La coupe est pleine. La mienne d’abord, parce que le RER B, cette ligne de train qui traverse l’Ile de France du nord au sud en desservant l’aéroport de Roissy-CDG et indirectement celui d’Orly, ce moyen de transport que j’ai fini par haïr, je l’emprunte depuis plus de trois ans tous les matins et tous les soirs pour rejoindre nos bureaux de la Croix de Berny (c’est pourtant un si joli nom…).
J’ai d’abord appris à supporter ses caprices, ses impuissances et ses pannes, et à savourer les explications improbables fournies par le duo RATP/SNCF (le "manque de conducteurs" et les "feuilles mortes sur les voies" étant de loin les plus pitoyables). Mais la situation s’est sensiblement corsée au cours des derniers mois.
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