Moteurs pétaradants, phares qui s'éteignent, sols troués par la rouille: les routes birmanes sont peuplées de vieilles guimbardes qui refusent de rendre l'âme. Mais avec l'ouverture du pays, elles pourraient bien entendre le glas sonner dans un avenir proche.Tacots japonais et modèles européens, datant d'avant l'arrivée au pouvoir des généraux en 1962, circulent toujours dans les rues de Rangoun.Rien à voir avec les sanctions occidentales, qui n'interdisent pas les exportations de véhicules ...
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