"En guise de prologue à la Nuit du Commerce, du Tourisme et de l'Industrie, des entreprises touristiques particulièrement éco-responsables ont été distinguées, ce samedi soir.

Récompenser les professionnels du tourisme les plus performants en matière de management environnemental, qu'ils soient Français ou Catalans, c'est l'ambition des Trophées des bonnes pratiques environnementales, remis hier, en marge de la Nuit du commerce, en présence d'une délégation venue de la région du Berguedà, en Catalogne (voir le palmarès ci-contre). Ces Trophées s'inscrivent dans le cadre du projet de coopération territoriale engagé depuis plusieurs années maintenant avec la région du Berguedà, financé grâce à des fonds européens, et qui compte plusieurs réalisations concrètes, fruits de très nombreux échanges avec nos voisins catalans. C'est le cas, notamment, des «routes touristiques Ariège-Pyrénées-Berguedà», approuvé dans le cadre du programme Poctefa 2007/2013 (Programme opérationnel de coopération territoriale France-Espagne-Andorre) au printemps 2009".


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"Le voyagiste perdra encore une vingtaine de millions d'euros en 2012. Ses deux principaux actionnaires, Georges Colson et Marie-Christine Chaubet, souhaitent sa recapitalisation, mais la seconde pose des conditions.

Vieux serpent de mer, l'ouverture du capital de FRAM, voire l'éventuel changement de contrôle de l'entreprise familiale, refait surface. Mais de manière très explicite, au moment où le voyagiste connaît de graves difficultés.

Le principe d'une recapitalisation du groupe, qui perdra une vingtaine de millions d'euros en 2012, après des déficits de 23,5 millions en 2011 et de 13,8 millions en 2010, et dont le retour aux bénéfices n'est pas attendu avant 2015 par sa direction, apparaît en effet partagé par ses deux principaux actionnaires : Marie-Christine Chaubet, fille du cofondateur de FRAM Philippe Polderman et ex-dirigeante du groupe ; Georges Colson, demi-frère de Marie-Christine Chaubet et figure emblématique de FRAM, dont il vient d'abandonner la présidence du conseil de surveillance pour reprendre la présidence du directoire, en raison du départ d'Olivier de Nicola (« Les Echos » du 11 octobre). En froid depuis le milieu des années 2000 -Georges Colson avait fait écarter Marie-Christine Chaubet de la présidence du directoire fin 2006 -, l'une et l'autre contrôlent chacun 40 % du capital.

Si Marie-Christine Chaubet plaide déjà pour une recapitalisation d'un montant compris entre 15 millions et 30 millions (« Les Echos » du 16 octobre), Georges Colson s'est aussi montré en sa faveur vendredi dernier. « Il n'est pas dit que je ne proposerais pas une ouverture du capital à quelqu'un de l'extérieur pour nous donner les moyens de nous redéployer », a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse, sa première prise de parole depuis le départ d'Olivier de Nicola. Georges Colson n'a de surcroît pas écarté l'hypothèse d'une perte de la majorité familiale : « La majorité, c'est une chose. La vie, la pérennité de l'entreprise, en est une autre. Si j'avais vingt ans, je n'aurais pas la même réponse », a-t-il indiqué. Georges Colson, qui s'était endetté pour accroître sa participation, a reconnu qu'il n'a pas les moyens d'éviter sa dilution.

Interrogé par « Les Echos » à la suite de ses déclarations, le conseil de Marie-Christine Chaubet, Patrick Grillat, a confirmé que sa cliente restait « favorable » à une recapitalisation de FRAM avec « trois conditions : pas de recours à la dette bancaire ; pas de cessions d'actif dans l'immédiat ; la mise en place d'un vrai plan de "restructuring" confirmant la stratégie d'Olivier de Nicola ». Il a ensuite ajouté : « Marie-Christine Chaubet, qui croit en l'entreprise, est prête à investir dans un projet crédible. Soit Georges Colson apporte une solution qu'elle agrée. Soit nous trouvons le schéma auquel Georges Colson se rallie. » Et Patrick Grillat de préciser que sa cliente « n'a aucun problème pour racheter 16 % (supplémentaires, NDLR) du capital ».

Si les positions se rapprochent et si Georges Colson appelle sa demi-soeur à venir à ses côtés, l'heure n'est pas encore à la vision commune. Georges Colson fait le tour des banques, FRAM ayant un besoin de trésorerie de « 5 millions à court terme » et de « 10 millions à moyen terme ». A ce titre, il envisage la vente d'actifs non stratégiques comme garantie. Y figurent, entre autres, la compagnie d'autocars de FRAM, son activité voyage d'affaires et un hôtel à Fez. En quête d' « oxygène », la société s'apprête par ailleurs à quitter son siège toulousain".


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Créée sous forme associative dans les années 1960 pour faciliter le départ en vacances du plus grand nombre, l'entreprise Les Villages clubs du soleil présente aujourd'hui un modèle économique original, ancré dans l'économie sociale. Elle propose aujourd'hui dix destinations en France, dont neuf à la montagne, et accueille chaque année plus de 70 000 vacanciers.
Cinquante années après sa création, le groupe témoigne toujours d'une grande vitalité. Le secret de sa réussite réside peut-être bien dans une démarche originale : dès 2000, ses villages clubs sont certifiés ISO 9001. En 2012, l’entreprise reçoit le Trophée RSE PACA, et concrétise son engagement dans la RSE par une évaluation AFAQ 26000. Ce livre raconte l’expérience de cette entreprise, dont les dirigeants ont su préserver l'éthique et l'esprit du tourisme social, tout en mettant en œuvre un système de management adapté à la nature de l'entreprise.
 
Aau sommaire :
1. Entrée en matière
Une expérience singulière – La traversée de l'histoire
2. Le “tiers invisible”
Le registre des valeurs – Les crises : opportunités de régulation – L'enjeu patrimonial au coeur des tourmentes – L'impasse du rapport de force – Le dépassement du conflit, levier d'innovation : les “outils de gestion du sens” – Le tiers invisible – De la subordination à l'interdépendance institutionnelle
3. La richesse des hommes
Les fondements d'une approche participative – L'intégration du management participatif dans une stratégie globale – Des villages au siège, du siège aux villages : les fondements d'une approche systémique – L'entreprise accueillante : une approche intégrative – L'entreprise apprenante : le challenge et la solidarité au cœur de l'action – La relation individu-collectif au coeur du dispositif de gestion des ressources humaines
4. Un rapport structurant au territoire
Le “tout compris ”, résultante d'une intelligence relationnelle – L'interaction avec le territoire, levier stratégique et support d'innovation
5. Le traducteur
Une légitimité individuelle indexée au collectif – De l'improvisation à la formalisation des liens de sens – Anticiper l'évolution

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Georges Colson, président du directoire de Fram, lors d'une conférence de presse à Paris, vient de préciser que le PSE de Fram concerne finalement 60 personnes. Par ailleurs, il annonce d'ores et déjà une perte pour 2012 de 20 millions d'euros.
La situation économique est très tendue pour Fram qui "manque d'oxygène". Le groupe a besoin de 5 millions d'euros "à court terme", et de 10 millions "à moyen terme". Il discute donc avec les banquiers actuellement et se félicite que Fram "n'est pas une maison très endettée" (27 millions). Il ajoute ne pas être opposé à une ouverture du capital à un investisseur extérieur. Il évoque aussi la possibilité de vendre quelques actifs "qui ne sont pas indispensables".
 

Le voyagiste Fram va de nouveau enregistrer de lourdes pertes en 2012, environ 20 millions d'euros, et il lui manque 15 millions en trésorerie, a déclaré vendredi son patron Georges Colson, en envisageant la cession d'actifs et l'ouverture du capital du groupe.

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2ème Colloque « Route des Phéniciens » qui se tiendra, à Perpignan, les 8, 9 et 10 novembre prochains.
Itinéraire culturel labellisé par le Conseil de l’Europe, la Route des Phéniciens, partenaire du programme ODYSSEA, est basé sur l’interculturalité, car il comprend le bassin méditerranéen dans son entier et tous les pays qui le bordent.
Les routes des Phéniciens s’étendaient jusqu’aux Amériques et sur les mers de l’Afrique à l’Europe du Nord.Le but de l’itinéraire est de valoriser le patrimoine des sites concernés à travers la collaboration de toutes les villes, les partenaires et les institutions qui veulent donner leur contribution à la recherche d’un nouveau rapport entre l’homme et le patrimoine culturel et naturel qui l’entoure, à la recherche de nouveaux modèles pédagogiques et touristiques suivant les envies et besoins d’échanges culturels.
Lors de ce colloque, sera signée, le vendredi 9 novembre, une convention de partenariat entre la Ville de Perpignan, la Communauté de Communes Sud Roussillon (regroupant les communes de St-Cyprien, Alenya et Latour-Bas-Elne) et le GEC ODYSSEA.
L’objectif est de structurer et positionner les territoires de Perpignan et du Sud Roussillon comme « Escales ODYSSEA Patrimoine Phare de la Méditerranée » sur les thèmes « Grecs et Romains en Méditerranée et la Route des Phéniciens » en lien et en coopération avec le Port de Saint-Cyprien « Porte de la Catalanité ».

 

Le fonds d’investissement américain en private equity KKR propose de remplacer tout ou partie des établissements bancaires espagnols au capital du groupe hôtelier NH Hoteles.
Dans un premier temps le fonds pourrait reprendre les 15,7% détenus par Banco Financiero y de Ahorros, filiale de la Bankia nationalisée par l’Etat espagnol, pour quelque 100 millions euros. Il pourrait également racheter des dettes détenues par des créanciers avec les options de conversions en actions.

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"Deuxième compagnie ferroviaire au monde, la SNCF fête officiellement ses 75 ans mardi dans un contexte de crise où elle parvient à croître et à se transformer tout en faisant face à l'arrivée progressive de la concurrence et... au mécontentement croissant des voyageurs.

"Comment transformer une crise en occasion de progrès, bref apprendre de nos difficultés: c'est devenu la marque de fabrique de l'entreprise", déclarait en septembre le PDG de la compagnie ferroviaire, Guillaume Pepy, à l'issue d'un séminaire de presse.

A l'appui de son propos, il avait détaillé le bilan des cinq années écoulées pendant lesquelles le groupe a vu son chiffre d'affaires progresser de 44% tout en stabilisant sa dette autour de 8,5 milliards d'euros.

Toujours au chapitre des bons points, la SNCF est parvenue a conforter sa position de leader sur différents marchés : la grande vitesse, dont elle détient 50% du marché en Europe, l'ingénierie avec le groupe Systra, 2e mondial du secteur, ou encore les transports du quotidien via sa florissante filiale Keolis.

Le groupe a aussi poursuivi son internationalisation pour réaliser désormais près du quart de ses ventes à l'étranger, l'objectif étant d'atteindre 30% en 2015.

Mais les chiffres ne disent pas tout de l'entreprise qui a aussi vu, dans le même temps, le nombre des usagers mécontents augmenter, selon une enquête du magazine Que Choisir de novembre. Retards, ponctualité, tarifs, restauration, propreté à bord des trains... sont critiqués par les voyageurs.

Guillaume Pepy invoque le fait que le réseau supporte un nombre croissant de passagers alors même qu'a été engagé un gigantesque programme de rénovation sur les voies.

Il avance aussi ses chiffres, via une enquête Ifop réalisée en 2011 pour la ministère des Transports, qui montre que 77% des Français sont satisfaits des services de la SNCF. "Mais cela se lit évidemment dans le sens où 23% ne sont pas satisfaits", concède-t-il.

Dans le détail toutefois, des disparités sont notables entre les voyageurs occasionnels et ceux qui utilisent le train tous les jours, dont le mécontentement est plus prononcé.

Consciente de cette dégradation, l'entreprise, qui a longtemps joué la carte du tout-TGV, a radicalement changé sa stratégie depuis cinq ans. Priorité est désormais donnée aux trains du quotidien et à l'Ile-de-France, région où les difficultés sont les plus aiguës.

"La remise à niveau des transports de la vie quotidienne répond à la question que 100% des clients nous pose: pourquoi tout n'est pas comme le TGV?", résume Guillaume Pepy.

Le dirigeant reconnaît que l'entreprise n'a pas bien réussi à faire connaître l'ensemble de ses offres (tarifs Prem's, tarifs sociaux ou offerts par les régions) et qu'il s'agit là d'un chantier à venir.

Pour reconquérir ses clients, et en attirer de nouveaux, la SNCF s'est aussi engagée à baisser ses prix grâce à une politique ambitieuse de réduction des coûts.

Une nouvelle étape qui, selon son patron, sera d'autant plus efficace que la réforme du système ferroviaire que l'Etat s'apprête à lancer "aura permis de remettre les choses à l'endroit". En clair, la SNCF souhaite que le gouvernement lui confie la maîtrise des rails, aujourd'hui gérés par Réseau ferré de France (RFF).

Sans attendre, elle prévoit de refondre sa gamme d'offres avec notamment le lancement de produits "Eco". Dans un mois devrait être dévoilée la première rame de TGV low-cost, rebaptisé "TGV éco", dont le démarrage commercial est prévu pour le premier semestre 2013 et qui proposera, chaque année, un million de places à moins de 25 euros sur l'axe Paris-Lyon-Marseille-Montpellier.

Poursuivant sa mutation en groupe multimodal, la SNCF a lancé cet été sa nouvelle offre de transport par autocars longue distance baptisée iDBUS. Elle peut aussi compter sur Keolis, sa filiale spécialisée dans les transports publics urbains pour faire face à l'arrivée de la concurrence sur le transport régional de voyageurs, voulue par Bruxelles au plus tard pour 2019".

L'UE et le Cap Vert ont signé le 26 octobre 2012, lors d'une cérémonie organisée au Cap-Vert, un accord visant à faciliter la délivrance de visas (doc. 14203/12). Mme Erato Kozakou-Marcoullis, ministre chypriote des affaires étrangères, en sa qualité de présidente du Conseil de l'Union européenne et M. José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, ont signé l'accord au nom de l'UE. M. José Maria Pereira Neves, premier ministre du Cap-Vert, l'a signé au nom de son pays.
L'accord doit maintenant être transmis au Parlement européen en vue d'obtenir son approbation pour qu'il puisse être conclu. Il entrera en vigueur le premier jour du deuxième mois suivant la date à laquelle les parties se notifieront mutuellement l'achèvement de leurs procédures internes, mais pas avant l'entrée en vigueur de l'accord de réadmission entre l'UE et le Cap-Vert, ce qui devrait intervenir avant l'été 2013.
Le Royaume-Uni, l'Irlande et le Danemark ne sont pas liés par l'accord.
Dispositions principales
Grâce à cet accord, les citoyens cap-verdiens, en particulier ceux qui voyagent beaucoup, pourront obtenir plus facilement et à moindre coût des visas de courte durée leur permettant de se rendre dans l'UE et de se déplacer librement sur tout le territoire européen. Un visa de courte durée est un visa accordé pour des séjours dont la durée prévue n'excède pas 90 jours par période de 180 jours.

The American Council for International Students is offering four new school trips throughout France, giving teachers the perfect opportunity to educate their students through immersing them into French culture and life.
France is taking an initiative to attract young travelers by launching a new online campaign geared towards teachers called 4 ways to see France with your students.
For this campaign, Atout France- the France Tourism Development Agency is partnering with ACIS, the American Council for International Students, a tour operator that promotes trips abroad for students.

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Chinese airlines giving free tickets to passengers
If your travel budget is getting low, you might be interested in Spring Airlines. The Chinese company is based in Shanghai and is currently offering passengers free plane tickets to Japan. This promotion is a bid that they are hoping will increase demand.

This recent marketing effort was caused in part due to a territorial dispute involving China and Japan. Both countries were engaged in a struggle over the Daioyu islands. This tension between the countries led to a drop in the number of Chinese people traveling to Japan. The islands, also known as Senkaku islands, are a highly disputed issue.
In order to boost the number of travelers, Spring Airlines is planning to offer customers free round-trip tickets that are good for travel between the Pudong airport in China and Saga Prefecture in Japan. As one of the largest privately run, low-cost airlines, Spring Airlines is going to offer this promotion until the 20th of December, giving tourists almost two months to take advantage of this special offer.

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"Le président du Syndical national des agents de voyage (Snav), Georges Colson, a annoncé vendredi quitter prochainement ce poste pour s'occuper des affaires du voyagiste Fram en difficulté, dont il vient de reprendre la direction et dont il est l'un des principaux actionnaires".

Source : Le Point.fr

The Australian tourism industry has been angered by the government's move of raising the backpacker's visa charge from $280 to $350. Tourism stakeholders argue that this latest move will negatively affect the industry that has already endured plenty of economic suffering as well as taxation increases in only one year.
John Lee, the Tourism and Transport Forum chief executive, said that the move by the government could make the backpackers seek other destinations to visit. Which he says will be a huge blow to not only the tourism industry but also the economy. According to Lee, tax increase and other charges added could make the tourist question the destination and seek alternative options such as New Zealand and Canada where visa fees are cheaper. He said that the move sends out a wrong message to the tourists out there.
The visa charge increase was part of the recent mid-year budget update. Lee further argues that the backpacker visa increase comes shortly after the government had increased the passage movement charge and introduced airport police tax earlier this year. He states that the tourism industry thought that the economic hardships were over earlier this year, only to be shocked by the new move to increase the backpacker visa charge. He notes that the tourism industry was not consulted over the matter nor did the government consider the weak state the tourism industry finds itself in regard to international tourists.

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Expedia's third-quarter profit fell 18% from a year earlier as higher administrative costs more than offset the effect of more hotel bookings.
Room-night bookings revenue rose 20% from a year earlier as a 27% increase in room nights booked more than offset a 6% decline in revenue per night. Revenue rose 17%, to $1.2 billion.
Still, selling and marketing costs jumped 24% from a year earlier, while technology and content expenses rose 31%.

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