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Lors d’un première voyage à New York, visiter New York est une question de choix ! En effet, il y a tant de choses à faire à New York City qu’il est difficile de faire un choix parmi les nombreuses visites et attractions qu’offre la Grande Pomme ; surtout pour un premier séjour ! En […]

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Quand l’Empire islamique rencontrait l’Empire chinois. Ne manquez pas l’occasion de sillonner une partie de cette route unique au monde, qui a longtemps été un ensemble de pistes où circulaient les marchandises entre l’Ouest et l’Est.

Samarcande, Bagdad, la Chine : telles étaient les différentes étapes de la fameuse Route de la soie. Il s’agit d’un ancien réseau de routes commerciales qui reliait l’Europe à l’Asie, plus précisément la ville d’Antioche (Turquie) et de Chang’an (Chine).

Au fil du temps, cet itinéraire fut progressivement abandonné, les guerres entre byzantins et turcs ayant entraîné la chute de Constantinople au 15 ème siècle. Les Occidentaux cherchèrent alors une nouvelle voie qui les conduirait jusqu’au Indes, d’où l’expédition d’un certain Christophe Colomb. La disparition progressive de cette route va donc faire vivre à l’Europe un tournant dans son Histoire : la conquête du nouveau continent.

Néanmoins, elle revêt des souvenirs intéressants à découvrir par les touristes et les passionnés d’Histoire.

L’impact sur les civilisations

La Route de la soie a su lier des populations diversifiées : tokhariens, turcs, byzantins, sogdiens, perses et chinois. A l’époque où elle était opérationnelle, les richesses disponibles étaient abondantes et les civilisations devinrent mercenaires ou maraudeurs. Cette situation a contribué à faire apparaître des guerriers avides de conquête de terres fertiles.

Les effets inhérents à la route de la soie s’apparentent à ceux de la mondialisation. Elle fascine particulièrement ceux qui souhaitent comprendre le processus de l’intégration culturelle et politique. Les conséquences sont donc multiples, à commencer par l’unification des états militaires créés par les nomades chinois.

Elle a aussi donné naissance aux religions bouddhiste (Chine) et islamique (Asie centrale), au manichéisme et au nestorianisme. Elle a poussé au sommet l’empire des turcs Khazars et a abouti à la naissance des plus grands empires, notamment celui des Moghols en Inde et de l’Empire ottoman.

L’impact sur la culture

Utilisée fréquemment par les pèlerins bouddhistes de l’époque, elle a permis d’ouvrir la voie aux découvertes de la Chine par l’Occident. C’est grâce à elle que nous avons pu avoir accès à la boussole, au papier, à la poudre, au papier-monnaie, etc…Dans le sens inverse, elle a permis d’introduire plusieurs religions étrangères en Chine, notamment le christianisme et le bouddhisme.

L’art du bouddhisme s’est répandu jusque dans la vallée de l’Indus : actuel Afghanistan, Bangladesh, Pakistan, Nord de l’Inde. Il a laissé comme héritage de nombreux vestiges découverts vers la deuxième partie du 19 ème siècle. Par ailleurs, d’autres sites furent abandonnés et recouverts par le sable du désert. On ne retrouvera jamais certains d’entre eux.

Dans la région, on assistait à l’unification des courants persans, occidentaux, chinois et indiens, plus connue sous le terme « art sérindien ».

De 1860 à 1925, la Route de la soie fut parcourue et fouillée par les investigateurs et les savants venant de la région ouest. Elle restera à jamais gravée dans l’histoire et constitue un symbole fort de la rencontre entre différentes civilisations.

Une nouvelle Route de la soie ?

Le saviez-vous ? La Chine, l’Europe et plusieurs pays du centre de l’Asie travaillent actuellement sur la construction d’une route qui traverserait la Turquie, l’Iran,  le Kirghizistan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan.

Sa construction rééquilibrerait un peu plus la balance commerciale mondiale, actuellement favorable à l’Est.

Mais ce projet doit faire face à de nombreux obstacles, notamment les relations tendues entre l’Iran et ses voisins concernant le partage des eaux de la mer Caspienne. Le pays a d’ailleurs été sanctionné par l’ONU, ce qui a délaissé la portion de route qui descend depuis la Turquie.

Mardi 18 novembre 2014, Evaneos.com organisait une rencontre dédiée à l’Albanie, en présence de l’agent partenaire Roland Palushi.

L’événement s’est déroulé dans un bar installé récemment, « «La Panthère Ose », situé dans le 10^ème arrondissement, le tout dans une ambiance décontractée et conviviale ! Evaneos.com vous propose ici une rétrospective de cette rencontre, en présence de Roland, agent local.

Plusieurs des participants avaient déjà voyagé en Albanie et ont pu partager leur expérience avec le reste du public. Il s’agit d’un pays assez méconnu de nous autres, Français, mais pourtant insolite. D’ailleurs, saviez-vous qu’ « Albanie » veut dire « pays des aigles » ?

Dans un premier temps, Roland a voulu mettre fin aux clichés que les Européens de l’Ouest peuvent avoir sur les Balkans. Tout comme la Birmanie, il s’agit d’un pays qui s’est récemment ouvert : on ne sait donc pas grand-chose sur sa culture et ses habitants.

L’Albanie n’est pas un pays en guerre, n’est plus un pays communiste et n’est pas un repère d’islamistes. A ce sujet, Roland nous révèle que la pratique du culte (qu’il soit chrétien ou musulman) fut interdite pendant la période soviétique. Plusieurs religions coexistent en Albanie : une majorité musulmane, et des minorités orthodoxes et catholiques.

Traditionnellement, même si le pays est à majorité musulmane, la consommation d’alcool est très fréquente. Cela n’empêche pas  les Albanais de faire goûter aux visiteurs le fameux raki, eau de vie assez forte à consommer avec modération !

La présence chrétienne est encore forte, comme en témoignent ces nombreuses icônes.

L’albanais est une langue issue de l’Indo-Européen. Elle n’est parlée que par les Albanais et ne ressemble à rien d’autre. Elle emprunte au turc, au grec et au latin.

Plusieurs civilisations ont influencé la culture albanaise : les Grecs, les Romains, les Byzantins, puis les Bulgares, les Serbes et les Ottomans. De nombreux vestiges témoignent de l’influence latine, comme les ruines de Buthrote, classées au patrimoine mondial de l’UNESCO.

En plus d’être un pays à forte diversité culturelle, l’Albanie est dotée d’une variété de climats. Sur les côtes, celui-ci est plutôt méditerranéen, alors qu’il est continental dans les villes.

Avec 70% de surface montagneuse, l’Albanie est une destination de choix pour celles et ceux qui aiment le tourisme « naturel ». C’est entre l’ Albanie et la Macédoine que se trouve le lac le le plus vieux et le plus profond au monde : le lac d’Ohrid.

Celui-ci abrite une faune et une flore exceptionnelles, de véritables « fossiles vivants », c’est-à-dire des espèces que l’on croyaient disparues et qui pourtant sont toujours présentes dans cette région. Le lac d’Ohrid est également classé par l’UNESCO. Du fait de ses nombreuses montagnes, l’Albanie reste une destination privilégiée pour les amateurs de camping.

 L’avis des voyageurs :

Cette soirée était très sympa. Cela m’a fait plaisir de revoir des photos de l’Albanie et toute l’équipe.

La soirée s’est donc terminée dans une ambiance détendue et conviviale. C’est de cette façon que nous tenions à remercier tous les voyageurs présents le 18 novembre, ainsi que Roland pour sa participation.

Si vous souhaitez visiter l’Albanie avec l’agence de Roland et Gezim, cliquez ici.