerie de l’alpiniste ; la via ferrata est composite et à la croisée des chemins. « Voie ferrée » littérale, pavée d’échelons, d’échelles et de ponts suspendus, la via ferrata rend accessible à tous le Royaume de la Verticalité jusqu’alors réservé aux quelques initiés. Un parcours sportif installé à flanc de paroi, pour découvrir en tout sécurité les régions les plus belles et les plus aériennes de nos montagnes !

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Histoire de la via ferrata

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Sommaire : Bien débuter en via ferrata

La via ferrata – Intro
Histoire de la via ferrata
Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata


Histoire de la via ferrata

La première via ferrata a été installée en 1869 sur la crête sud-ouest du Grossglockner, 3798 mètres et point culminant des Alpes autrichiennes. C’est cependant aux alpini, les troupes de montagne italiennes, que l’on doit la multiplication des via ferrata à travers les Alpes au début du XXe siècle. Afin de faciliter le ravitaillement des avant-postes de montagne, isolés et difficilement accessibles, l’armée se mit à équiper falaises et sommets de mains-courantes et d’échelles.

Dans les Dolomites, ces « voies ferrées » furent le théâtre de violents combats au cours de la Première Guerre mondiale. Au printemps 1915, l’Italie rompt son alliance avec l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie pour rejoindre les rangs de la Triple Entente (France, Grande Bretagne et Russie), ouvrant ainsi un nouveau front le long de l’arc alpin entre la Suisse et la mer Adriatique. Comme leurs voisins allemands, britanniques et français sur le front occidental, soldats italiens et soldats autrichiens s’enterrent dans des tranchées de roche, de neige et de glace ; à 3000 mètres d’altitude. Et se servent des via ferrata pour ravitailler les avant-postes d’altitude et acheminer hommes et matériel vers les positions les plus difficiles d’accès.

Les via ferrata prouveront à nouveau leur utilité en 1940 lors de la Bataille des Alpes opposant les troupes françaises aux troupes italiennes pour le contrôle des crêtes et des sommets du massif. Elles servirent enfin de voie de ravitaillement aux maquis de la Résistance, puis durant la libération des régions alpines en 1944-1945.

Libérées de leurs obligations militaires, les via ferrata connaissent aujourd’hui un usage exclusivement sportif et, entre deux échelons, contemplatif !

 

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Le matériel pour débuter en via ferrata

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Sommaire : Bien débuter en via ferrata

La via ferrata – Intro
Histoire de la via ferrata
Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata

 

Le matériel pour débuter la via ferrata

Le baudrier :

Du même type que celui utilisé en escalade ou en alpinisme, le baudrier du ferratiste est une sorte de  harnais en forme de slip kangourou, doté de deux boucles (ou pontets) sur le devant : c’est là que sont accrochées les deux longes. Pour un enfant, il sera recommandé de choisir un harnais intégral (ou ouistiti) offrant un meilleur maintien.

40€ pour un baudrier adulte

30€ pour un harnais enfant

La longe :

L’accessoire indispensable du ferratiste ! Constituée de deux sangles en « Y » accrochées au baudrier via un absorbeur de choc, la longe permet à chaque ferratiste de s’auto-assurer sur le câble métallique qui coure le long de la via ferrata. Chaque sangle de la longe est munie en son extrémité d’un mousqueton à vis automatique (un mousqueton à vis traditionnel équipé d’un ressort qui l’empêche de s’ouvrir inopinément).

40€ pour un kit longe complet (sangles  en « Y » + 2 mousquetons automatiques + absorbeur de choc)

Rappel sur l’utilisation des longes :

Un câble d’acier coure le long de la via ferrata, c’est sur ce câble que se clippent les mousquetons de la longe (voir image ci-dessus). Le câble étant régulièrement ancré dans la paroi par des pitons, il est nécessaire de savoir comment franchir ces pitons avant de poursuivre. Ayez en permanence les deux mousquetons accrochés sur le câble, mais lors du passage d’un piton, et seulement à ce moment-là, décrochez le premier mousqueton et clippez-le au-dessus du piton (voir schéma ci-dessous). Répétez ensuite la manœuvre avec le second mousqueton. Et ainsi de suite pour tous les pitons. Il est impératif, lorsque vous passez un piton, d’avoir toujours au moins un mousqueton accroché sur le câble !

La poulie :

Utilisée pour le passage d’une tyrolienne. Le type de poulie à employer dépend de la pente du câble : optez toujours pour une poulie à deux roues, un modèle TANDEM CABLE (poulie jaune) pour les descentes les plus pentues ou un modèle TANDEM SPEED (poulie grise) pour les tyroliennes moins raides. Dans tous les cas, il est recommandé de contrôler la vitesse de descente (freiner en serrant le câble avec ses mains gantées par exemple, et gardez en permanence vos pieds vers l’avant).

La poulie se fixe au pontet du baudrier via une courte sangle cousue nouée en tête d’alouette et d’un mousqueton à vis (voir schéma ci-dessous). Attention de ne pas défaire vos longes tant que vous n’êtes pas bien accroché sous le câble de la tyrolienne. Même chose à l’arrivée : clippez vos deux longes sur le rocher avant de défaire la poulie.

46€ pour une poulie Petzl TANDEM CABLE

53€ pour une poulie Petzl TANDEM SPEED

2,50€ pour un anneau de sangle cousu 21 centimètres

4€ pour un mousqueton à vis

La vache :

Attachée au baudrier et munie en son autre extrémité d’un mousqueton à vis, la vache est un anneau de sangle cousu qui permet au ferrastiste de s’attacher (de se vacher) à un échelon le temps de se reposer ou d’apprécier le paysage à ses pieds. Attention cependant, une vache ne peut pas remplacer une longe de via ferrata !

4€ pour un anneau de sangle cousu 80 centimètres

4€ pour un mousqueton à vis

Le casque :

Même casque que celui qui équipe grimpeurs et alpinistes, le casque protégera votre chef d’éventuelles chutes de pierres.

25€ pour un casque type escalade

Les chaussures :

Il n’existe pas de chaussures spécialement conçues pour la via ferrata : portez des chaussures de sport type baskets, randonnée légère ou trail. Quelques courts passages de via ferrata sans échelons peuvent se faire en adhérence sur le rocher ; une semelle caoutchouc vous permettra alors une bonne tenue sur la paroi. La plupart des via ferrata comportent également quelques passages de marche sur sentier, que ce soit entre deux sections de câble ou pour redescendre à la fin ; portez donc votre paire de chaussures de sport la plus polyvalente et la plus tout-terrain possible.

Les gants :

Une paire de gants ou de mitaines type voile ou VTT peut être utile pour les via ferrata les plus longues, les échelons ayant tendance à être un brin désagréables à la longue… Si les gants protègent toute la main, les mitaines offrent l’avantage de laisser une bonne sensibilité aux doigts pour manœuvrer les mousquetons.

22€ pour une paire de gants

30€ pour une paire de mitaines

Sommaire :

Un peu d’histoire

La panoplie du parfait ferratiste : le matériel pour se lancer dans une via ferrata

La panoplie du parfait ferratiste : pour récapituler

Les cotations en via ferrata

Les via ferrata incontournables

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L’équipement en via ferrata synthèse

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Sommaire : Bien débuter en via ferrata

La via ferrata – Intro
Histoire de la via ferrata
Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata


L’équipement en via ferrata : synthèse.

Bien que certains site de via ferrata proposent en location tout le matériel indispensable, voici néanmoins une liste indicative du matériel nécessaire à la pratique de la via ferrata :

- une paire de chaussures de sport

- un baudrier

- une paire de longes munie d’un absorbeur de choc et leurs mousquetons à vis automatique

- un vache et son mousqueton à vis

- un casque

- une paire de gants ou mitaines

=> Soit un investissement minimum de 143€ (+ chaussures)

 

 

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Les cotations en via ferrata

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Sommaire : Bien débuter en via ferrata

La via ferrata – Intro
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Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata


Les cotations en via ferrata

Tout comme les voies en escalade, chaque via ferrata se voit attribuée une cotation, un degré de difficulté.

Les cotations en France :

F : Facile

PD : Peu Difficile

AD : Assez Difficile

D : Difficile

TD : Très Difficile

ED : Extrêmement Difficile

Les autres systèmes de cotation :

Les via ferrata en Italie, en Allemagne ou encore en  Espagne connaissent un système de cotation différent.

A : Facile

B : Facile +

C : Moyenne

D : Difficile

E : Très difficile

 

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Les plus belles via ferrata

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Sommaire : Bien débuter en via ferrata

 

La via ferrata – Intro
Histoire de la via ferrata
Le matériel pour débuter la via ferrata
L’équipement  en via ferrata : Synthèse
Les cotations en via ferrata
Les plus belles via ferrata

 

Les plus belles via ferrata

Si les via ferrata sont historiquement nées dans les Dolomites italiennes, elles ont vite proliféré à travers tout l’arc alpin et même plus loin. On les retrouve aujourd’hui dans presque toutes les régions montagneuses – et touristiques – du monde ; de la Suisse à Madagascar, en passant par le Maroc et les Etats-Unis. En voici néanmoins quelques unes, européennes et incontournables :

Seul parcours urbain en France et terrain de jeu de nombreux grenoblois, la via ferrata des Prises de la Bastille s’élève sur les falaises de la Chartreuse au-dessus de Grenoble et de la vallée de l’Isère et du Drac. La sortie s’effectue dans l’encadrement d’une des larges fenêtres voûtées de la Bastille – un must !

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata des Prises de la Bastille

Au cœur de la haute vallée de l’Ardèche, en amont d’Aubenas, le Pont du Diable de Thueyts veille sur l’une des plus belles via ferrata de la région : en balcon au-dessus des flots tumultueux de l’Ardèche, elle commence en rive gauche et se poursuit en rive droite après une longue tyrolienne !

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : Pont du Diable de Thueyts

A trois pas de Millau et de son viaduc, rivée dans le blanc calcaire du Causse Noir et surplombant les vertigineuses gorges de la Dourbie, la via ferrata du Boffi offre un itinéraire aérien dans un cadre admirable ! Petit plus : le site est régulièrement survolé par aigles et vautours.

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata du Boffi

Se fondant à merveille dans le cadre sauvage, minéral et panoramique du Causse de Sauveterre, la via ferrata de Liaucous en Aveyron chemine en balcon au-dessus des gorges du Tarn et de la Jonte. A ne pas manquer : un pont népalais spectaculaire et un passage en tirelire dans une faille du rocher !

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata de Liaucous

Au cœur du massif des Diablerets, dans le canton suisse de Vaud, la via ferrata de la Tête au Chamois progresse à flanc de paroi le long de vires tantôt larges et réconfortantes, tantôt étroites et vertigineuses. Longue, exigeante et aérienne, le frisson de la haute-montagne condensé dans une via ferrata !

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata de la Tête au Chamois

La via ferrata d’Aletsch, dans le Valais suisse, serpente au-dessus du lac de retenue Gibidium situé juste en aval du glacier d’Altesch. Relativement aisée, la balade commence sur la rive ouest pour se poursuivre ensuite sur la rive est après avoir franchi un long pont suspendu duquel est visible le plus grand glacier d’Europe !

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata d’Aletsch

Risquez un pied sur le mythique Nordwand, la face nord de l’Eiger ! Encadrée par les  géants de l’Oberland bernois, la via ferrata Eiger-Rotstock – difficulté moyenne – parcoure la face ouest de l’Eiger pour atteindre le sommet du Rotstock (alt. 2663m) : nid d’aigle et belvédère imprenable sur la région.

Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata Eiger-Rotstock

Premier itinéraire ferré en Espagne, la via ferrata Teresina joue la carte de l’équipement minimaliste et privilégie à dessein le contact avec le rocher catalan. Une bonne paire de chaussure, un peu de délicatesse et ça passe ! La cheminée finale débouche sur le point culminant du massif du Montserrat : panorama grandiose à la clé.

 Pour les infos pratiques, c’est sur le topo Zeoutdoor : via ferrata Teresina

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Bhoutan // La solidarité sorganise après lincendie de Wangdu Phodrang

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Floating imageConsternation au Bhoutan, le 24 juin dernier, suite au gigantesque incendie qui a totalement détruit le dzong de Wangdu Phodrang, l’un des monastères les plus visités du Bhoutan, datant du XVIIe...
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Formalités // Le Tibet réouvert sous conditions

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Floating imageLa Chine, qui avait suspendu tous les permis touristiques pour le Tibet, suite notamment à la vague d’immolations par le feu sur le Toit du Monde depuis février 2009 (44 à ce jour, voir Trekmag...
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Le top 5 des activités outdoor dans le Verdon

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Né des forces conjointes de la Terre et de l’Eau au cours de l’ère Tertiaire, installé à cheval entre terre et mer entre les Alpes de Haute-Provence et le Var, le Parc naturel régional du Verdon joue la carte de la polyvalence amphibie ! Jonglant avec les éléments pour notre plus grand bonheur, le Verdon additionne et mélange les paysages : océan de lavande planté sur lit de galets sur le plateau de Valensole, collines boisées et symphonies pastorales dans la vallée de l’Artuby, contreforts alpins à quasi-2000 mètres sur les hauteurs de Digne, canyons tortueux et torrents furieux aux cœur des gorges. Un décor composite et une Nature sans entraves qui offrent 1001 raisons de passer des vacances sportives !

1 – Eau vive

Cinq lacs, quelques 200 kilomètres de rivière et des Gorges qui ont fait le tour du monde via carte postale : le Verdon a de quoi régaler les amateurs d’eau vive. Descente en kayak à travers le tumultueux Grand Canyon du Verdon – les gorges à proprement dit, canoë au fil de l’eau dans gorges de Baudinard, hydrospeed le long du Moyen Verdon, raft à partir de Castellane, canyoning dans le sauvage Riou de Moustiers ou encore pédalo sur le très bleu lac de Sainte-Croix ; chacun trouvera cour d’eau à son pied !

Pour les infos pratiques, c’est sur le guide : Aventures en lacs et rivières : Ô, vive le Verdon !

2 – Escalde

Hydrophobe ? Qu’à cela ne tienne, le calcaire des falaises du Verdon vit à la hauteur de sa proverbiale réputation : rochers d’escalade de grande qualité et panoramas imprenables. Les gorges elles-mêmes, sur les sites d’Aiguines et de La Palud, ne comptent pas moins de 1500 voies de 20 à 300 mètres. Les Dalles (5c, 250m), Bwana Maline (5c, 100m) ou Valse pour Manon (6b, 220m) en sont des haltes incontournables. Point particulier du Verdon : les voies commencent par une descente en rappel depuis le haut de la falaise – juste le temps d’apprécier l’écrin de nature à sa juste valeur.

3 – Randonnée

Plus terre à terre ? Près de 400 kilomètres de sentiers balisés – accessibles à pied, à cheval ou à mule – zèbrent le Parc. Parmi les plus beaux dénivelés, ceux du GR 49 à travers le Var depuis la grande plage de Saint-Raphaël jusqu’au cœur des gorges. Le final au Point Sublime vaut toute les jambes courbaturées du monde : le point de vue sur le Verdon et son Grand Canyon y est renversant. Autre classique du Verdon, le sentier Blanc-Martel, du nom des explorateurs qui reconnurent la région en 1905. Le sentier emprunte sur 15 kilomètres les balises du GR 4 entre le Point Sublime et les chalets de la Maline à proximité de La Palud-sur-Verdon. Tantôt aérien, tantôt sous-terrain, le chemin serpente le long des gorges pour une randonnée entre eau bouillonnante et montagne vertigineuse.

4 – VTT

Le Verdon n’est guère du genre à laisser en reste les VTTistes ; si le parc offre une infinité de kilomètres de sentiers aux randonneurs, il en offre tout autant aux deux-roues ! Au nombre des itinéraires VTT mythiques, la Transverdon qui coure par monts et par vaux des sources du Verdon au col d’Allos jusqu’à Gréoux-les-Bains sur 260 kilomètres de chemins blancs bordés de résineux. Autres alternatives cyclistes avec les Chemins du Soleil et les Routes de la Lavande : variantes VTT de la Grande Traversée des Alpes, elles inscrivent à travers la Provence quelques uns de leurs plus beaux kilomètres. La première chemine entre Grenoble et Nice en honorant de son passage le Moyen Verdon de Saint-André-les-Alpes à Castellane. La seconde, pour sa part, redécouvre la Provence via son emblématique fleure odorante et traverse le plateau de Valensole au départ de Manosque avant de piquer vers le lac de Castillon, Castellane et Grasse.

5 – Parapente

Lassé de la poussière des sentiers  et des turpitudes de la rivière ? Quittez alors les contingences terrestres pour vous envoler vers l’azur provençal sous la voile bariolée d’un parapente et appréciez depuis le ciel l’insolente beauté naturelle du Parc du Verdon. Deux sites de décollage sont tout indiqués : le plateau du Mont Denier sur les hauteurs de Moustiers-Sainte-Marie et le col d’Iloire aux environs d’Aiguines. L’atterrissage se fait dans un grand champ dans la vallée en contrebas du plateau pour le premier site et sur les rives du lac de Sainte-Croix pour le second. Voler au-dessus de la mosaïque de couleur des gorges du Verdon ? Magique. Et diablement fantastique. Demandez aux oiseaux, ils vous diront la même chose !

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Agences // Terres d’Aventure et Allibert fusionnent

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Floating imageVoyageurs du Monde et Allibert Trekking s’allient pour créer un acteur majeur du voyage d’aventure à l’échelon mondial. C’est par le biais d’un simple communiqué de presse que Voyageurs...
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Inde // 300 touristes secourus au Ladakh

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Floating imageSuite à un éboulement ayant bloqué la route qui mène au lac Pangong, au Ladakh (Inde), le 4 août dernier, l’armée indienne est intervenue pour secourir quelque 400 personnes, dont 300...
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Grimpeur élevé en falaise nourri au 9a Enzo Oddo

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17 ans, biberonné à la magnésie, entré au Team Petzl à 13 ans et déjà une vitrine de voies en 9a+ à son actif : Biographie dans les Hautes-Alpes, Aubade dans les Bouches-du-Rhône, La Rambla en Catalogne… Voici Enzo Oddo, le gamin terrible de l’escalade française. Pour ZeOutdoor, il se prête en riant au jeu des questions-réponses ; tantôt évasif et timide, tantôt modeste et détaché, mais en toutes circonstances déterminé !

Comment es-tu arrivé à l’escalade ?

Je viens d’une famille de montagnards et de grimeurs, mes arrière-grands-parents, mes grands-parents et mes parents faisaient beaucoup d’escalade. Etant petit, j’ai beaucoup trainé en falaise autour de Nice avec eux et je m’y suis mis progressivement à l’âge de huit ans, par des petites voies au début puis ensuite sur des voies de plus en plus haut délicates.

Tu as arrêté les cours, c’est bien ça ?

Oui, après le collège et la troisième, j’ai laissé de côté les études pour me consacrer à l’escalade ; je reprendrai peut être un jour mais rien n’est sûr pour le moment. Les études… ne me correspondaient pas vraiment et lorsque j’ai évoqué avec mes parents l’idée de m’investir à fond dans l’escalade, ils m’ont soutenu dans mon projet. Grimpeurs eux-mêmes, ils n’ont pas eu de mal à comprendre ma décision.

Comment s’est passée ton entrée dans le team Petzl ?

Ca fait maintenant quatre ans que je fais partie du team ; j’avais des copains dans le team qui m’en ont parlé et m’ont donné envie : on s’est contacté par mail, ça a pris un moment mais ça s’est fait !

Tu es le benjamin des grimpeurs Petzl, qu’est-ce que ça a changé pour toi le fait d’appartenir au team ?

Je faisais déjà pas mal de voyage avant de rejoindre le team, j’avais déjà des sponsors ; ça n’a pas changé grand-chose – un peu plus de travail, de sérieux et de professionnalisme, c’est tout ! [Rires] De plus, il y a vraiment une super ambiance au sein de l’équipe, c’est des gens que je côtoie en dehors des évènements organisés, on est un bon groupe !

C’est quoi au juste qui t’attire dans l’escalade ?

C’est vraiment en falaise que je m’éclate, faire les voies les plus dures possibles, faire des trips à l’étranger et découvrir de nouvelles falaises. Ensuite, j’aime aussi refaire des voies que je n’ai pas réussies, progresser en travaillant sur mes points faibles et mes lacunes. Malgré quelques coups de mou de temps en temps, tu finis toujours par retrouver ta grimpe. Toutes les choses que j’aime au final, je pourrais m’en lasser si je ne faisais que ça, alors je varie et c’est ça qui me permet de rester motivé !

Qu’est-ce qui passe par ta tête lorsque tu termines une voie difficile, comme le 9a+ à Céüse [Hautes-Alpes] ou celui à Siurana [Catalogne] ?

Tout d’abord, une grande satisfaction et une grande liberté : c’est fait ! L’investissement, les heures de travail et les contraintes ont valu le coup, tu peux enfin passer à autre chose. Mais ce n’est pas le genre de sensation que tu peux avoir tous les trois jours…

Et la compétition ?

J’ai fais un peu de compétition quand j’étais petit, mais ça fait un bout de temps que je n’en ai pas fait. C’est pas impossible que j’en refasse un jour, on verra par la suite. Demain par exemple, je suis inscrit au contest de bloc – pour m’amuser !

Est-ce que tu pratiques d’autres activités que l’escalade ?

Par vraiment, non, surtout de l’escalade ! Je fais un peu de snowboard l’hiver de temps en temps, un peu de vélo, mais ça reste hyper irrégulier.

Ton site de grimpe préféré ?

J’aime tellement de spots, c’est dur à dire ! Mais si je devais en citer un, ce serait Margalef en Espagne [Catalogne]. C’est dans une sorte de désert, des boules de calcaire avec des bi-doigts ; assez tranchant mais tout de même assez agréable. Vraiment un bel endroit où grimper, parfait pour l’hiver.

Il va se dérouler où ton prochain voyage grimpe ?

Je vais aller en Espagne, en Andalousie, avec le Groupe Excellence du CAF, peut être en août ou en septembre.

Racontes-nous ta plus belle sortie en falaise.

Je sais pas trop, je saurais pas dire… Ce n’est pas forcément les plus grosse performances de l’année qui font les plus belles sorties ; tu vas prendre énormément de plaisir – voire même plus – dans les sorties où t’étais bien, où t’as pu sortir quelques voies.

Ta pire sortie alors ?

J’en ai eu plein des sorties de ce genre ! – plus que de belles sorties d’ailleurs. Des journées où tu te demandes pourquoi t’es venu, qu’est-ce que tu fais là… Il y a toujours ces jours de merde où t’y arrives pas, tu en chies, tu te fais mal. Mais les belles sorties compensent largement, je ne me plains pas !

Et si tu avais la possibilité d’avoir un superpouvoir…

Un SUPERPOUVOIR ?? Alors là… être vraiment solide, ne jamais rien se casser ; être incassable pour pouvoir grimper sans corde - ça serait marrant, ça ferait des vidéos sympas !

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Londres lincontournable

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Deux jours ne suffisent pas pour visiter Londres. Alors que faire en priorité ? Découvrir les lieux incontournables, faire du shopping, il y a du choix pour tous les goûts à Londres.
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Nicolas Peschier le céiste palois à la joie de vivre

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En se baladant dans les allées des Natural Games, nous avons fait de belles rencontres, notamment celle du céiste français Nicolas Peschier. Nous l’avons aperçue par hasard sur le stand Merrell, « un petit moment à nous accorder? » « Pas de problème » nous répond-il avec un grand sourire. On se place un peu à l’écart, au bord du Tarn et Nicolas joue le jeu devant la caméra Zeoutdoor le temps d’un retour sur sa carrière, sur sa passion…

 

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Lunettes Julbo EXPLORER protection high-tech et allure en haute-montagne

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En collaboration avec l’Ecole Nationale de Ski et d’Alpinisme de Chamonix, Julbo réactualise un design rétro-années-1950 et livre, avec le modèle EXPLORER, une paire de lunettes de glacier moderne et résolument high-tech.

Caractéristiques techniques des lunettes :

Disponibles équipées des verres Alti Arc (cat. 4), Spectron 4 (cat. 4) ou Cameleon (cat. 2 à 4)

Front Venting : monture aérodynamique avec flux d’aération antibuée intégré

Branches Grip Tech : matériau soft qui n’adhère pas aux cheveux

Branches réglables à 360°

Coques de protection latérales amovibles

Cordon de maintien serre-tête réglable

Coloris : noir soft (Alti Arc) ; blanc, noir soft, titane/noir, noir/orange, noir/noir (Spectron 4) ; blanc, noir soft (Cameleon)

Tailles : M ou XL

Poids : 46g en M, 48g en XL

Lieu de fabrication : France

Prix indicatif : 90€

 

Trois types de verres :

- Alti Arc : traité antireflets, flash (effet miroir sur le verre renforçant la filtration des rayons) et actif brunissant (coloris brun accentuant les reliefs), léger et ultra-résistant aux chocs et aux rayures ; “une référence incontournable pour la lunette de glacier”

- Spectron 4 : traité antireflets et flash (effet miroir sur le verre renforçant la filtration des rayons), léger et ultra-résistant aux chocs et aux rayures ; un verre “polyvalent [qui] convient bien à tous les sports”.

- Cameleon : verre polarisant traité antibuée et doté d’un coloris brun accentuant le relief, le verre Cameleon présente la particularité d’être un verre photochromique : il fonce ou s’éclaircit en fonction selon la luminosité ambiante (passant ainsi d’une catégorie 2 à 4) ; un verre “développé pour la gamme Outdoor” et “fait pour la montagne et le désert” 

 

Ce que nous en avons pensé :

ZeOutdoor a eu l’occasion d’essayer les lunettes de soleil de glacier Julbo EXPLORER – montées des verres Spectron 4 – durant les trois jours d’un weekend dans le Valais suisse en juillet 2012. Sous soleil ou nuages bas, sur glace ou sur roc, encordé sur le glacier d’Altesch ou en route vers le sommet de l’Eggishorn à quasi-3000 mètres d’altitude, les occasions de tester l’efficacité des lunettes n’ont pas manqué.

Sur glace comme sur rocher, sous un soleil aveuglant comme sous un bas plafond nuageux, la qualité de vision qu’offrent les verres Spectron 4 est réellement appréciable. Leur traitement brunissant permet non seulement de souligner le relief du glacier (ou de la neige), mais également d’accentuer la luminosité ambiante : le soleil brille désormais en permanence !

Ultra-couvrantes et protégeantes, les lunettes sont aussi légères sur le nez et confortables à porter. Les ouvertures d’aération, tout en empêchant les rayons de passer, permettent d’éviter l’apparition de buée sur les verres lors des efforts importants. Enfin, grâce aux branches flexibles sur 360° associées au cordon serre-tête réglable, il est possible d’ajuster la paire de lunettes à toutes les morphologies et de conserver le maintien en place des lunettes tout au long de l’ascension. Parce qu’elle est confortable et qu’elle tient parfaitement en place, l’EXPLORER est une paire de lunettes que l’on garde sur le nez !

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Publiez vos topos outdoor et gagnez des cadeaux

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Hello les zaventuriers !

Que vous soyez au fin fond des Alpes, de l’Himalaya ou tout simplement en famille en Auvergne, ce concours est fait pour vous ! Vous pratiquez votre activité outdoor préférée, et vous avez une chance de gagner, simple non ?

affiche concours

Pour chaque activité, un lot à gagner

Comme vous le savez, ZeOutdoor est votre portail de tous les sports outdoor, c’est pour cela que nous avons choisis de décliner le concours dans nos activités phare, à savoir :

L’escalade, le trek, le VTT et la rando !

A chaque catégorie correspond son lot:

  • VTT : GPS GARMIN Dakota 20
  • Escalade/via ferrata : Sac à corde MILLET Cliff Org 32
  • Rando : Veste EIDER Target Aero
  • Trek : Chaussure MILLET Bouthan Gtx

Créez des topos et accumulez les « J’aime » sur Facebook

Alors, tentés ? Voici donc le déroulement du concours.

  1. L’équipe Zeoutdoor va sélectionner les  3 « meilleurs » topos du site dans chaque catégorie, les critères étant la qualité des photos et des descriptifs. La première phase du concours s’arrête le 3 septembre.
  2. Une fois cette sélection achevée, les créateurs des topos sélectionnés par l’équipe devront s’affronter dans un concours de « j’aime » sur Facebook. Exemple: Les 3 sélectionnés de la catégorie Escalade devront mettre en avant leur topo afin de remporter un maximum de « j’aime » Facebook. Il en va de même pour les 4 catégories. La seconde phase du concours s’arrête le 1er octobre.

Donc si vous voulez avoir la chance de remporter l’un des lots à gagner, à vos claviers, et à vos objectifs ! Et que le meilleur gagne. =)

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Découvrez le concours photo ZeOutdoor

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Partager vos photos outdoor sur Facebook et gagnez des cadeaux !

Concours photo zeoutdoor

Comment ?

Ici, sur notre page: www.facebook.com/zeoutdoor

Partagez simplement vos photos sur la page Facebook de ZeOutdoor. Les photos qui auront le plus de ‘J’aime’ remporteront le concours.

Quel type de photos ?

Ce ne sont pas forcement les plus belles photos que la communauté élira mais peut-être la plus drôle, la plus fun, la plus floue, celle qui donne le plus envie de repartir….Alors OSEZ !

Il y aura 4 gagnants: comme vous le savez, ZeOutdoor est votre portail de tous les sports outdoor, c’est pour cela que nous avons choisi de décliner le concours dans nos activités phare, à savoir : L’escalade/via ferrata, le trek, le VTT et la rando !

Que gagne t’on?

A chaque catégorie correspond son lot:

  • VTT : GPS GARMIN Dakota 20
  • Escalade/via ferrata : Sac à corde MILLET Cliff Org 32
  • Rando : Veste EIDER Target Aero
  • Trek : Chaussure MILLET Bouthan Gtx

 Rendez-vous sur notre page Facebook pour jouer !

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Eté comme hiver les Grandes Traversées de France

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GT. Non, pas comme dans Gran Turismo. Ni Georges Tron. Non, GT, comme Grande Traversée. A pied, en VTT ou à cheval, en ski de fond, en raquettes ou en chiens de traineaux, près de 3500 kilomètres de sentiers balisés – et autant de variantes – sillonnent la France et traversent ses régions.

Les Grandes Traversées de France

De la petite bourgade de Mandeure dans le Doubs jusqu’à Culoz dans l’Ain, la Grande Traversée du Jura (GTJ) chemine le long du massif du Jura, tantôt sur la tête des crêtes, tantôt en fond de vallée. Via le Saut du Doubs, Morteau, le lac de Saint-Point et la Forêt de Combe Noire, l’itinéraire progresse main dans la main avec la frontière suisse et entrelace le cours du Rhône à plusieurs reprises avant de s’arrêter à quelques kilomètres seulement du lac du Bourget.

Par monts et par vaux, de la Chaîne des Puys aux platanes de la Méditerranée en passant par les monts pelés du Cantal, les Gorges du Tarn et le Mont Aigoual, tournez le dos à Clermont-Ferrand, flânez le long de la Grande Traversée du Massif Central (GTMC) et allez passez le week-end à Sète !

Il prolonge le granit du Massif Central vers le nord-est à travers le calcaire bourguignon, attire par sa constellation de lacs et ses forêts : entre Avallon (Yonne) et Autun (Saône-et-Loire), la Grande Traversée du Morvan (GTM) parcoure le massif de collines arrondies en vallées sauvages et encaissées.

Les Grandes Traversées de France

A partir de Grenoble, la Grande Traversée du Vercors (GTV) chemine de causses en canyons et de bergeries en crêtes à chamois le long du massif et de ses Hauts Plateaux rocailleux. Un must : l’ascension du Grand Veymont (alt. 2341m), le point culminant du massif, et les bivouacs dans les cabanes de bergers.

A tout seigneur, tout honneur. Elle emprunte le tracé du mythique GR 5 pour relier Thonon-les-Bains à Nice à travers les Alpes françaises en gratifiant de sa présence la Vanoise, le Queyras puis le Mercantour :la Grande Traversée des Alpes (GTA) ! Si l’itinéraire traditionnel ne vous émerveille déjà plus, allez donc jeter un œil aux variantes de la GTA : la Route des Grandes Alpes qui traverse le massif par la route via les grands cols historiques, les Chemins du Soleil qui rallient Nice en VTT depuis Grenoble, ou encore la traversée intégrale de l’arc alpin entre Trieste et Monaco le long de la Via Alpina.

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Omni-Dry la dernière hardshell de Columbia

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Au printemps 2011, Columbia dévoilait sa technologie Omni-Dry – présentée comme “le nec plus ultra de la technologie imperméable” – qui équipe aujourd’hui la veste de montagne THE COMPOUNDER SHELL. Une alternative à l’Active Shell de Gore-Tex ?

Hardshell Columbia

La technologie hardshell

On appelle hardshell (littéralement « coquille dure »), ou membrane imper-respirante, la membrane qui équipe les vestes de sports outdoor et leur confère ainsi légèreté, imperméabilité et respirabilité. Si Gore-Tex – et ses technologies successives dont la dernière en date, l’Active Shell – faisait figure de líder máximo en la matière, la course à la membrane ultime à vu entrer en piste de sérieux concurrents depuis 2010-2011 : Eider et sa Defender, Patagonia et sa H2No ou encore Polartec avec sa NeoShell. Au volant de son Omni-Dry, c’est précisément sur ce créneau que vient se placer Columbia.

La veste de montagne THE COMPOUNDER SHELL associe deux technologies issues des labos Columbia :

- la membrane Omni-Dry assure l’imperméabilité et la respirabilité de la veste

- la doublure intérieure Omni-Wick EVAP, au moyen d’une structure en simili-relief, aide à répartir l’humidité sur une plus large surface, accélérant ainsi l’évaporation de la transpiration

Caractéristiques de la veste

Matières : Toile 2,5 L 100 % polyester

Descriptif : veste avec ouverture frontale zippée, deux poches latérales zippées + une poche poitrine zippée, deux zips de ventilation latéraux sur toute la longueur de la veste avec double ouverture, capuche fixe ajustable, coutures thermos-soudées et zips étanches

Imperméabilité : Bonne

Respirabilité : Bonne

Coloris : Chartreuse (jaune-gris-rouge) ou Aristocrate (violet-bleu-rouge)

Tailles : du S au XXL

Poids : 497g en M

Lieu de fabrication : Chine

Prix indicatif : 249,95€

Ce que nous en avons pensé

ZeOutdoor a eu l’occasion d’essayer la veste Columbia THE COMPOUNDER SHELL durant les trois jours d’un weekend dans le Valais suisse en juillet 2012. Sous soleil, nuages bas ou averses estivales, les occasions de tester l’efficacité de la veste n’ont pas manqué : progression encordée sur le glacier d’Aletsch, randonnée vers le sommet de l’Eggishorn à quasi-3000 mètres d’altitude et balade dans les alpages.

hardshell Columbia

Avoisinant les 500 grammes à la pesée, soit près de 110 grammes de plus que sa consœur TRILOGY de Millet, la veste de Columbia s’avère ne pas être si légère que ça. Mais nous ne nous attarderons pas sur ce point-ci dans le cas d’une sortie à la journée.

Si la COMPOUNDER remplit à merveille sa fonction de protection face aux agressions extérieures et demeure imperméable, elle a en revanche tendance à être moins respirante que ne le laisse supposer sa notice. Pendant un vif effort, la transpiration donne par ailleurs à la doublure intérieure ce toucher « k-way » très peu confortable lorsque la veste est portée sur un t-shirt à manches courtes. L’épaisseur de cette doublure intérieure et la texture caoutchouteuse de sa technologie Omni-Wick EVAP ne font qu’ajouter au déconfort.

Sur un point positif, il convient de noter les deux longs zips d’aération qui courent de chaque côté de la veste. La double ouverture (haut-bas et bas-haut) et les zips étanches rendent l’utilisation ce ces aérations on ne peut plus pratique. Bretelle de sac à dos ou non, sangle ventrale ou non, baudrier ou non, les zips d’aérations restent facilement accessibles et manœuvrables !

Dommage que la capuche, pourtant annoncée comme “compatible avec un casque”, ne soit pas aussi large et pratique d’utilisation que les zips de ventilation. Une (grosse) tête nue se faufilant avec peine sous la capuche, un casque aurait été très à l’étroit. Enfin, des renforts de protection auraient été appréciés sur les zones les plus sensibles de la veste (épaules, coudes).

Si la veste COMPOUNDER de Columbia, en raison de son poids et du manque de résistance à l’abrasion de ses matériaux, ne peut se qualifier en tant que veste d’alpinisme ou de haute-montagne, son excellent rapport qualité/poids offre en revanche un très bon compromis pour la pratique de la randonnée ou de tout autre loisir de plein air soumis aux aléas du climat. Veste hardshell la moins chère du marché, elle sera parfaitement adaptée à une randonnée glaciaire, un weekend de ski nordique ou encore un circuit en VTT.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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