L'apparente volonté des autorités birmanes d'entamer des réformes politiques aiguise l'appétit des entreprises européennes et américaines. Car, sur le plan économique, tout – ou presque – reste à faire dans ce pays.Lorsqu'il ouvre ses portes, une fois par mois, le British Club de Rangoon est pris d'assaut par des diplomates, des membres d'ONG et des professeurs d'anglais dont les consommations sont décomptées sur une ardoise à l'ancienne. Toutefois, depuis que le gouvernement birman semble ...
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