Nous quittons le camp Cisame et son confort pour continuer notre périple sur les eaux du fleuve Les rochers se font plus présents
De plus en plus grands et imposants
Après deux heures de pirogue, nous voici au pied du saut Grand Machikou,
Nous débarquons pour la nuit
L’espace baignade
Nous préparons consciencieusement nos hamacs pour la nuit, n’oubliant pas la petite laine, la lampe frontale et les boules Quiès…
La nuit sera quelque peu bruyante : la cacophonie de nos voisins grenouilles et crapauds, et
aussi singes hurleurs ne nous laissera aucun répis. Nous repartons de bon matin à l’assaut du saut Grand Machikou
Sur chemin qui longe la rive, des rondins nous rappellent que des orpailleurs sont certainement passés dans le secteur pour y tirer leurs pirogues
Une fois notre pirogue vidée de tout son contenu (nos sacs, les gilets de sauvetage, l’énorme glaciaire, le petit réchaud, les bidons d’essence sans oublier notre téléphone satellite que nous n’avons pas envie de voir tomber à l’eau), les hommes partent à l’assaut du dit saut, sous les ordres du piroguier (qui avait vu la veille un caïman …) se jeter à l’eau pour tirer la pirogue, la tracter à l’aide de cordes…
Passage difficile et périlleux
Le saut et ses soubresauts sont derrière nous !
L’occasion d’admirer la salade de coumarous, nourriture préférée des coumarous (ce sont des poissons)
C’est reparti pour quelques heures de navigation jusqu’au saut Grand Kanori, le but ultime de notre croisière
Le saut Grand Kanori depuis notre lieu de villégiature
19 mètres de dénivelés infranchissables de rochers sur lesquels les eaux de l’Approuague se jettent fougueusement
Le carbet de la concession Cisame, où nous faisons escale deux nuits et deux jours
L’espace ablutions
L'’espace baignade (notre piroguier ne nous a rien dit à propos des caïmans) |
Le carbet près du saut Grand Kanori Guyane |
Consultez la source sur Balladine.net: Guyane la remontée de lApprouague du saut Grand Machikou au Saut Grand Kanori