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Laïcité débat serein ou joute politique Et la position des partis

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Les trois chefs de l'opposition à l'Assemblée nationale,  François Legault, Philippe Couillard et Françoise David. Les trois se sont assis avec L'actualité pour de grandes entrevues, début août.

Les trois chefs de l’opposition à l’Assemblée nationale, François Legault, Philippe Couillard et Françoise David. Les trois se sont assis avec L’actualité pour de grandes entrevues, début août.

Le débat est important, mais il s’annonce émotif. Trop? Les risques de dérapages sont élevés et le gouvernement Marois ne semble pas vouloir les minimiser.

Il faut pourtant garder la tête froide. Les accommodements religieux (qu’on peut aussi appeler «laïcité» pour être plus précis ou «valeurs québécoises» pour faire être plus accrocheur) est une dynamite à manier avec soins.

L’article du Journal de Québec ce matin et les réactions qu’il suscite se sont chargés de nous le rappeler (voir ici, avec une illustration assez caricaturale pour accompagner le texte).

Selon les informations du Journal de Québec, le gouvernement Marois ne fera pas dans la demi-mesure. Il veut bannir les croix ostensibles, le turban, la kippa juive et le hidjab de tous les ministères et organismes publics, mais également des CPE, des écoles et des hôpitaux. Simples fonctionnaires dans un bureau, médecins, professeurs, éducatrices en services de garde, policiers, magistrats, procureurs de la Couronne et ainsi de suite devraient tous laisser leurs croyances à la maison et ne rien afficher.

L’un des coprésidents de la commission Bouchard-Taylor, Charles Taylor, n’a pas digéré les intentions du gouvernement, allant jusqu’à les comparer avec la répression homophobe de Vladimir Poutine en Russie. Disons qu’il ne fait pas dans la dentelle, M. Taylor…

Le bannissement de tous signes religieux lui apparaît inconcevable. Taylor synthétise ainsi les principes du rapport de sa commission: «les institutions sont neutres et les individus sont libres ». Il ajoute: «Une proscription absolument généralisée de toute une catégorie de la population suivant leurs convictions religieuses, c’est du jamais vu. C’est littéralement inouï», dit-il.

Est-ce un ballon d’essai pour occuper le terrain médiatique ou le gouvernement péquiste ira véritablement en ce sens? Il faudra attendre que le ministre Bernard Drainville s’explique. Un projet de loi sera déposé cet automne et des consultations auront lieu.

Mais s’il fonce, Charles Taylor a raison, M. Drainville devra expliquer comment il entend respecter les chartes des droits et libertés du Québec et du Canada avec ce type de mesures. Plusieurs droits s’entrechoquent dans ce débat. Plusieurs principes et valeurs aussi. Ce n’est pas simple. Il faudra y aller avec une précision chirurgicale.

Sera-t-on en mesure, comme société, d’en débattre sereinement, avec calme et panache, sans les raccourcis simplistes qui accompagnent souvent ce débat? L’automne nous le dira…

En attendant, voyons la pensée des trois partis d’opposition à l’Assemblée nationale sur cette question.

Il y a deux semaines, pour une série de textes à paraître dans le magazine qui sera en kiosque vendredi, j’ai mené de grandes entrevues avec Philippe Couillard, François Legault et Françoise David. Plus d’une heure avec chacun des chefs, au cours de laquelle nous avons abordé plusieurs sujets chauds de l’automne, notamment la charte des valeurs québécoises (l’intégrale des entrevues sera disponible dans notre version iPad pour les abonnés, et sur le web en cliquant ici).

(Pauline Marois devait nous accorder une entrevue, mais elle a changé ses plans à plusieurs reprises, avant de décliner, faute de temps…)

Des conversations qui aident à situer le débat, à comprendre la pensée des chefs lorsqu’on leur laisse plus qu’une «clip» de 15 secondes pour s’expliquer. Alors que tous les partis sont sur les blocs de départ, si on souhaite un débat serein, il faut écouter, et laisser du temps aux explications.

Voici donc les extraits de mes entrevues sur la laïcité et le débat qui s’enclenche.

Extraits de l’entrevue avec François Legault, chef de la Coalition avenir Québec

- La question identitaire fait partie de vos priorités de l’automne. Comment voyez-vous ce débat?

«J’attends de pied ferme Philippe Couillard. Je crois que ce sera son moment de vérité. L’approche du Parti libéral de Couillard est « le Canada d’abord », le multiculturalisme avant tout. Il n’a pas montré qu’il veut défendre les valeurs québécoises, qui ne sont pas les mêmes qu’au Canada anglais. Sur la langue, il a même refusé de discuter d’améliorations à la loi 101. Du côté du PQ, c’est « le Québec seulement », une certaine fermeture. Nous, ce sera « le Québec d’abord », une approche équilibrée, avec le respect de l’égalité hommes-femmes et le respect de la tradition catholique du Québec.»

François Legault. Crédit photo: Guillaume Simoneau

François Legault. (Crédit photo: Guillaume Simoneau)

- C’est un sujet délicat, on l’a vu avec le débat sur le turban au soccer ce printemps. Les braises des feux allumés par les accommodements religieux ne sont pas éteintes. Est-ce qu’on peut avoir un débat posé ?

«On doit avoir ce débat. On est rendu à l’étape de légiférer, pas de consulter. J’espère que le gouvernement proposera des lois. J’ai étudié plusieurs points de vue cet été, allant de Gérard Bouchard à Mathieu Bock-Côté. Je suis prêt à faire ce débat, qui est important. C’est une question d’identité. Quand on propose une idée comme notre projet Saint-Laurent, ça peut seulement fonctionner avec un peuple qui porte ce projet, qui est confiant et fier. Il y a une notion identitaire là-dedans.

Les Québécois ne veulent pas entendre parler de souveraineté, mais ne sont pas prêts à épouser les valeurs du Canada anglais, qui est multiculturaliste. Au Québec, il y a une majorité francophone — vulnérable en Amérique du Nord — qui a un passé catholique. On ne peut pas avoir la même approche que le Canada. Le Québec doit davantage défendre son identité.

On aura l’occasion de prendre position. Il y a même une section de mon livre sur le sujet, alors je ne peux pas trop en révéler. Mais on est rendu à l’étape de donner des guides, de se positionner sur les employés de l’État. Il y a eu la loi 101 sur la langue. On est maintenant à l’étape des lois sur les valeurs québécoises.»

Extraits de l’entrevue avec Françoise David, co-porte-parole de Québec Solidaire

- L’un des gros sujets de la rentrée sera la charte des valeurs québécoises que proposera le gouvernement. Vous êtes d’accord avec cette initiative ?

«C’est ce que j’appelle le « vivre ensemble ». Il y a le dossier de la laïcité et celui de la langue. L’identité au sens large. Je ne comprends toujours pas pourquoi le gouvernement a renommé ça les « valeurs québécoises », alors qu’il est question de laïcité.

Il faut que la nation québécoise se développe autour de valeurs communes. La difficulté, c’est de garder un équilibre entre l’identité collective, comme les valeurs d’égalité, la séparation de l’Église et de l’État et ainsi de suite, tout en respectant les droits individuels, y compris le droit à l’expression religieuse.

Notre position est que les employés de l’État peuvent porter des signes religieux, mais avec certaines balises. On se rallierait assez facilement à l’idée d’interdire le port des signes religieux pour toute personne qui représente l’autorité de l’État, comme les policiers ou les juges. On est également contre le port du niqab et de la burqa pour toutes les employées de l’État qui offrent des services, comme les enseignantes ou les infirmières.

Je suis influencée par Gérard Bouchard, qui a publié L’interculturalisme : un point de vue québécois. Il y a peut-être un ou deux éléments mineurs avec lesquels je suis en désaccord, mais dans l’ensemble, c’est un ouvrage remarquable d’équilibre. Il répète à quel point on doit prendre en compte la majorité qui compose un peuple, qui a une culture et une histoire, et prendre aussi en compte les droits des minorités. La majorité ne doit pas devenir tyrannique.»

Françoise David. (Crédit photo: QS)

Françoise David. (Crédit photo: QS)

- Il va y avoir des débats délicats, comme permettre ou interdire le hidjab pour les enseignantes ?

«C’est permis actuellement et ça ne semble pas soulever de problème majeur dans les classes. C’est le cas aussi des infirmières et personne ne m’a écrit ou téléphoné pour se plaindre. Dans l’équilibre, il faut s’assurer que les femmes croyantes ne restent pas à la maison parce qu’elles sont ostracisées sur le marché du travail. Quand on exclut, on ne peut pas intégrer. Évidemment, il y a des pas à ne pas franchir, comme permettre la burqa aux fonctionnaires qui donne des services. On ne peut pas aller jusque-là. »

- Est-il possible d’avoir un débat serein ? On l’a vu avec le port du turban sur les terrains de soccer, la controverse n’est jamais loin…

«Il y a danger à l’horizon, certainement. Il faudra être prudent. On pourrait penser que c’est simple, mais ce ne l’est pas. Il est facile de dire que les minorités n’ont qu’à se conformer à l’opinion de la majorité, point barre. Mais dans l’application, il y a des nuances.»

- Avez-vous peur que le gouvernement soit tenté de se servir de ce débat pour remonter dans les intentions de vote ?

«Je suis un peu inquiète. Est-ce que ça prendrait des saveurs populistes, autant qu’avec Mario Dumont à l’ADQ ? J’ose croire que non. Je ne vois pas très bien Mme Marois dans ce rôle-là. Mais c’est tellement facile de déraper tous autant qu’on est. C’est rempli d’émotions. Ce ne sont pas des dossiers totalement rationnels, il faut l’admettre. Je fais appel à ce qu’on a de meilleur au Québec, et je dis : « On est appelé à vivre ensemble, il faut s’entendre sur des valeurs communes, mais rester ouvert à la différence, c’est important. »

Extrait de l’entrevue avec Philippe Couillard, chef du Parti libéral du Québec

- La charte des valeurs québécoises que veut faire adopter le gouvernement sera l’un des sujets importants cet automne. Vous dites que vous pourriez rejeter ce projet. N’est-ce pas une discussion que le Québec devrait avoir ?

«Oui, mais ce que j’ai voulu faire, c’est d’indiquer le périmètre dans lequel je vais évaluer ce projet. Je ne suis pas contre — je vais lire la proposition — mais il y a deux écueils qu’il faut éviter. Le premier, c’est de présenter comme des valeurs québécoises des valeurs universelles qui sont protégées par nos chartes et auxquelles le Québec adhère de toute façon, comme l’égalité des hommes et des femmes. On entend les gens parler de ça comme s’il fallait l’inventer, alors que c’est déjà là. Même chose pour l’accès à la justice, les droits d’expression et d’association, la liberté de presse et ainsi de suite. Ce qui est essentiellement québécois, c’est la primauté du français dans l’espace public et le Code civil comme mode d’administration judiciaire.

Le deuxième écueil, c’est de confondre une valeur, un principe, avec un débat politique. La récupération politique de cet enjeu m’inquiète. La technique du PQ est d’attiser l’insécurité linguistique et l’angoisse identitaire. C’est un discours d’assiégé, négatif, qui m’horripile. Comme si les Québécois étaient sous la menace des autres, à l’extérieur et à l’intérieur. Je n’aime pas ce genre de message.»

Philippe Couillard. (crédit photo: Francis Vachon)

Philippe Couillard. (crédit photo: Francis Vachon)

- On l’a vu avec la controverse du turban au soccer, il y a un fondement à ce débat. Quelque chose n’est pas réglé…

«Il y a aussi beaucoup d’événements montés en épingle et le traitement médiatique en fait des controverses. Mais c’est vrai, il y a des choses utiles à faire. La commission Bouchard-Taylor suggérait de mettre en place un guide pour les administrateurs publics. C’est une bonne idée. Il faut avoir cette discussion et on va l’avoir à l’interne, au PLQ. On a formé un groupe de travail sur l’identité qui arrivera avec des idées sur cette question.

Au Québec, on a une société diversifiée. Je veux que toutes les communautés puissent s’exprimer sur cette question. Je lis Mathieu Bock-Côté et d’autres, et ils semblent s’indigner que la majorité ne puisse pas unilatéralement dicter ses valeurs à l’ensemble de la société. Ça me semble pourtant fondamental. Par exemple, le million de Québécois anglophones font partie du Québec, mais s’ils sont considérés comme hors du périmètre de l’identité québécoise, qu’est-ce qu’on a créé ? Certainement pas un sentiment d’appartenance.

Il y a une citation de Thomas Jefferson [NDLR : président des États-Unis de 1801 à 1809] que j’aime beaucoup. Il a dit : « On s’attend à ce que la majorité l’emporte dans une société. Cependant, pour que cette victoire soit légitime, il faut que la minorité soit protégée par des droits équitables et un encadrement juste, dont la violation signifie l’oppression. » Il faut donc être vigilant. Une société se définit beaucoup par la façon dont elle gère le rapport entre la majorité et les minorités. Ce n’est pas parce que nous, les francophones, avons été traités injustement à une certaine époque que ça nous donne l’autorisation d’utiliser la même approche par rapport à nos minorités.»

- On a entendu des critiques dirent que Philippe Couillard, c’est « le Canada d’abord », c’est le multiculturalisme, ce qui explique votre réticence à l’égard de la charte des valeurs québécoises…

«Je suis québécois et j’en suis très fier. Mon ancêtre est arrivé en 1613. Mais ma citoyenneté à moi n’a pas une plus grande valeur que celle du nouvel arrivant. Pour l’avenir du Québec, son appartenance à la fédération canadienne, il faut envoyer un message positif de coexistence sur un grand territoire. Le multiculturalisme est inscrit dans la Constitution canadienne, mais au Québec, on a davantage tendance à adopter l’interculturalisme. Je suis d’accord, mais il faut le définir. Pour moi, ça veut dire que toutes les communautés vivent de manière harmonieuse, mais autour de valeurs partagées, et c’est là que l’exercice peut être très positif ou très négatif. Tout le monde est sur le même pied, mais on explique clairement quelles sont nos valeurs. La plupart sont universelles. La différence, c’est le français comme langue commune, et toutes les cultures doivent s’y rallier. Je suis partisan de la laïcité ouverte, pas fermée, qui ressemble à une autre forme de fondamentalisme.»

Mon nouveau collègue blogueur, Jérôme Lussier, a écrit sur le sujet il y a quelques jours. Pour lire son billet, «échecs identitaires», c’est par ici.

Mon autre estimée collègue, Josée Legault, abordait aussi ce sujet en mai dernier dans «Retour au village des valeurs». À lire par ici.

 

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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