Une certaine liberté d’expression, encore inconnue il y a peu, s’affiche désormais dans les kiosques. Mais les journalistes espèrent encore un effort des autorités.Comme la plupart des journalistes birmans, Ye Naing Moe n’avait jamais fait confiance, à juste titre, aux fonctionnaires du ministère de l’Information. Son père, militant politique, avait été arrêté à quatre reprises et lui-même était épié par les agents du régime. Ses étudiants en journalisme étaient également surveillés et interrogés ...
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