Avoir deux heures à tuer à l’aéroport, passe encore. Mais cinq heures, ça peut devenir longuet.
Singapour - Gary Lawrence
Avec la prolifération de transporteurs à bas tarifs, qui impliquent souvent des correspondances interminables entre deux vols de compagnies différentes, mais aussi avec l’importance grandissante des plaques tournantes (hubs), qui nous obligent parfois à poireauter plus qu’il n’en faut à l’aéroport, il arrive qu’on dispose d’assez de temps pour se permettre une petite escapade en ville, lors d’une escale.
Encore faut-il ne pas avoir besoin d’un visa et de pouvoir accéder à de bons transports en commun pour aller et venir sans encombre entre l’aéroport et le centre-ville, après s’être informé du temps moyen à passer aux contrôles douaniers, au retour. Par exemple, à Zürich, il ne faut que 20 minutes pour accéder en train à la gare centrale, en utilisant une simple navette qui passe aux dix minutes dans le sous-sol de l’aéroport.
Quoi qu’il en soit, pour combler ces ennuyeuses heures entre deux bouts de tarmac, le Guide du Routard vient de recenser une série de villes du globe (lire: d’Asie et des États-Unis) qui servent de plaque tournante à de grandes compagnies aériennes, tout en suggérant des visites et des activités à faire sur place.
Et même si on n’a cure de savoir ce qu’il y a à voir et à faire à Houston, à part attendre le prochain vol pour s’en enfuir (n’en déplaise au New York Times), il est plus qu’utile et agréable de suggérer quoi voir ou boire à Singapour, Atlanta, Dubaï, Séoul ou Abu Dhabi, entre deux vols.
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