Vous pensez avoir mal compris

 et que cet article traite

 des jeunes filles au pair ?

Et bien pas du tout,

 il s’agit bien de mamies au pair,

 et c’est une nouvelle façon de voyager

pour les séniors actifs

qui nous vient d’Allemagne

et débarque en force chez nous

Avec l’allongement de la durée de vie,

 les retraités sont de plus en plus actifs.

 Certains ont trouvé le moyen

 de combiner petite retraite et voyages :

ils louent leurs service

 dans une famille qui a besoin d’eux 

Quel meilleur moyen que le lien intergénérationnel

pour tisser du lien dans notre société individualiste ?

Le deal est d’autant plus intéressant

que les mamies ont déjà l’expérience des enfants,

 ce qui facilite grandement les choses

quand il s’agit de leur faire faire leurs devoirs

en attendant les parents.

De ce point de vue, les mamies au pair

 peuvent être plus performantes

 qu’une jeune fille au pair classique

Pour le choix des destinations,

la formule est promise à un très bel avenir,

 et les mamies peuvent dores et déjà aller

 aux Etats Unis et un peu partout en Europe.

On recense même quelques exemples en Australie

Les entreprises qui naissent dans le domaine

 sont à la pointe

 et donc principalement présentes sur Internet.

 En France, le site Mamieaupair, par exemple,

 surfe dores et déjà sur cette vague.

Un très bel exemple de lien inter générationnel,

une notion en vogue

et qui avait déjà fait parler d’elle

 avec les colocations.

 Cette fois ci, l’échange était inversé

puisque c’est un étudiant

qui loge quasi gratuitement

 chez une personne âgée,

en échange de menu services

 (courses, lecture, réparations…

 non, pas de plomberie, je vous vois venir ;))

Toujours est-il,

que si l’on raisonne un peu plus globalement,

cette thématique du lien inter – générationnel

va inévitablement se développer.

Ainsi, certains projets immobiliers

qui se veulent un tant soit peu innovant

commencent déjà à jouer cette carte

et proposant des programmes

 avec une salle de quartier, des jeux d’enfants,

de l’accession à la propriété

et des résidences médicalisées

 Pourquoi ?

ces dispositifs permettent de combiner facilement

 un maximum de déductions fiscales,

de subventions et de communication positive

 dans un milieu où il commence à être difficile

de parler simplement de développement durable

ou même d’éco quartier,

tellement ces termes sont galvaudés.

Pour compléter mon article publié dans Le Devoir, sur la croisière Copenhague-Stockholm du Boréal, l’un des luxueux yachts de croisière de la Compagnie du Ponant, voici une sélection d’images croquées en mer Baltique, en mai dernier.

Le Boréal, splendide yacht de croisière aux lignes fluides - Gary Lawrence

Ceci n'est pas un réacteur à cristaux mais la zone d'accueil centrale du Boréal, vue du quatrième pont - Gary Lawrence

La petite piscine, en poupe - Gary Lawrence

Une cabine standard - Gary Lawrence

Enfilade d'éoliennes dans le détroit de l'Øresund - Gary Lawrence

Le bleu Baltique, de jour... Gary Lawrence

... et de soir - Gary Lawrence

Au crépuscule, il arrive que le ciel se dilue dans la mer - Gary Lawrence

Autour de 22 h, au mois de mai... - Gary Lawrence

Une heure plus tard... - Gary Lawrence

Une mer d'huile sur fond d'horizon féérique - Gary Lawrence

Autour de minuit, à Saint-Pétersbourg - Gary Lawrence

Un coucher de soleil presque irréel - Gary Lawrence

Pour d’autres albums-photos du blogue Voyage, créés à la suite de cette croisière, cliquez sur les liens suivants:

Flâneries ensoleillées à Copenhague

Riga, exubérante cité Art nouveau

Nuits blanches à Saint-Pétersbourg

Tsarskoïe Selo en 10 photos

Helsinki en 13 photos

Pour naviguer avec moi sur Twitter, c’est par ici.

Chaque vendredi, le blogue Voyage vous propose un bref portrait d’un voyagiste pour découvrir ses forfaits, ses circuits et ses destinations, en mode question/réponse. Cette semaine, Véronique Pépin, directrice régionale d’Expéditions Monde, se prête au jeu.

Rando sur la Grande muraille de Chine - Gary Lawrence

Depuis quand existe Expéditions Monde?
Nous œuvrons dans le domaine du voyage d’aventure depuis 1975 et nous sommes les pionniers, au Québec, dans ce type de périple. Il y a quelques années, nous nous sommes rattachés à World Expeditions, avec qui nous partageons la même philosophie et la même éthique du voyage d’aventure.

Comment se décline votre domaine de prédilection?
Qui dit aventure dit plein air : vélo, rando, trekking et même alpinisme. Mais l’aventure, chez Expéditions Monde, passe également par la découverte culturelle, l’écotourisme et les voyages de projets communautaires.

Au fil du Mékong - Gary Lawrence

Combien de destinations proposez-vous?
Environ 600 itinéraires dans près de 95 pays. Nos destinations phares sont le Népal, le Pérou, l’Argentine (Patagonie), la Tanzanie, le Vietnam et bien sûr l’Europe avec la France, l’Italie, la Hollande et l’Islande.

Avez-vous des coups de cœur personnels?
Il y en a trop pour tous les nommer, mais j’aime particulièrement le Népal avec ses majestueuses montagnes, son multiculturalisme ainsi que ses contrastes entre nature silencieuse et villes bouillonnantes.

Qu’est-ce que vos clients apprécient particulièrement, comme expérience de voyage?
Le trek classique des Incas au Pérou, les treks en Patagonie, les safaris au Kenya et en Tanzanie, le circuit Everest via les lacs de Gokyo au Népal, l’Inde du Nord et enfin le Vietnam. En ce qui concerne l’Europe, ils aiment surtout les fleurs de la Hollande, le mont Blanc classique, le Danube et la Croatie.

Une femme massaï et son enfant, au Kenya - Gary Lawrence

À quoi ressemble votre clientèle-type?
Ceux qui voyagent avec nous sont des gens actifs et ouverts à la découverte, sans limite d’âge: nous offrons des aventures et des activités pour tous.

Quelle est votre échelle de prix?
De 560 $ pour une randonnée en Corse à 7490 $ pour une croisière active autour du Spitzberg (Arctique).

Piran, en Slovénie - Gary Lawrence

Y a-t-il quelque chose qui vous démarque de la concurrence?
Nous travaillons principalement avec des guides locaux afin d’offrir une expérience authentique: ils sont les mieux placés pour parler de leur culture et de leur histoire, et ils sont souvent nés dans les régions où ils guident. En plus de parler français et anglais, ils suivent une formation pointue au niveau de la sécurité et de la gestion d’un groupe de voyageurs. De plus, notre formule en petit groupe, 8 voyageurs en moyenne, permet une plus grande flexibilité.

Avez-vous des nouveautés cette année?
Nous offrons maintenant un circuit de la Bolivie jusqu’au Machu Picchu, une découverte de la civilisation maya au Mexique, l’ascension de quatre sommets de 4000 mètres au Maroc ainsi que le Laos, du nord au sud.

Randonnée dans la canopée, Amazonie péruvienne - Gary Lawrence

Des anecdotes à raconter?
Un jour, alors que notre groupe arrivait au Maroc, les voyageurs ont eu la surprise d’être invités à un mariage traditionnel. Un membre de la famille de notre guide se mariait et ce dernier en avait profité pour inviter le groupe: ce fut une façon inoubliable d’expérimenter l’hospitalité à la Marocaine !

En terminant, quelle destination aimeriez-vous offrir un jour, et pourquoi?
Nous aimerions retourner au Mali. Cette destination nous tient à cœur, notamment le pays Dogon avec sa culture, ses rites et ses danses traditionnelles.

Jeunes moines cambodgiens - Gary Lawrence

Pour consulter le site d’Expéditions Monde, cliquez ici.

Pour partir en expé virtuelle avec moi sur Twitter, c’est par ici.

Maui, la seconde île d’Hawaï par la superficie, est une destination de vacances de rêve : plages de sable fin et mer chaude presque toute l’année. Mais saviez-vous que c’est aussi l’un des spots les plus spectaculaires pour faire l’observation de baleines ? En hiver, les grands cétacés comme la baleine à bosse passent près de ses côtes au cours de leur migration annuelle.

Maui, les baleines aussi adorent

La grisaille et le froid règnent sous nos latitudes (et longitudes) et vont régner pour encore plusieurs semaines. A Hawaï, lorsque le soleil se sera levé aujourd’hui, il fera environ 27°… On comprend maintenant pourquoi tant de touristes viennent y passer du bon temps en hiver. Ils ne sont pas les seuls, les baleines ont bien compris elles aussi l’avantage des eaux chaudes de la région par rapport à celles de l’Alaska. A cette période de l’année, les baleines au large de Maui forment la pus grande population de baleines à bosse du globe.

Tout ce que vous avez à faire, c’est de scruter la mer pour apercevoir à la surface de l’eau le balai des géants, une nageoire, une queue… Il est possible d’observer ça de plus près en partant en excursion en bateau. Le top consiste à nager avec elles, mais il faut être un plongeur confirmé pour cela.

Quelques conseils d’observation

• Le meilleur moment de l’année : entre janvier et la mi-mars
• Le meilleur endroit pour une excursion en bateau : Lahaina, Maui Ouest, à 15 minutes des côtes
• Le meilleur endroit pour observer depuis la rive : Kaanapali Beach, juste au nord de Lahaina où vous pouvez parfois repérer les mères qui accouchent à côté de la rive. Kihei Beach est un bon spot aussi.
• Le meilleur moment de la journée : tout le temps

Avez-vous déjà eu la chance d’observer une baleine ? Où était-ce ?

Photo : flickkerphotos / Flickr cc.

La destination des Bahamas évoque souvent les paradis fiscaux, les croisières, les casinos, la célèbre course-poursuite de Daniel Craig en tant que James Bond au début de « Casino Royale » , … oui les Bahamas, c’est l’Amérique (c’est d’ailleurs ici que Christophe Colomb accoste le 12 octobre 1492, et foule pour la première le Nouveau Monde [...]

Cet article Bahamas : Welcome to Paradise ! est apparu en premier sur La Gazette du Voyage, le magazine des bons plans voyages par Sensations du Monde.

Si vous savez que Le Quai, ce n’est pas un quai (c’est un centre culturel) ou si vous dites « où tu es rendu ? » (où tu en es dans ton boulot ?), ça veut dire que vous venez d’Angers. On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Angevins.

L’Angevins sait ce que sont les Accroches Coeurs (spectacles de théâtre de rue et de nombreuses festivités gratuite). Il trouve normal que des personnes chantent à tue-tête dans la rue avec des micros sans même demander d’argent.

Il parle du château uniquement comme un point de repère car il ne l’a jamais visité. Il sait que la Maine déborde tout le temps, même en été et que Belle Beille, ce n’est pas qu’un beau nom. Il connait tous les bars de la ville. Mais au final, il retourne toujours dans le même.

Ce citadin a longtemps confondu la rue du Mail avec la rue Maillé et hésite toujours à prononcer correctement la rue Lenepveu. Il sait qu’il croisera toujours quelqu’un là-bas. Cet urbain reconnait le lycée dans lequel travaille les étudiants en fonction des polos.

Pour lui, les habitants de La Doutre sont à l’autre bout du monde alors qu’il n’y a que le pont à traverser. Il sait que les quernons d’ardoise, ce n’est pas une friandise mélangé avec un morceau d’ardoise. Ce n’est pas pour rien qu’Angers a été durant de nombreux siècles l’un des centres intellectuels de l’Europe.

Si vous n’êtes pas de Angers, vous pouvez toujours visiter la ville.

En bonus

Tu sais que tu viens d’Angers quand une autoroute qui passe en ville ne t’étonne plus et lorsque tu sais où sont tous les radars limités à 70km/h.

[Photo ]

Comme chaque vendredi, nous vous proposons une liste de manifestations à voir ces samedi 9 et dimanche 10 février dans les 4 coins de la France.

Le Carnaval de Granville, Granville

La 139e édition du Carnaval de Granville démarre ce vendredi. Une pluie de confettis, des animations musicales, des cavalcades en folie ou encore des bals vont rythmer cet évènement qui se déroule jusqu’au 12 février.

Plus d’infos : Du 8 au 12 février, gratuit, www.carnaval-de-granville.fr

Où dormir ?

	Les Gîtes de la Mer Les gîtes sont situés près de la mer et des commerces dans le village d’Hauteville sur mer.		Hostellerie du Maine BrunEntre mer et campagne, il vous offre un panorama idéal sur le Mont Saint-Michel

Festival Sons d’hiver, Cachan

Une voix puissante capable d’aborder le blues, la soul ou encore le jazz classique. Dee Alexander fait tout. Elle siffle, souffle, susurre … Le Festival Sons d’hiver se déroule jusqu’au samedi 23 février 2013.

Plus d’infos : A partir de 12€, Tél. : 01-46-87-31-31, Sonsdhiver.org

Où dormir ?

	Hôtel de l’Avre L’hôtel de l’Avre est situé dans un coin calme entre Invalides, Tour Eiffel et Montparnasse.		Hôtel Odessa Montparnasse L’hôtel est situé dans un quartier très animé avec ses célèbres brasseries.

Bulles au Val, Saint Denis en Val

Les fans de BD seront au 7e ciel. Entre expositions, spectacles, ou encore séances de dédicaces, la 12e édition de Bulles de Val a mis les petits plats dans les grands. Parmi les auteurs invités : Fabrice Angleraud, Jean-Michel Arroyo, Jean Barbaud, Callixte …

Plus d’infos : 09 et 10 Février, adultes 3€, 5€ les 2 jours et gratuit pour les moins de 18 ans, http://om.cl.free.fr

Où dormir ?

	Hôtel Restaurant le Relais Louis XIVenez vous reposer dans cette magnifique bâtisse chargée d’histoire.		Auberge Maille d’OrL’hôtel se trouve sur la route des Châteaux de la Loire.

Le Festival de la magie, Orvault

1h45 de spectacle exceptionnel réalisé par les maîtres de l’étrange, du mystère et de l’humour. Dans ce show, pas d’effets spéciaux, mais beaucoup de rire. Ce divertissement révolutionne le monde de la magie.

Plus d’infos : Du 8 au 10 février, de 27.00 € à 41.50 €, http://vivelamagie.com/

Où dormir ?

Beaujoire Hôtel Restaurant Cet hôtel est le lieux idéal de tous les points de départ afin de visiter la ville.

Appart’City Nantes Château Cet hébergement est situé en face de la Cité des Congrès et à quelques minutes du Château des Ducs de Bretagne.

[Photo]

Dernières recherches des voyageurs pour cet article :

• manifestations granville week end 10 fevrier 2013
• rendez vous du week end du 09 fevrier guadeloupe

Benjamin du blog Partir Voyager vient de sortir un récit sur son aventure en Australie:  » Le voyage d’Ozcar ». Il a répondu à quelques questions sur son voyage et sur son ouvrage.

Bonjour Benjamin, pourrais-tu nous retracer ton expérience en Australie ?

Bonjour Fabrice,

Pour revenir en arrière, je suis donc parti en Australie entre 2010 et 2011 avec un ami. Nous avons passé nos deux premiers mois dans une famille australienne via le Help Exchange, un système où nous travaillions gratuitement en échange du couvert et du logement.

Notre objectif principal au début, était vraiment d’améliorer notre niveau d’anglais qui était loin d’être flamboyant à cette époque !

Cela nous a également permis de découvrir l’ensemble de la culture australienne, l’un des autres objectifs de notre voyage. Puis, nous avons acheté notre van pour faire le tour du pays, pendant les 6 mois qui ont suivi.

Qui est Ozcar ?

Et bien justement, Ozcar c’était tout simplement notre van qui a été « notre maison ambulante » pendant près de 6 mois. En Australie, c’est très courant d’acheter son van et de se lancer dans un « road trip ». Nous étions loin d’être des exceptions.

Nous avons donc vécu à deux dans 2m², autant dire que cela nous a pas mal changé de notre quotidien et notre confort habituel !

Après une telle aventure, les séparations furent difficile non ?

Oui honnêtement, au moment de remettre les clés au couple à qui nous l’avons vendu, nous avions une petite boule au ventre. C’était clairement une page de notre trip qui se tournait, la fin d’une belle aventure.

Malgré tout, après avoir vécu 6 mois dans une si petite « maison », on était heureux de retrouver un petit peu de confort et d’avoir son propre lit !

Avec le recul, qu’est ce que t’a apporté vraiment ce voyage au niveau de ta personnalité notamment ?

Énormément de choses ! Je peux même dire que ce voyage m’a complètement changé. Vivre avec si peu de confort pendant 6 mois m’a notamment appris à apprécier les petites choses de la vie courante, celle que j’avais au quotidien en France. Cela peut paraître bête, mais j’ai vraiment pris conscience de la chance que c’était, d’avoir un accès facile à l’électricité, l’eau courante, un lit à soi et toutes ces facilités que le monde moderne nous a offert.

Par ailleurs, grâce à cette aventure, je me suis rendu que c’était finalement très facile de voyager. Non, ça ne me coûtait pas une montagne ! Non, ce n’était pas dangereux ! J’ai très vite banni toutes les fausses idées que j’avais en France sur le voyage de longue durée.

C’est d’ailleurs pour ça que j’ai en quelque sorte pris le « virus » du voyage au retour. Je n’avais qu’une hâte repartir vers de nouveaux horizons, découvrir de nouveaux pays, de nouvelles personnes et donc de nouvelles cultures.

Quels conseils pratiques donnerais-tu à ceux qui veulent faire un PTV en Australie ?

Le premier serait de ne pas s’inquiéter au niveau des démarches administratives (ouverture de compte bancaire, achat d’un véhicule, déclaration d’impôts etc…), tout est simplifié là-bas ! Je me souviens encore, quand j’ai ouvert mon compte bancaire là-bas. En seulement 15 minutes, c’était fait et je me suis retrouvé avec un compte courant et un compte épargne, avec un taux d’intérêt défiant toutes concurrences !

Ensuite, pour ceux qui souhaiteraient également acheter un van, faites très attention aux arnaques ! L’achat et la vente de vans sont très développés en Australie et tout le monde est prêt à tout, (vraiment à tout) pour revendre son van et récupérer son argent !

Enfin, je vous conseille vraiment de vous intégrer au minimum un mois dans une famille australienne, notamment dans le « bush », pour découvrir la vraie culture australienne. Le Help Exchange ou le WOOFING sont extrêmement développés dans ce pays et les familles sont souvent très accueillantes.

Tu as donc écris un livre qui raconte ton expérience. Que contient cet ebook ?

Toute mon aventure jour après jour avec mes moments de joie, de découverte, et de doute. Pendant tout le voyage, j’ai tenu un carnet de voyage où j’écrivais toutes mes impressions du moment vis-à-vis de nos découvertes, de nos rencontres et de nos mésaventures. J’ai donc repris toutes ces notes pour en faire un livre.

Je partage également tout au long du récit, des conseils et des leçons que j’ai tiré de ce voyage. À chaque fois, ces explications sont en lien avec l’histoire que j’ai vécue au même moment. Cela permet de faire un lien entre les deux, en ayant une prise de recul sur la situation.

Enfin, grâce à une publication au format numérique, j’ai intégré plus de 80 photos de l’Australie. À mon sens les mots ne remplaceront jamais la vue de certains paysages, et c’était l’occasion pour moi, de montrer directement ce que j’ai vu.

A qui s’adresse-t-il ?

A toutes les personnes qui souhaitent tenter une aventure à l’étranger, qu’elle soit en Australie ou ailleurs, seul ou accompagné, en van ou à bicyclette…

Je veux vraiment que ce livre soit une incitation au voyage, qu’il pousse les gens à aller en dehors de nos frontières. Le plus dur dans le voyage, c’est souvent de se lancer. Une fois le premier pas fait, on se rend vite compte, que tout est beaucoup plus facile qu’on ne l’imaginait. Ce livre en est le témoin.

Tu reviens beaucoup dans ton récit sur le glanage urbain que tu as beaucoup pratiqué, avec raison. Tu pratiques toujours en France ou ailleurs ?

Oui j’y reviens souvent, car c’est quelque chose qui m’a vraiment marqué pendant ce road trip. J’ai découvert par moi-même l’envers du décor de la grande distribution et j’ai vite été dégouté par la situation…

Si je le pratique en France ? Non plus maintenant ! Je voulais le pratiquer au début, mais cela avait beaucoup de mal à passer auprès de mon entourage. Je me suis donc très vite remis à passer par la bonne porte des hypermarchés ;-)

Récemment, les médias ont rapporté l’agression d’une touriste française dans un bus en Australie et ont parlé de racisme anti-français. Ton opinion ?

Avec l’accès très facile au WHV, l’Australie est clairement devenue un eldorado pour les Français (plus de 20 000 expatriations chaque année simplement en WHV) et certains sont loin de venir ici pour découvrir la culture du pays bien au contraire. Ils ont très peu de respect pour la population locale et se moquent des règles de base.

Pour l’anecdote, il y a quand même un principe en Australie qui s’appelle le « French shopping ». Cela veut tout simplement dire voler dans les magasins.

Ce n’est donc pas étonnant qu’il y est un certain racisme anti-français, notamment dans les grandes villes. Heureusement, c’est à mon sens, encore très minoritaire !

Une des choses qui m’ont le plus marqué dans ton livre, c’est le comportement de ce couple de Français que tu as rencontré et qui détestait les Australiens. Ils volaient à la moindre occasion. Je dois dire que tu es très indulgent dans ton livre, je l’aurais moins été. Tu n’as pas craqué en vrai ?

Au début, j’ai essayé de comprendre leur point de vue et de me mettre à leur place, mais au fur et à mesure, je sentais qu’il y avait un réel fossé entre nous, que c’était inutile de continuer ainsi.

J’ai malgré tout, toujours essayé de rester calme vis-à-vis d’eux. Ils étaient si bornés que c’était inutile de s’énerver. Mais finalement, au bout d’un moment, nous nous sommes séparés. C’était impossible de continuer notre route ensemble, nous avions une vision du pays et de sa population bien trop différente.

En dehors du PVT, est-ce difficile de faire sa place pour un français en Australie ?

Je ne pense pas. La majorité de la population provient de l’immigration, les gens sont donc très accueillants et ouverts d’esprit. Nous avons rencontré quelques Français qui étaient définitivement installés en Australie. Ils étaient tous unanimes sur la question. Ils étaient ravis d’être ici et très intégrés au sein de la population australienne.

Bien sûr, il y a toujours une minorité d’Australiens, fermée sur eux-mêmes, qui est contre l’immigration. Mais nous retrouvons ce genre de minorité dans chaque pays !

Pourquoi avoir écrit ce livre en fait ?

Partager mon expérience et mon aventure avec le plus grand nombre et surtout inciter les gens à se lancer. De plus en plus de gens souhaitent s’expatrier quelque temps, en dehors de nos frontières, mais peu le font ! Il y a beaucoup de fausses idées qui circulent en France à ce sujet, et j’espère que ce livre sera y répondre de la meilleure des manières.

Avant de partir, j’étais le premier à me poser un tas de questions inutiles et stressantes. C’est en lisant d’autres récits de voyageurs, que je me suis laissé convaincre ! Avec ce livre, je change de côté… j’espère à mon tour convaincre tous ceux qui hésitent encore à partir.

Un dernier mot ?

Maintenant que nous avons survécu à la fin du monde, n’hésitez plus, partez ! :-)

Voyager est à mon sens l’une des meilleures écoles de la vie, il serait dommage de s’en priver.

Merci beaucoup pour cette interview Fabrice et à très bientôt !

Mon avis sur l’ouvrage de Benjamin

Alors, que donne ce récit sur cette aventure australienne ?

Côté critiques, j’aurais aimé plus de passage sur la culture australienne. Je trouve que cela aurait permis de mettre davantage en relief l’aventure. Plus de détails pratiques auraient été aussi les bienvenues.

Ensuite, la lecture aurait gagné en facilité si le texte était plus aéré.

Mis à part cela, j’ai beaucoup apprécié le récit de Benjamin, humain et sensible. Ce que j’ai surtout aimé dans cet ouvrage, c’est la fraicheur qui s’en dégage. Et une certaine insouciance, celle de la première grande aventure pour deux jeunes Français à l’autre bout du monde.

Le premier grand voyage est quelque chose qui marque à vie, un peu comme un tatouage sur notre âme. Celui-ci est souvent invisible aux yeux des autres.

Pourtant, il est bien là présent en nous.

Pour Benjamin, ce (premier) tatouage fut australien.

Ce livre est une référence pour tous ceux qui veulent se rendre aux pays des kangourous. En  le terminant, je me suis dit « pourquoi je n’ai pas fait un PTV en Australie ! ». Déjà, le livre atteint son objectif !

Vous y trouverez aussi de nombreux « post-it » de conseils pratiques. Ainsi qu’en bonus, tous les sites utiles pour bien préparer son voyage en Australie.

Pour autant, il parlera à coup sûr à tous ceux qui veulent franchir le pas vers l’ailleurs. En effet, nous avons là toute la gestation, les interrogations et le déroulement d’une aventure.

On referme le livre avec l’envie de prendre le large et de foncer à travers la terre rouge d’Australie. Et pourtant, j’écris ces lignes au pied des Andes côté Chili !

Donc : mission accomplie !

Je clique sur l’image pour en savoir plus sur  » Le voyage d’Ozcar »

Recherches qui ont permis de trouver cet article:

• instinct-voyageur fr le-voyage-dozcar-le-recit-a-lire-pour-votre-voyage-en-australie

La Jordanie

 est un pays très diversifié

et qui regorge de merveilles touristiques.

Un peu à l’écart des sentiers battus,

la forteresse d’Ajlun

vaut le détour et mérite de figurer

 parmi vos meilleurs souvenirs de vacances.

Vue depuis le château fort d'Ajlun en Jordanie

 Photos Jordanie 2013 : tous droits réservés ©

Située un peu au Nord Est de la capitale Amman,

elle étonne d’abord par son aspect étrange

de château fort

du XII^ème siècle

dans ce pays musulman

du bout du monde,

 qui nous rappelle que les croisades

nous ont autrefois amenées ici.

Ensuite, par la vue intéressante

qui se déroule devant nos yeux

 une fois arrivés en haut de la forteresse d’Ajlun.

Ce n’est pas tant la beauté du paysage,

mais son intérêt que je vous présente ici.

Une forêt de tunnels horticoles fleurit au pied du château fort

 Photos Ajlun 2013 : tous droits réservés ©

On y voit donc des myriades,

des champs complets

 de tunnels horticoles

 qui servent aux cultures

et qui nous rappellent

que même dans le désert du Moyen Orient,

les techniques agronomiques

sont poussées et permettent

d’avoir des résultats impressionnants.

Ainsi, Israël est un des premiers pays horticoles du monde,

bien que limité en superficies cultivables

et pas vraiment gâté par son climat aride.

Ensuite, on remarque également

un contraste saisissant

 entre le paysage au nord de la forteresse

et celui plus au sud.

D’un côté le désert on ne peut plus aride,

et d’un autre des étendues bien vertes,

sinon verdoyantes

D'un côté de la forteresse la zone non irriguée...

 Photos Jordanie 2013 : tous droits réservés ©

Et de l'autre une zone mise en valeur...
 Photos Jordanie 2013 : tous droits réservés ©

 La différence ?

 l’irrigation des sols, tout simplement

Et dans un pays comme la Jordanie,

 ce n’est pas anodin.

Une vraie guerre de l’eau

se joue au niveau du Jourdain,

 le fleuve principal du pays.

 Le problème est qu’il ne fait que passer en Jordanie,

et la Syrie mais surtout Israël pompent tout au passage…

que  restera-t-il donc de ces cultures Jordaniennes

 dans quelques années

de ce régime à sec ?...

Photo de la muraille de la forteresse d'Ajlun

 Photos Jordanie 2013 : tous droits réservés ©